Le responsable de la jeunesse du parti de l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, Justin Koua, a été inculpé de "complot" et incarcéré à Abidjan, selon son avocat.
Arrêté le 7 juin, le chef de la JFPI, la section jeunesse du Front populaire ivoirien (FPI), a été inculpé lundi notamment "d'offense au chef de l'Etat, d'atteinte à la défense nationale, (...) de complot contre l'autorité, de direction ou participation à une bande armée", a déclaré à l'AFP Me Rodrigue Dadjé.
Auparavant interrogé dans les locaux de la Direction de la surveillance du territoire (DST), il a été incarcéré à la Maison d'arrêt et de correction d'Abidjan (Maca), a-t-il ajouté.
Me Dadjé a dénoncé "une violation grave des droits fondamentaux" de son client, affirmant n'avoir pu assister à ses auditions.
Connu pour ses discours musclés à l'égard du régime du président Alassane Ouattara, Justin Koua avait été arrêté alors qu'il participait à une réunion au siège de son parti dans la capitale économique ivoirienne.
Le FPI a condamné une "arrestation de trop", fustigeant un pouvoir "liberticide". De nombreux anciens responsables ou cadres du régime Gbagbo, tombé à la fin de la crise postélectorale de 2010-2011 ayant fait quelque 3.000 morts, sont en détention, ce qui vaut régulièrement au régime d'être accusé de pratiquer une "justice des vainqueurs".
Mais, pour les autorités, des partisans de l'ancien président sont impliqués dans des tentatives de déstabilisation, notamment des attaques meurtrières contre les forces de sécurité survenues principalement au second semestre 2012.
Source : (Izf.net)
Côte d'Ivoire: le chef de la jeunesse pro-Gbagbo inculpé de "complot"
Le responsable de la jeunesse du parti de l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, Justin Koua, a été inculpé de "complot" et incarcéré à Abidjan, selon son avocat.
Arrêté le 7 juin, le chef de la JFPI, la section jeunesse du Front populaire ivoirien (FPI), a été inculpé lundi notamment "d'offense au chef de l'Etat, d'atteinte à la défense nationale, (...) de complot contre l'autorité, de direction ou participation à une bande armée", a déclaré à l'AFP Me Rodrigue Dadjé.
Auparavant interrogé dans les locaux de la Direction de la surveillance du territoire (DST), il a été incarcéré à la Maison d'arrêt et de correction d'Abidjan (Maca), a-t-il ajouté.
Me Dadjé a dénoncé "une violation grave des droits fondamentaux" de son client, affirmant n'avoir pu assister à ses auditions.
Connu pour ses discours musclés à l'égard du régime du président Alassane Ouattara, Justin Koua avait été arrêté alors qu'il participait à une réunion au siège de son parti dans la capitale économique ivoirienne.
Le FPI a condamné une "arrestation de trop", fustigeant un pouvoir "liberticide". De nombreux anciens responsables ou cadres du régime Gbagbo, tombé à la fin de la crise postélectorale de 2010-2011 ayant fait quelque 3.000 morts, sont en détention, ce qui vaut régulièrement au régime d'être accusé de pratiquer une "justice des vainqueurs".
Mais, pour les autorités, des partisans de l'ancien président sont impliqués dans des tentatives de déstabilisation, notamment des attaques meurtrières contre les forces de sécurité survenues principalement au second semestre 2012.
Source : (Izf.net)
Arrêté le 7 juin, le chef de la JFPI, la section jeunesse du Front populaire ivoirien (FPI), a été inculpé lundi notamment "d'offense au chef de l'Etat, d'atteinte à la défense nationale, (...) de complot contre l'autorité, de direction ou participation à une bande armée", a déclaré à l'AFP Me Rodrigue Dadjé.
Auparavant interrogé dans les locaux de la Direction de la surveillance du territoire (DST), il a été incarcéré à la Maison d'arrêt et de correction d'Abidjan (Maca), a-t-il ajouté.
Me Dadjé a dénoncé "une violation grave des droits fondamentaux" de son client, affirmant n'avoir pu assister à ses auditions.
Connu pour ses discours musclés à l'égard du régime du président Alassane Ouattara, Justin Koua avait été arrêté alors qu'il participait à une réunion au siège de son parti dans la capitale économique ivoirienne.
Le FPI a condamné une "arrestation de trop", fustigeant un pouvoir "liberticide". De nombreux anciens responsables ou cadres du régime Gbagbo, tombé à la fin de la crise postélectorale de 2010-2011 ayant fait quelque 3.000 morts, sont en détention, ce qui vaut régulièrement au régime d'être accusé de pratiquer une "justice des vainqueurs".
Mais, pour les autorités, des partisans de l'ancien président sont impliqués dans des tentatives de déstabilisation, notamment des attaques meurtrières contre les forces de sécurité survenues principalement au second semestre 2012.
Source : (Izf.net)
Côte d'Ivoire: le chef de la jeunesse pro-Gbagbo inculpé de "complot"
Le responsable de la jeunesse du parti de l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, Justin Koua, a été inculpé de "complot" et incarcéré à Abidjan, selon son avocat.
Arrêté le 7 juin, le chef de la JFPI, la section jeunesse du Front populaire ivoirien (FPI), a été inculpé lundi notamment "d'offense au chef de l'Etat, d'atteinte à la défense nationale, (...) de complot contre l'autorité, de direction ou participation à une bande armée", a déclaré à l'AFP Me Rodrigue Dadjé.
Auparavant interrogé dans les locaux de la Direction de la surveillance du territoire (DST), il a été incarcéré à la Maison d'arrêt et de correction d'Abidjan (Maca), a-t-il ajouté.
Me Dadjé a dénoncé "une violation grave des droits fondamentaux" de son client, affirmant n'avoir pu assister à ses auditions.
Connu pour ses discours musclés à l'égard du régime du président Alassane Ouattara, Justin Koua avait été arrêté alors qu'il participait à une réunion au siège de son parti dans la capitale économique ivoirienne.
Le FPI a condamné une "arrestation de trop", fustigeant un pouvoir "liberticide". De nombreux anciens responsables ou cadres du régime Gbagbo, tombé à la fin de la crise postélectorale de 2010-2011 ayant fait quelque 3.000 morts, sont en détention, ce qui vaut régulièrement au régime d'être accusé de pratiquer une "justice des vainqueurs".
Mais, pour les autorités, des partisans de l'ancien président sont impliqués dans des tentatives de déstabilisation, notamment des attaques meurtrières contre les forces de sécurité survenues principalement au second semestre 2012.
Source : (Izf.net)