« On n’a pas mis mon nom sur la liste électorale, prétextant que j’ai été condamné après un procès qui m’a jugé parce que j’aurais braqué la BCEAO [Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest]. Je réfute avec vigueur une telle accusation », a affirmé l’ancien président ivoirien face à la presse.
Depuis que le fichier électoral provisoire a été transmis aux formations politiques le 20 mai, les cadres du Parti des peuples africains – Côte d’Ivoire (PPA-CI) ont plusieurs fois exprimé leur indignation et estimé que la non-inscription de leur leader était une injustice. Mais c’est la première fois que Laurent Gbagbo luimême prend la parole sur le sujet
Bien qu’acquitté par la Cour pénale internationale (CPI), laquelle le jugeait pour des crimes contre l’humanité commis pendant la crise postélectorale de 2010-2011, l’ancien chef de l’État reste sous le coup d’une condamnation à vingt ans de prison par la justice ivoirienne dans l’affaire dite du casse de la BCEAO, qui remonte à 2011.
La CEI a confirmé qu’il faisait partie de la liste des personnes déchues de leurs droits civiques et politiques que lui avait communiquée le ministère de la Justice.
LGP
Depuis que le fichier électoral provisoire a été transmis aux formations politiques le 20 mai, les cadres du Parti des peuples africains – Côte d’Ivoire (PPA-CI) ont plusieurs fois exprimé leur indignation et estimé que la non-inscription de leur leader était une injustice. Mais c’est la première fois que Laurent Gbagbo luimême prend la parole sur le sujet
Bien qu’acquitté par la Cour pénale internationale (CPI), laquelle le jugeait pour des crimes contre l’humanité commis pendant la crise postélectorale de 2010-2011, l’ancien chef de l’État reste sous le coup d’une condamnation à vingt ans de prison par la justice ivoirienne dans l’affaire dite du casse de la BCEAO, qui remonte à 2011.
La CEI a confirmé qu’il faisait partie de la liste des personnes déchues de leurs droits civiques et politiques que lui avait communiquée le ministère de la Justice.
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