Cette réunion du Cadre permanent de concertation (CPC), qui regroupe les leaders politiques ivoiriens, se fera notamment en présence du président Laurent Gbabgo et ses principaux opposants, l`ex-chef d`Etat Henri Konan Bédié, l`ancien Premier ministre Alassane Dramane Ouattara, et l`actuel chef du gouvernement et de l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) Guillaume Soro.
La rencontre initiée par M. Compaoré, garant de l`Accord de paix signé le 4 mars 2007 à Ouagadougou, doit notamment "faire un état des lieux" de la mise en oeuvre de cet accord politique en ce qui concerne l`identification des populations et la sécurisation du processus électoral.
"Le président de la CEI (Commission électorale indépendante, Robert Mambé Beugré, ndlr) fera le point sur l`enrôlement des électeurs, les difficultés qu`il rencontre et les moyens d`y remédier", a indiqué une source proche de la présidence burkinabè.
"Cette rencontre n`est pas destinée à fixer la nouvelle date de l`élection présidentielle parce que ce n`est pas un problème politique mais d`ordre technique", a indiqué à l`AFP Alain Lobognon, conseiller en communication de M. Soro.
L`élection présidentielle devait avoir lieu en octobre 2005 mais elle a sans cesse été reportée depuis le coup d`Etat manqué de septembre 2002 des FN contre M. Gbagbo qui a consacré la partition du pays en deux, le nord sous contrôle rebelle et le sud sous contrôle gouvernemental.
Après la signature de l`Accord de Ouagadougou, le scrutin a été fixé au 30 novembre 2008. Mais d`énormes difficultés administratives, techniques et financières empêchent le respect de cette échéance, l`identification des électeurs n`ayant démarré que le 15 septembre.
La rencontre de lundi devrait également aborder les conditions de la campagne électorale et les questions du désarmement des ex-combattants des FN.
La rencontre initiée par M. Compaoré, garant de l`Accord de paix signé le 4 mars 2007 à Ouagadougou, doit notamment "faire un état des lieux" de la mise en oeuvre de cet accord politique en ce qui concerne l`identification des populations et la sécurisation du processus électoral.
"Le président de la CEI (Commission électorale indépendante, Robert Mambé Beugré, ndlr) fera le point sur l`enrôlement des électeurs, les difficultés qu`il rencontre et les moyens d`y remédier", a indiqué une source proche de la présidence burkinabè.
"Cette rencontre n`est pas destinée à fixer la nouvelle date de l`élection présidentielle parce que ce n`est pas un problème politique mais d`ordre technique", a indiqué à l`AFP Alain Lobognon, conseiller en communication de M. Soro.
L`élection présidentielle devait avoir lieu en octobre 2005 mais elle a sans cesse été reportée depuis le coup d`Etat manqué de septembre 2002 des FN contre M. Gbagbo qui a consacré la partition du pays en deux, le nord sous contrôle rebelle et le sud sous contrôle gouvernemental.
Après la signature de l`Accord de Ouagadougou, le scrutin a été fixé au 30 novembre 2008. Mais d`énormes difficultés administratives, techniques et financières empêchent le respect de cette échéance, l`identification des électeurs n`ayant démarré que le 15 septembre.
La rencontre de lundi devrait également aborder les conditions de la campagne électorale et les questions du désarmement des ex-combattants des FN.