Charles Blé Goudé qui animait un meeting de mobilisation de ses "troupes" a jugé "inacceptable" la présence du chef d'état burkinabé au sein du panel.
"Nous lui avons confié une mission en tant que facilitateur de la crise militaro politique ivoirienne. Cette mission a duré trois ans et il doit en rendre compte au préalable", a expliqué M Blé Goudé, devant des milliers de jeunes acquis à la cause de Laurent Gbagbo.
"Le panel doit rencontrer Blaise Compaoré et l'interroger", a-t- il martelé, estimant que "le facilitateur est aujourd'hui devenu le complicateur."
Pour le leader de la jeunesse pro-Gbagbo, les Ivoiriens doivent arrêter de pleurnicher sur les informations parfois alarmantes qu'ils apprennent sur le compte de Laurent Gbagbo.
"Le Secrétaire général de l'ONU Ban Ki Moon a dit que le panel permettra à Ouattara d'exercer pleinement son pouvoir", a-t-il dénoncé, avertissant que "le panel ne viendra pas pour réécrire les lois ou réécrire la constitution de Côte d'Ivoire".
"Tout ce qui doit être fait doit être conforme aux lois en Ivoire", a-t-il souligné, affirmant que "c'est Gbagbo qui est dans la vérité".
De l'avis de Charles Blé Goudé, l'Union africaine n'a fait que répondre au message de Laurent Gbagbo du 31 octobre demandant la mise sur pied d'un comité d'évaluation pour faire la lumière sur les résultats de l'élection présidentielle.
"L'idée émise par Gbagbo vient d'être adoptée par l'UA, et le panel per au monde entier de savoir ce qui se passe en Côte d'Ivoire", a-t-il conclu.
La Côte d'Ivoire se trouve toujours dans un imbroglio politique après le second tour de l'élection présidentielle ayant opposé Laurent Gbagbo à Alassane Ouattara.
Chacun des deux candidats s'est proclamé président de la république et a constitué un gouvernement.
Après plusieurs missions de médiation et à l'issue du 16ème sommet de l’UA, l'institution régionale a décidé de la mise sur pied d'un panel constitué des présidents mauritanien, sud-africain, tanzanien, tchadien et burkinabé.
Ceux-ci devraient se rendre en Côte d'Ivoire en vue du règlement de la crise post électorale et disposent pour cela d'un délai d'un mois pour rendre leurs conclusions.
Avant l'arrivée des Chefs d'Etat, un comité d'experts est attendu dimanche à Abidjan pour évaluer la situation.
"Nous lui avons confié une mission en tant que facilitateur de la crise militaro politique ivoirienne. Cette mission a duré trois ans et il doit en rendre compte au préalable", a expliqué M Blé Goudé, devant des milliers de jeunes acquis à la cause de Laurent Gbagbo.
"Le panel doit rencontrer Blaise Compaoré et l'interroger", a-t- il martelé, estimant que "le facilitateur est aujourd'hui devenu le complicateur."
Pour le leader de la jeunesse pro-Gbagbo, les Ivoiriens doivent arrêter de pleurnicher sur les informations parfois alarmantes qu'ils apprennent sur le compte de Laurent Gbagbo.
"Le Secrétaire général de l'ONU Ban Ki Moon a dit que le panel permettra à Ouattara d'exercer pleinement son pouvoir", a-t-il dénoncé, avertissant que "le panel ne viendra pas pour réécrire les lois ou réécrire la constitution de Côte d'Ivoire".
"Tout ce qui doit être fait doit être conforme aux lois en Ivoire", a-t-il souligné, affirmant que "c'est Gbagbo qui est dans la vérité".
De l'avis de Charles Blé Goudé, l'Union africaine n'a fait que répondre au message de Laurent Gbagbo du 31 octobre demandant la mise sur pied d'un comité d'évaluation pour faire la lumière sur les résultats de l'élection présidentielle.
"L'idée émise par Gbagbo vient d'être adoptée par l'UA, et le panel per au monde entier de savoir ce qui se passe en Côte d'Ivoire", a-t-il conclu.
La Côte d'Ivoire se trouve toujours dans un imbroglio politique après le second tour de l'élection présidentielle ayant opposé Laurent Gbagbo à Alassane Ouattara.
Chacun des deux candidats s'est proclamé président de la république et a constitué un gouvernement.
Après plusieurs missions de médiation et à l'issue du 16ème sommet de l’UA, l'institution régionale a décidé de la mise sur pied d'un panel constitué des présidents mauritanien, sud-africain, tanzanien, tchadien et burkinabé.
Ceux-ci devraient se rendre en Côte d'Ivoire en vue du règlement de la crise post électorale et disposent pour cela d'un délai d'un mois pour rendre leurs conclusions.
Avant l'arrivée des Chefs d'Etat, un comité d'experts est attendu dimanche à Abidjan pour évaluer la situation.