« Le discours des décideurs doit s’appuyer sur la vérité. Il n’est pas possible aujourd’hui, à l’état actuel de nos moyens, d’envisager un hivernage sans inondation. Nous prions le bon Dieu de nous gratifier d’une bonne pluviométrie, tout en sachant qu’il peut avoir des conséquences difficiles dans nos cités.
L’Etat et plus particulièrement, l’ONAS, prendra les dispositions idoines pour minimiser les impacts néfastes de ce phénomène sur les populations », a expliqué le Directeur général de l’ONAS, qui a également fait savoir que l’institution a réalisé le curage des canalisations, l’entretien des équipements électromécaniques et remis à niveau le système de drainage.
« Les manifestations des événements extrêmes sont un phénomène mondial. De plus en plus au Sénégal, nous recueillons, en l’espace de quelques heures ou jours, l’équivalent du cumul pluviométrique de trois mois voire la moyenne annuelle. En 2022, la ville de Fatick a enregistré 220 mm de pluie en deux jours, l’équivalent presque du cumul annuel dans cette partie du Sénégal. Il fallait alors plus de temps pour évacuer les eaux pluviales », argumente-t-il.
L’Etat et plus particulièrement, l’ONAS, prendra les dispositions idoines pour minimiser les impacts néfastes de ce phénomène sur les populations », a expliqué le Directeur général de l’ONAS, qui a également fait savoir que l’institution a réalisé le curage des canalisations, l’entretien des équipements électromécaniques et remis à niveau le système de drainage.
« Les manifestations des événements extrêmes sont un phénomène mondial. De plus en plus au Sénégal, nous recueillons, en l’espace de quelques heures ou jours, l’équivalent du cumul pluviométrique de trois mois voire la moyenne annuelle. En 2022, la ville de Fatick a enregistré 220 mm de pluie en deux jours, l’équivalent presque du cumul annuel dans cette partie du Sénégal. Il fallait alors plus de temps pour évacuer les eaux pluviales », argumente-t-il.