Coumba Gawlo trouve que le peuple croule sous le poids des coupures d’électricité. « Que ce soit l’artiste ou le petit commerçant ou tailleur », énumère-t-elle. Comme pour montrer qu’une telle défaillance aura une répercussion à coup sûr leur business, Coumba Gawla Seck laisse entendre : « s’il n’y a pas de courant, les mélomanes ne pourront pas suivre nos produits à la télé ou écouter de la musique ».
Mais pour la diva, c’est le secteur informel qui paie les pots cassés d’une telle situation. « Imaginez une le tailleur qui paie un loyer de 65 mille francs et qui passe toute la journée sans rien faire. Le bailleur ne comprendra pas qu’il n’a pas eu le temps de faire ses commandes », explique-t-elle dans un entretien avec Walf Grand-Place non sans revêtir sa robe d’avocat pour demander au chef de l’Etat de trouver une solution.
Mais pour la diva, c’est le secteur informel qui paie les pots cassés d’une telle situation. « Imaginez une le tailleur qui paie un loyer de 65 mille francs et qui passe toute la journée sans rien faire. Le bailleur ne comprendra pas qu’il n’a pas eu le temps de faire ses commandes », explique-t-elle dans un entretien avec Walf Grand-Place non sans revêtir sa robe d’avocat pour demander au chef de l’Etat de trouver une solution.