Présentez-vous à nos lecteurs
Je suis Coumba Lary Samb. Je suis étudiante en licence de banque-finance. Mais il n’y a pas grand-chose à dire sur moi. Je suis née à Dakar où j’ai fait toute ma vie. Idem pour ma mère. Quant à mon père, c’est un Ndiambour-Ndiambour, natif de Sakal. Je suis issue d’une bonne famille. Machallah, je vis aisément entourée de ma famille. Ici «daal», c’est le «bégué».
Comment êtes-vous arrivée à l’animation
Un jour, en pleine discussion avec une amie, je lui ai parlé de mon désir de faire de la télé. Elle m’a mise en rapport avec une de ses connaissances du nom de Thioukh. C’est celui-ci qui est un ami à Kouthia et qui nous a mis en rapport. Kouthia est quelqu’un de très sympa et c’est celui qui m’a mis le pied à l’étrier. En un mot comme en mille, c’est lui qui a facilité mon intégration dans ce milieu du showbiz. Il a vraiment facilité mon intégration.
Vous avez dit tantôt que vous faisiez la licence, pourquoi avez-vous laissé tomber les études ?
Non du tout, je n’ai pas abandonné mes études. Il n’en est même pas question. C’est juste que je suis en vacances, mais je poursuis mes études. La télé c’est une passion que j’ai depuis toute petite.
Mais ne craignez-vous pas que cette passion l’emporte demain sur les études ?
Non, je ne pense pas. Je peux allier les études et mon travail à la télé. Cependant, pour le moment, mon ambition est de réaliser d’abord mon rêve de faire de la télé, avant d’aller travailler dans une banque ou une quelconque autre institution financière. J’ai vraiment envie de faire une belle carrière dans ce milieu, devenir une animatrice célèbre. Mais célébrité pour célébrité, je n’en veux pas. Au contraire, mon ambition c’est d’être utile à ma société, en lui proposant des choses inédites à travers mes émissions. Je suis jeune certes, mais je peux apporter quelque chose à ma société car je sais communiquer avec les jeunes, toutes générations confondues. Il nous faut travailler aujourd’hui sur de nouveaux paradigmes, pour offrir à cette jeunesse, de nouveaux repères. Cette entreprise ne saurait prospérer sans le soutien de tous, surtout celui des artistes qui constituent les seules références de la jeunesse d’aujourd’hui.
«Si je suis aujourd’hui sortie de l’anonymat, si les gens prennent un peu de leur temps pour écouter Lary, c’est grâce à Kouthia. Ne serait-ce que pour ça, je lui suis reconnaissante. C’est quelqu’un qui a un cœur en or. Il est sans façon. C’est le Kouthia au quotidien que les téléspectateurs regardent tous les jours. Moi je ne suis pas comédienne, j’ai juste un passage de cinq minutes dans Kouthia Show. Mais Kouthia est un comédien talentueux. Il a un don de Dieu. Je le remercie pour ce qu’il a fait pour moi.''
Mais Coumba, vous dites que vous voulez devenir une animatrice, est-ce que l’animation, c’est le showbiz ?
Ça ne l’est pas carrément, mais ça en fait partie. Le showbiz, c’est plusieurs branches. Même les journalistes dans ce secteur, font partie du milieu. Il leur arrive d’écrire un truc et paff, ça fait le buzz. De par ma petite expérience, je crois que ça en fait partie.
Au-delà de ce dont vous venez de parler sur le mode vestimentaire des jeunes, quelle sera alors la grosse innovation de Lary Sam dans le milieu de l’animation ?
Je compte à travers mon message, à travers les actes que je poserais, offrir aux jeunes de nouveaux paradigmes qui ne sont pas forcément, ceux auxquels ils étaient habitués. Sans prétention aucune, mon ambition est d’imposer de nouveaux paradigmes entièrement en phase avec notre patrimoine culturel, sans pour autant se détourner des souffles du monde.
Vous êtes étudiante, comment vous arrivez à concilier les études et votre passion pour l’animation télé ?
Ce n’est pas compliqué. Je tourne entre 14 et 16 heures et à 18 heures, je suis à l’école pour faire mes cours jusqu’à 21 heures. Je profite du temps libre que j’ai dans la matinée, pour revoir mes cours. En somme, l’animation ne me prend pas trop de temps.
L’animation, c’est un rêve d’enfant que vous aviez. Mais aviez vous songé à faire dans la comédie musicale à l’instar de ce que vous faites à la TFM ?
Personnellement, je ne suis pas comédienne. C’est le fruit du hasard et peut-être même la volonté divine, si je travaille avec un comédien. C’est lui d’ailleurs qui m’a introduite dans le milieu. Je ne le remercierai jamais assez. Car, si je suis aujourd’hui sortie de l’anonymat, si les gens prennent un peu de leur temps pour écouter Lary, c’est grâce à Kouthia. Ne serait-ce que pour ça, je lui suis reconnaissante. C’est quelqu’un qui a un cœur en or. Il est sans façon. C’est le Kouthia au quotidien que les téléspectateurs regardent tous les jours. Moi je ne suis pas comédienne, j’ai juste un passage de cinq minutes dans Kouthia Show. Mais Kouthia est un comédien talentueux. Il a un don de Dieu. Je le remercie pour ce qu’il a fait pour moi. Pour vous parler de l’ouverture d’esprit de Kouthia et de son flair, quand je suis arrivée à la TFM, ce n’était pas pour faire la pénitentiaire, c’est lui qui a eu cette idée et qui m’en a parlée.
Mais alors, comment êtes-vous arrivée à incarner ce personnage ?
C’est très simple, je ne faisais que suivre ses orientations. Au tout début, il me briefait, mais après c’était automatique. On dialoguait.
Kouthia est quelqu’un de très comique, racontez-nous comment ça se passe sur le plateau avec lui ?
C’est un peu difficile, mais il faut y mettre du sérieux quand on veut réussir quelque chose. Il faut surtout s’adapter aux circonstances. Quelques fois, il faut faire dans le sérieux et quelques fois aussi, il faut que je rie. Car cela aussi fait partie de l’animation de l’émission. Je ne peux pas toujours faire le gendarme, mais quelques fois…. Ce qui est sûr, là où est Kouthia, c’est zéro stress à la ronde. Il est naturellement comme ça.
Aujourd’hui que vous commencez à vous faire un nom, avez-vous des contacts avec d’autres chaines de télés ou de radios qui souhaiteraient vous engager ?
Ça franchement, c’est mon vœu le plus ardent. Je veux vraiment faire de l’animation, avoir mon plateau à moi. Je travaille sur des concepts, mais je m’en arrête là. Priez pour moi.
Les animateurs de la place sont pour la plupart «diplômés» des boîtes de nuit ou de Dakar FM. Par où êtes vous passée ?
Pour dire la vérité, ce n’est ni l’un, ni l’autre.
Qu’est ce qui vous influencé dans votre rôle de pénitentiaire. Est-ce une rigueur de l’éducation que vous avez reçue dans votre enfance ?
Non, du tout. Ce rôle je l’ai incarné juste parce que le boulot qui le commande. Certes, j’ai reçu une très bonne éducation partagée entre les études scolaires dans les meilleures écoles et l’enseignement coranique. Mon papa m’a éduquée de manière free. Je n’ai d’ailleurs pas aucun parent qui porte la tenue. J’ai juste incarné ce rôle, pour avoir le pied à l’étrier puisqu’il fallait passer par là, pour réaliser mon rêve. Mon papa est quelqu’un qui ne refuse rien à ses enfants. Quand je lui ai fait part de mon intention de faire de la télé, il m’a encouragée. Pareil pour ma mère. Mieux encore, ce sont mes conseillers. Dès fois, le soir, ils m’aident à me rectifier après avoir regardé mon passage dans Kouthia Show.
Lary Samb, fait-elle de la politique ?
(Catégorique) Non.
Que vous fait alors le fait d’incarner le rôle de la gardienne de Karim ?
Ça ne me fait rien du tout. C’est juste un rôle que j’incarne et après j’oublie. Je ne connais pas Karim Wade encore moins Abdoulaye Wade. Je ne les vois qu’à la télé. Je suis apolitique.
Envisagez-vous d’aller rendre visite à Karim Wade en prison ?
Inchallah, je le ferai. Lui-même s’intéresse à ce que nous faisons. Il a même demandé dans un journal que nous venions lui rendre visite et ça, on le fera.
Au-delà de vos études en banque-finances et de l’animation, quels sont vos autres projets ?
Ça, franchement je le garde pour moi. (Grand éclats de rire). Ce que je peux vous dire, c’est que je veux réussir dans es entreprises pour essayer de rendre à mes parents la monnaie de leur pièces, bien que je sache que je n’y parviendrais pas après tout ce qu’ils ont fait pour moi.
Vérité du jour
Je suis Coumba Lary Samb. Je suis étudiante en licence de banque-finance. Mais il n’y a pas grand-chose à dire sur moi. Je suis née à Dakar où j’ai fait toute ma vie. Idem pour ma mère. Quant à mon père, c’est un Ndiambour-Ndiambour, natif de Sakal. Je suis issue d’une bonne famille. Machallah, je vis aisément entourée de ma famille. Ici «daal», c’est le «bégué».
Comment êtes-vous arrivée à l’animation
Un jour, en pleine discussion avec une amie, je lui ai parlé de mon désir de faire de la télé. Elle m’a mise en rapport avec une de ses connaissances du nom de Thioukh. C’est celui-ci qui est un ami à Kouthia et qui nous a mis en rapport. Kouthia est quelqu’un de très sympa et c’est celui qui m’a mis le pied à l’étrier. En un mot comme en mille, c’est lui qui a facilité mon intégration dans ce milieu du showbiz. Il a vraiment facilité mon intégration.
Vous avez dit tantôt que vous faisiez la licence, pourquoi avez-vous laissé tomber les études ?
Non du tout, je n’ai pas abandonné mes études. Il n’en est même pas question. C’est juste que je suis en vacances, mais je poursuis mes études. La télé c’est une passion que j’ai depuis toute petite.
Mais ne craignez-vous pas que cette passion l’emporte demain sur les études ?
Non, je ne pense pas. Je peux allier les études et mon travail à la télé. Cependant, pour le moment, mon ambition est de réaliser d’abord mon rêve de faire de la télé, avant d’aller travailler dans une banque ou une quelconque autre institution financière. J’ai vraiment envie de faire une belle carrière dans ce milieu, devenir une animatrice célèbre. Mais célébrité pour célébrité, je n’en veux pas. Au contraire, mon ambition c’est d’être utile à ma société, en lui proposant des choses inédites à travers mes émissions. Je suis jeune certes, mais je peux apporter quelque chose à ma société car je sais communiquer avec les jeunes, toutes générations confondues. Il nous faut travailler aujourd’hui sur de nouveaux paradigmes, pour offrir à cette jeunesse, de nouveaux repères. Cette entreprise ne saurait prospérer sans le soutien de tous, surtout celui des artistes qui constituent les seules références de la jeunesse d’aujourd’hui.
«Si je suis aujourd’hui sortie de l’anonymat, si les gens prennent un peu de leur temps pour écouter Lary, c’est grâce à Kouthia. Ne serait-ce que pour ça, je lui suis reconnaissante. C’est quelqu’un qui a un cœur en or. Il est sans façon. C’est le Kouthia au quotidien que les téléspectateurs regardent tous les jours. Moi je ne suis pas comédienne, j’ai juste un passage de cinq minutes dans Kouthia Show. Mais Kouthia est un comédien talentueux. Il a un don de Dieu. Je le remercie pour ce qu’il a fait pour moi.''
Mais Coumba, vous dites que vous voulez devenir une animatrice, est-ce que l’animation, c’est le showbiz ?
Ça ne l’est pas carrément, mais ça en fait partie. Le showbiz, c’est plusieurs branches. Même les journalistes dans ce secteur, font partie du milieu. Il leur arrive d’écrire un truc et paff, ça fait le buzz. De par ma petite expérience, je crois que ça en fait partie.
Au-delà de ce dont vous venez de parler sur le mode vestimentaire des jeunes, quelle sera alors la grosse innovation de Lary Sam dans le milieu de l’animation ?
Je compte à travers mon message, à travers les actes que je poserais, offrir aux jeunes de nouveaux paradigmes qui ne sont pas forcément, ceux auxquels ils étaient habitués. Sans prétention aucune, mon ambition est d’imposer de nouveaux paradigmes entièrement en phase avec notre patrimoine culturel, sans pour autant se détourner des souffles du monde.
Vous êtes étudiante, comment vous arrivez à concilier les études et votre passion pour l’animation télé ?
Ce n’est pas compliqué. Je tourne entre 14 et 16 heures et à 18 heures, je suis à l’école pour faire mes cours jusqu’à 21 heures. Je profite du temps libre que j’ai dans la matinée, pour revoir mes cours. En somme, l’animation ne me prend pas trop de temps.
L’animation, c’est un rêve d’enfant que vous aviez. Mais aviez vous songé à faire dans la comédie musicale à l’instar de ce que vous faites à la TFM ?
Personnellement, je ne suis pas comédienne. C’est le fruit du hasard et peut-être même la volonté divine, si je travaille avec un comédien. C’est lui d’ailleurs qui m’a introduite dans le milieu. Je ne le remercierai jamais assez. Car, si je suis aujourd’hui sortie de l’anonymat, si les gens prennent un peu de leur temps pour écouter Lary, c’est grâce à Kouthia. Ne serait-ce que pour ça, je lui suis reconnaissante. C’est quelqu’un qui a un cœur en or. Il est sans façon. C’est le Kouthia au quotidien que les téléspectateurs regardent tous les jours. Moi je ne suis pas comédienne, j’ai juste un passage de cinq minutes dans Kouthia Show. Mais Kouthia est un comédien talentueux. Il a un don de Dieu. Je le remercie pour ce qu’il a fait pour moi. Pour vous parler de l’ouverture d’esprit de Kouthia et de son flair, quand je suis arrivée à la TFM, ce n’était pas pour faire la pénitentiaire, c’est lui qui a eu cette idée et qui m’en a parlée.
Mais alors, comment êtes-vous arrivée à incarner ce personnage ?
C’est très simple, je ne faisais que suivre ses orientations. Au tout début, il me briefait, mais après c’était automatique. On dialoguait.
Kouthia est quelqu’un de très comique, racontez-nous comment ça se passe sur le plateau avec lui ?
C’est un peu difficile, mais il faut y mettre du sérieux quand on veut réussir quelque chose. Il faut surtout s’adapter aux circonstances. Quelques fois, il faut faire dans le sérieux et quelques fois aussi, il faut que je rie. Car cela aussi fait partie de l’animation de l’émission. Je ne peux pas toujours faire le gendarme, mais quelques fois…. Ce qui est sûr, là où est Kouthia, c’est zéro stress à la ronde. Il est naturellement comme ça.
Aujourd’hui que vous commencez à vous faire un nom, avez-vous des contacts avec d’autres chaines de télés ou de radios qui souhaiteraient vous engager ?
Ça franchement, c’est mon vœu le plus ardent. Je veux vraiment faire de l’animation, avoir mon plateau à moi. Je travaille sur des concepts, mais je m’en arrête là. Priez pour moi.
Les animateurs de la place sont pour la plupart «diplômés» des boîtes de nuit ou de Dakar FM. Par où êtes vous passée ?
Pour dire la vérité, ce n’est ni l’un, ni l’autre.
Qu’est ce qui vous influencé dans votre rôle de pénitentiaire. Est-ce une rigueur de l’éducation que vous avez reçue dans votre enfance ?
Non, du tout. Ce rôle je l’ai incarné juste parce que le boulot qui le commande. Certes, j’ai reçu une très bonne éducation partagée entre les études scolaires dans les meilleures écoles et l’enseignement coranique. Mon papa m’a éduquée de manière free. Je n’ai d’ailleurs pas aucun parent qui porte la tenue. J’ai juste incarné ce rôle, pour avoir le pied à l’étrier puisqu’il fallait passer par là, pour réaliser mon rêve. Mon papa est quelqu’un qui ne refuse rien à ses enfants. Quand je lui ai fait part de mon intention de faire de la télé, il m’a encouragée. Pareil pour ma mère. Mieux encore, ce sont mes conseillers. Dès fois, le soir, ils m’aident à me rectifier après avoir regardé mon passage dans Kouthia Show.
Lary Samb, fait-elle de la politique ?
(Catégorique) Non.
Que vous fait alors le fait d’incarner le rôle de la gardienne de Karim ?
Ça ne me fait rien du tout. C’est juste un rôle que j’incarne et après j’oublie. Je ne connais pas Karim Wade encore moins Abdoulaye Wade. Je ne les vois qu’à la télé. Je suis apolitique.
Envisagez-vous d’aller rendre visite à Karim Wade en prison ?
Inchallah, je le ferai. Lui-même s’intéresse à ce que nous faisons. Il a même demandé dans un journal que nous venions lui rendre visite et ça, on le fera.
Au-delà de vos études en banque-finances et de l’animation, quels sont vos autres projets ?
Ça, franchement je le garde pour moi. (Grand éclats de rire). Ce que je peux vous dire, c’est que je veux réussir dans es entreprises pour essayer de rendre à mes parents la monnaie de leur pièces, bien que je sache que je n’y parviendrais pas après tout ce qu’ils ont fait pour moi.
Vérité du jour