Regroupés autour de l’Association de défense des locataires du Sénégal (ADLS), ces consuméristes soutiennent, dans une déclaration parvenue à l’APS, que ‘’le secteur du loyer, à lui seul, constitue plus de 60% du coût élevé de la vie à Dakar’’.
‘’Une soixantaine de familles sont expulsée chaque jour rien que dans la région de Dakar, (à cause de) difficultés de paiement liée à la perte de leur emploi’’, indique le texte qui appelle les locataires à faire ‘’quelque chose avant qu’il ne soit trop tard’’.
Ces consuméristes de type nouveau comptent ‘’bouter (les) lobbies sans scrupule, sans pitié qui continuent d’asservir les citoyens’’, affirmant que cette exploitation se passe ‘’sous le regard complaisant (des) gouvernants’’.
Selon eux, ‘’80% des agences de location (d’immeubles à usage de bureaux et d’habitat) exercent dans la clandestinité, ne versant aucune redevance à l’Etat sur les montants exorbitants qu’ils gagnent sur le dos des concitoyens’’.
Aussi déplorent-ils les risques sanitaires et de sécurité liés à la qualité des immeubles à usage d’habitat. Ils soutiennent que ‘’65% des locataires vivent dans un cadre qui ne respecte pas les normes de construction, entraînant du coup des maladies cardio-vasculaires’’.
Fin 2008, la Direction de la prévision et des études économiques indiquait, dans une étude sur les évolutions des marchés de l’immobilier et de la location, ‘’une tendance haussière très marquée ces huit dernières années’’.
‘’De manière générale, les auteurs de l’étude signalaient, la hausse du prix du logement ne semble pas être expliquée par le rendement locatif. On peut donc soupçonner l’existence d’une bulle spéculative sur le marché de l’immobilier.’’
Selon eux, le rapport entre le prix des biens immobiliers et le loyer, du début des années 80 à la fin des années 90, a évolué ‘’de manière plus ou moins stable’’. ‘’Durant cette période, même si, par moment, le prix de l’immobilier a crû plus vite que celui de la location, il s’en est suivi un effet de rattrapage synonyme d’un marché (ré)équilibré.’’
En juillet 2007, le député de la majorité Iba Der Thiam avait proposé l’institution d’une commission parlementaire d’enquête sur la cherté du loyer à Dakar. Ladite commission a été installée un an plus tard et ses résultats sont encore attendus.
‘’Une soixantaine de familles sont expulsée chaque jour rien que dans la région de Dakar, (à cause de) difficultés de paiement liée à la perte de leur emploi’’, indique le texte qui appelle les locataires à faire ‘’quelque chose avant qu’il ne soit trop tard’’.
Ces consuméristes de type nouveau comptent ‘’bouter (les) lobbies sans scrupule, sans pitié qui continuent d’asservir les citoyens’’, affirmant que cette exploitation se passe ‘’sous le regard complaisant (des) gouvernants’’.
Selon eux, ‘’80% des agences de location (d’immeubles à usage de bureaux et d’habitat) exercent dans la clandestinité, ne versant aucune redevance à l’Etat sur les montants exorbitants qu’ils gagnent sur le dos des concitoyens’’.
Aussi déplorent-ils les risques sanitaires et de sécurité liés à la qualité des immeubles à usage d’habitat. Ils soutiennent que ‘’65% des locataires vivent dans un cadre qui ne respecte pas les normes de construction, entraînant du coup des maladies cardio-vasculaires’’.
Fin 2008, la Direction de la prévision et des études économiques indiquait, dans une étude sur les évolutions des marchés de l’immobilier et de la location, ‘’une tendance haussière très marquée ces huit dernières années’’.
‘’De manière générale, les auteurs de l’étude signalaient, la hausse du prix du logement ne semble pas être expliquée par le rendement locatif. On peut donc soupçonner l’existence d’une bulle spéculative sur le marché de l’immobilier.’’
Selon eux, le rapport entre le prix des biens immobiliers et le loyer, du début des années 80 à la fin des années 90, a évolué ‘’de manière plus ou moins stable’’. ‘’Durant cette période, même si, par moment, le prix de l’immobilier a crû plus vite que celui de la location, il s’en est suivi un effet de rattrapage synonyme d’un marché (ré)équilibré.’’
En juillet 2007, le député de la majorité Iba Der Thiam avait proposé l’institution d’une commission parlementaire d’enquête sur la cherté du loyer à Dakar. Ladite commission a été installée un an plus tard et ses résultats sont encore attendus.