Si les «gorgorlous» sont très fatigués avec ce couvre-feu, c’est que les transports en commun connaissent une très grande affluence. Les transports étaient déjà complets avant le couvre-feu à certaines heures.
«On avait déjà d’énormes problèmes pour rentrer dans la banlieue», déplore Maguette, une usagère domiciliée à Pikine Icotaf, renforcée dans ses propos par Moussa Ndiaye, qui avoue qu’«il y a des problèmes de transport avec le couvre-feu qui commence à 21 heures», selon des propos rapportés par «Tribune ».
À Dakar, de longues files d’attente sur les routes décorent la ville avant l’heure du couvre-feu qui a poussé certaines entreprises et salariés, à réorganiser leurs horaires de travail quand cela est possible.
Que ce soit en ville, dans la proche ou la lointaine banlieue de Dakar, le couvre-feu a eu pour conséquence de créer d’immenses bouchons. Les temps de parcours sont passés de 1 heure à 2 voire 3 heures sur certains itinéraires.
«On avait déjà d’énormes problèmes pour rentrer dans la banlieue», déplore Maguette, une usagère domiciliée à Pikine Icotaf, renforcée dans ses propos par Moussa Ndiaye, qui avoue qu’«il y a des problèmes de transport avec le couvre-feu qui commence à 21 heures», selon des propos rapportés par «Tribune ».
À Dakar, de longues files d’attente sur les routes décorent la ville avant l’heure du couvre-feu qui a poussé certaines entreprises et salariés, à réorganiser leurs horaires de travail quand cela est possible.
Que ce soit en ville, dans la proche ou la lointaine banlieue de Dakar, le couvre-feu a eu pour conséquence de créer d’immenses bouchons. Les temps de parcours sont passés de 1 heure à 2 voire 3 heures sur certains itinéraires.