De nombreuses femmes sont sur des nuages, et la raison est toute simple : en cette période de froid, avoir son partenaire à ses côtés est sans doute la meilleure des solutions. Le couvre-feu exige à tout le monde de regagner le domicile avant 21 heures, à l’exception de quelques travailleurs en nocturne, dont le personnel de santé, les journalistes, des députés, etc.
Ramata Dème, est rencontrée dans la banlieue dakaroise, plus précisément à Keur Mbaye Fall. Elle de nous dire : «Nous ne pouvons pas vraiment nous réjouir de la situation, pour cause, il faut que les hommes travaillent pour assurer les dépenses.
Néanmoins, d’un autre côté, c’est la grande joie. Il faut reconnaître que les femmes sont heureuses, les hommes reviennent tôt à la maison et ne ressortent que le lendemain. Nous avons largement le temps de montrer notre pédanterie féminine en cette période de couvre-feu. Je prends mon exemple : mon mari partait faire du sport à sa descente ; en plus de cela, il descendait tard».
À côté de Ramata, qui nage dans le bonheur, nous faisons la rencontre de notre prochain interlocuteur, Assane Ndiaye, qui, à notre question, affiche un sourire avant de lâcher : «Évidemment, les femmes sont contentes de nous voir à la maison, en plus, nous avons le temps de voir les enfants et d’être en famille. Moi, d’habitude, je descendais à 23 heures ; maintenant, je m’arrange pour descendre avant 21 heures. Je suis vendeur de vaisselle».
Après avoir recueilli la pensée masculine, nous tombons sur une autre jeune dame, la trentaine : «Ah ! Que je suis vraiment contente d’avoir monsieur à la maison avant 21 heures ; les hommes n’ont plus le choix : ils sont à la maison. En plus, les hommes peuvent revenir et ressortir, mais actuellement, c’est impossible : toutes les épouses sont rassurées avec ce couvre-feu».
Tribune
Ramata Dème, est rencontrée dans la banlieue dakaroise, plus précisément à Keur Mbaye Fall. Elle de nous dire : «Nous ne pouvons pas vraiment nous réjouir de la situation, pour cause, il faut que les hommes travaillent pour assurer les dépenses.
Néanmoins, d’un autre côté, c’est la grande joie. Il faut reconnaître que les femmes sont heureuses, les hommes reviennent tôt à la maison et ne ressortent que le lendemain. Nous avons largement le temps de montrer notre pédanterie féminine en cette période de couvre-feu. Je prends mon exemple : mon mari partait faire du sport à sa descente ; en plus de cela, il descendait tard».
À côté de Ramata, qui nage dans le bonheur, nous faisons la rencontre de notre prochain interlocuteur, Assane Ndiaye, qui, à notre question, affiche un sourire avant de lâcher : «Évidemment, les femmes sont contentes de nous voir à la maison, en plus, nous avons le temps de voir les enfants et d’être en famille. Moi, d’habitude, je descendais à 23 heures ; maintenant, je m’arrange pour descendre avant 21 heures. Je suis vendeur de vaisselle».
Après avoir recueilli la pensée masculine, nous tombons sur une autre jeune dame, la trentaine : «Ah ! Que je suis vraiment contente d’avoir monsieur à la maison avant 21 heures ; les hommes n’ont plus le choix : ils sont à la maison. En plus, les hommes peuvent revenir et ressortir, mais actuellement, c’est impossible : toutes les épouses sont rassurées avec ce couvre-feu».
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