La mesure d’interdiction de l’autorité administrative, destinée aux artistes, aux hôtels, bars et restaurants pour lutter contre la Covid 19, a-t-elle sa raison d’être. Le constat fait, montre que des gérants d’hôtels et de grands restaurants refusent d’obtempérer. C’est le cas du gérant de Cosmo Dakar qui brave l’interdit et organise des soirées payantes. Lesdites soirées, découvre-t-on, regroupant des centaines de personnes, se passent dans une villa à Nguérigne.
Ainsi, le ticket d’entrée dans ses soirées de Cosmo Dakar se donne contre 20 000 FCfa et la bouteille s’offre à 100 000 FCfa. Sans contrainte, ce boss qui se targuerait d’être dans un pays de corrompus, déroule impunément son programme de soirées. Et, rien ne se passe ou n’est fait pour le freiner. Aucun acte… S’agit-il, d’une pratique « d’un poids, deux mesures », concernant la mesure de restriction, visant à réagir contre la seconde vague de Covid-19.
Ce week-end, un artiste sénégalais, ayant fait montre d'empathie pour le Chef de l’Exécutif, Macky Sall, en chantant ses louanges et en lui offrant un tableau d’art lors de son anniversaire, a tenu ce week-end, sa soirée. Là aussi, rien ne s’est passé et personne n’a rien dit. Alors qu’il a été interdit à tout artiste, musiciens et autres de prester dans ces cadres précités. L’artiste-musicien en question, Pape Diouf, a drainé dans la quiétude, des foules et son spectacle n’a connu aucune perturbation. Maintenant, s’interroge-t-on, s’agit-il d’un privilège ou d’un refus de traiter tous les acteurs culturels et gérants de bars- restaurants et hôtels, d’un même pied.
Ailleurs, d’autres hôtels, dont Alkimia, Radisson, Pullman, détenus par de richissimes hommes d’affaires, maintiennent leurs programmes. Certains gestionnaires de petits restaurants et d’autres artistes, interdits d’activités, très frustrés, veulent des explications dans ce traitement inique et injuste. Ces frustrés peinent à comprendre comment des personnes du même secteur, frappé par une mesure d’interdiction, peuvent avoir un traitement différent.
Face à ce constat, les gérants de petits restaurants, devant vivre des fruits de leurs activités, se demandent s’il n’y a pas deux types de Sénégalais dans ce pays ? Et devant ce fait, l’autorité étatique est interpellée pour un traitement équitable.
Sinon….
Ainsi, le ticket d’entrée dans ses soirées de Cosmo Dakar se donne contre 20 000 FCfa et la bouteille s’offre à 100 000 FCfa. Sans contrainte, ce boss qui se targuerait d’être dans un pays de corrompus, déroule impunément son programme de soirées. Et, rien ne se passe ou n’est fait pour le freiner. Aucun acte… S’agit-il, d’une pratique « d’un poids, deux mesures », concernant la mesure de restriction, visant à réagir contre la seconde vague de Covid-19.
Ce week-end, un artiste sénégalais, ayant fait montre d'empathie pour le Chef de l’Exécutif, Macky Sall, en chantant ses louanges et en lui offrant un tableau d’art lors de son anniversaire, a tenu ce week-end, sa soirée. Là aussi, rien ne s’est passé et personne n’a rien dit. Alors qu’il a été interdit à tout artiste, musiciens et autres de prester dans ces cadres précités. L’artiste-musicien en question, Pape Diouf, a drainé dans la quiétude, des foules et son spectacle n’a connu aucune perturbation. Maintenant, s’interroge-t-on, s’agit-il d’un privilège ou d’un refus de traiter tous les acteurs culturels et gérants de bars- restaurants et hôtels, d’un même pied.
Ailleurs, d’autres hôtels, dont Alkimia, Radisson, Pullman, détenus par de richissimes hommes d’affaires, maintiennent leurs programmes. Certains gestionnaires de petits restaurants et d’autres artistes, interdits d’activités, très frustrés, veulent des explications dans ce traitement inique et injuste. Ces frustrés peinent à comprendre comment des personnes du même secteur, frappé par une mesure d’interdiction, peuvent avoir un traitement différent.
Face à ce constat, les gérants de petits restaurants, devant vivre des fruits de leurs activités, se demandent s’il n’y a pas deux types de Sénégalais dans ce pays ? Et devant ce fait, l’autorité étatique est interpellée pour un traitement équitable.
Sinon….