La décision de l’OMS d’arrêter les essais cliniques avec l’hydroxychloroquine jugé inefficace pour traiter le coronavirus, s’est heurtée à des résistances de certains pays touchés.
Aprés le refus du Brésil d’arrêter l’utilisation l’hydroxychloroquine en guise de traitement, l’Algérie a également déclaré qu’il allait poursuivre l’utilisation du médicament. « Nous avons traité des milliers de cas avec ce médicament avec beaucoup de succès à ce jour. Et nous n’avons noté aucun effet indésirable. Nous n’avons enregistré aucun décès lié à l’utilisation de (l’hydroxy) chloroquine », a déclaré Dr. Mohamed Bekkat, membre du comité scientifique chargé du Covid-19 en Algérie.
« Et pour les cas confirmés, nous utilisons l’hydroxychloroquine et l’azithromycine. Ensuite, il y a tout un protocole pour les cas graves », a déclaré lundi à l’AFP, un responsable du ministère de la Santé.
Aprés le refus du Brésil d’arrêter l’utilisation l’hydroxychloroquine en guise de traitement, l’Algérie a également déclaré qu’il allait poursuivre l’utilisation du médicament. « Nous avons traité des milliers de cas avec ce médicament avec beaucoup de succès à ce jour. Et nous n’avons noté aucun effet indésirable. Nous n’avons enregistré aucun décès lié à l’utilisation de (l’hydroxy) chloroquine », a déclaré Dr. Mohamed Bekkat, membre du comité scientifique chargé du Covid-19 en Algérie.
« Et pour les cas confirmés, nous utilisons l’hydroxychloroquine et l’azithromycine. Ensuite, il y a tout un protocole pour les cas graves », a déclaré lundi à l’AFP, un responsable du ministère de la Santé.