La coalition Bennoo Siggil Senegaal n’entend pas baisser les bras malgré les tendances qui lui sont favorables dans la plupart des collectivités locales du pays, au sortir du scrutin du 22 mars dernier. Réunis, hier, au domicile d’Amath Dansokho, les leaders de cette coalition se disent prêts à faire face à ‘toute tentative de falsification’ des résultats des urnes. Par les voies légales et, ‘si nécessaire, dans la rue’. ’Nous n’accepterons pas que, par des tripatouillages, les résultats des élections soient falsifiés. Et nous utiliserons toutes les voies légales pour protéger notre victoire. Mais nous appellerons les populations à défendre, s’il le faut dans la rue, leur conquête et leur victoire’, déclare Madièye Mbodji, porte-parole du jour des leaders des partis membres de la coalition Bennoo Siggil Senegaal. Selon M. Mbodji, le peuple sénégalais, en votant massivement contre le pouvoir le 22 mars, ‘a su faire échec au pouvoir de Wade et à son plan de dévolution monarchique du pouvoir’. A l’opposition regroupée au sein de la coalition Bennoo Siggil Senegal, les Sénégalais ont aussi envoyé un signal fort : celui de renforcer son unité pour pouvoir conquérir de nouvelles victoires. Sous ce rapport, le porte-parole des opposants estime que sa coalition a désormais des responsabilités particulières. Lesquelles consistent, dit-il, ‘à la fois à gérer notre unité au sein de Bennoo Siggil Senegaal et démontrer notre capacité à répondre efficacement aux attentes et espoirs placés en nous par le peuple sénégalais’. Voilà pourquoi, poursuit M. Mbodji, ‘nous lançons un appel à l’unité à nos militants. Nous avons gagné ensemble, nous devons gérer ensemble’. Ce principe devra, selon les opposants, être respecté dans la composition des conseils des collectivités locales, parce qu’il constitue le gage de l’unité de leur coalition et de son triomphe en 2012 (à l’élection présidentielle).
Aussi, estiment les leaders de cette coalition, le chef de l’Etat doit, à son tour, tirer un enseignement ‘majeur de ce scrutin qui est sa défaite personnelle de par son implication dans la campagne’. Et la conséquence logique de cet enseignement, c’est qu’il ‘doit démissionner et laisser le pays dans des mains capables de le redresser et d’apporter des solutions aux véritables problèmes des Sénégalais’, dira M. Mbodji qui révèle que rien n’a été facile pour la coalition : ‘D’abord, il n’était même pas facile de constituer des listes. Mais nous avons réussi à le faire dans beaucoup de collectivités locales. Nous avons gagné dans l’unité et la conscience que nous avons des responsabilités qui pèsent sur nous à travers cette victoire, nous amènera à vaincre les difficultés qui se dresseront sur notre chemin pour arriver à mettre en place des bureaux consensuels qui permettront de prendre en charge les préoccupations des Sénégalais à la base’.
Sur les difficultés que le choix des maires, présidents de conseils régionaux et ruraux pourrait créer au sein de leur cadre, le coordonnateur de Yoonu Askan Wi minimise. Selon lui, les candidatures à ces postes seront traitées avec ‘responsabilité, maturité et dans la concertation’. Et Benno Siggil Senegaal compte privilégier la gestion collégiale, selon son porte-parole bien que le poste de maire, président du conseil régional ou rural soit important. Mieux, rassure-t-il, ‘nous avons opté pour la concertation avec les populations, la gestion participative qui va impliquer les populations dans la prise en charge des politiques qui seront mises en œuvre. Cela pour pouvoir satisfaire leurs revendications comme promis pendant la campagne électorale’. Ainsi, les opposants promettent de mettre en selle, au moment du choix, les candidatures les plus consensuelles qui pourront porter en avant leur projet : ‘Répondre aux attentes du peuple et conquérir de nouvelles victoires’.
walfadri
Aussi, estiment les leaders de cette coalition, le chef de l’Etat doit, à son tour, tirer un enseignement ‘majeur de ce scrutin qui est sa défaite personnelle de par son implication dans la campagne’. Et la conséquence logique de cet enseignement, c’est qu’il ‘doit démissionner et laisser le pays dans des mains capables de le redresser et d’apporter des solutions aux véritables problèmes des Sénégalais’, dira M. Mbodji qui révèle que rien n’a été facile pour la coalition : ‘D’abord, il n’était même pas facile de constituer des listes. Mais nous avons réussi à le faire dans beaucoup de collectivités locales. Nous avons gagné dans l’unité et la conscience que nous avons des responsabilités qui pèsent sur nous à travers cette victoire, nous amènera à vaincre les difficultés qui se dresseront sur notre chemin pour arriver à mettre en place des bureaux consensuels qui permettront de prendre en charge les préoccupations des Sénégalais à la base’.
Sur les difficultés que le choix des maires, présidents de conseils régionaux et ruraux pourrait créer au sein de leur cadre, le coordonnateur de Yoonu Askan Wi minimise. Selon lui, les candidatures à ces postes seront traitées avec ‘responsabilité, maturité et dans la concertation’. Et Benno Siggil Senegaal compte privilégier la gestion collégiale, selon son porte-parole bien que le poste de maire, président du conseil régional ou rural soit important. Mieux, rassure-t-il, ‘nous avons opté pour la concertation avec les populations, la gestion participative qui va impliquer les populations dans la prise en charge des politiques qui seront mises en œuvre. Cela pour pouvoir satisfaire leurs revendications comme promis pendant la campagne électorale’. Ainsi, les opposants promettent de mettre en selle, au moment du choix, les candidatures les plus consensuelles qui pourront porter en avant leur projet : ‘Répondre aux attentes du peuple et conquérir de nouvelles victoires’.
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