AFP - Des débris ont été repérés en surface de l'océan Atlantique dans la zone où pourrait avoir disparu l'avion d'Air France assurant la liaison Rio de Janeiro-Paris, a annoncé lundi soir l'armée de l'air brésilienne.
Ces traces ont été observées par l'équipage d'un avion de ligne de la compagnie brésilienne TAM alors qu'il se trouvait dans l'espace aérien du Sénégal, précise l'armée, qui enquête sur cette information.
La compagnie aérienne a précisé que son équipage avait vu des "points lumineux" à la surface de l'océan à 800 milles (1.300 km) de l'archipel Fernando de Noronha. L'appareil venait de dépasser ces îles situées à 350 km de la côte brésilienne au moment du dernier contact.
Cette découverte a également été mentionnée par le vice-président brésilien, Jose Alencar, qui a précisé que le pilote de la TAM avait vu "quelque chose en feu" sur l'océan.
Le vol AF447 avec 228 personnes à son bord a disparu dans la nuit de dimanche à lundi après son décollage de Rio de Janeiro au-dessus de l'Atlantique pour des raisons encore inconnues.
Selon Pierre-Henri Gourgeon, directeur général d'Air France-KLM, "la zone (d'impact) est à peu près identifiée au niveau de l'Atlantique, qui peut être cernée à quelques dizaines de nautiques près avec l'espoir de retrouver des restes de l'épave ou de détecter les émissions des balises Argos".
Ces traces ont été observées par l'équipage d'un avion de ligne de la compagnie brésilienne TAM alors qu'il se trouvait dans l'espace aérien du Sénégal, précise l'armée, qui enquête sur cette information.
La compagnie aérienne a précisé que son équipage avait vu des "points lumineux" à la surface de l'océan à 800 milles (1.300 km) de l'archipel Fernando de Noronha. L'appareil venait de dépasser ces îles situées à 350 km de la côte brésilienne au moment du dernier contact.
Cette découverte a également été mentionnée par le vice-président brésilien, Jose Alencar, qui a précisé que le pilote de la TAM avait vu "quelque chose en feu" sur l'océan.
Le vol AF447 avec 228 personnes à son bord a disparu dans la nuit de dimanche à lundi après son décollage de Rio de Janeiro au-dessus de l'Atlantique pour des raisons encore inconnues.
Selon Pierre-Henri Gourgeon, directeur général d'Air France-KLM, "la zone (d'impact) est à peu près identifiée au niveau de l'Atlantique, qui peut être cernée à quelques dizaines de nautiques près avec l'espoir de retrouver des restes de l'épave ou de détecter les émissions des balises Argos".