Sept passagers étaient à bord de l’avion sanitaire de Sénégal Air en provenance de Ouagadougou disparu dans la nuit du samedi au dimanche. Un accident survenu lorsque l’avion, en évacuation sanitaire, s’est écrasé à plus de 110 kilomètres de Dakar. Pour l’heure, personne parmi les occupations n’a survécu au drame. L’on compte dans les rangs des victimes trois Sénégalais (un médecin et deux infirmiers), deux Congolais, un Algérien et une Française.
Selon les informations reçues par Walfadjri, l’origine du drame est partie d’une panne de kérosène. Certains spécialistes en aéronautique qui ont réagi dans la presse pointent une « négligence » à l’origine de cette situation. « L’avion en question n’était même pas apte pour aller jusqu’au Burkina Faso. Si les contrôles techniques avaient été faits avec plus de rigueur, l’appareil en question n’aurait jamais dû obtenir un certificat de navigation pour effectuer ce voyage », a analysé un spécialiste. « En période d’hivernage, où il y a généralement beaucoup de vent, les appareils prennent deux fois plus de carburant qu’en temps normal », explique l’un d’eux qui s’exprimait sur les ondes d’une radio de la place.
Du côté des autorités de l’aéroport, la responsabilité de l’Agence nationale de l’Aviation civile et de la météorologie (Anacim) est indexée. Son degré d’implication a été évoqué lors d’une réunion de crise présidée, dimanche, par le Premier ministre avec les ministères et directions concernés par l’affaire. Pour l’heure, aucune réaction officielle de la part des autorités de l’Anacim n’est encore enregistrée.
Dans la foulée, d’autres informations font état des circonstances ayant conduit au drame. Selon des sources contactées par nos confrèred, « l’avion avait été affrété par Sos Médecin pour une évacuation sanitaire. Celui-ci devait aller à Ouaga prendre une patiente française. C’est au retour que l’avion qui devait atterrir à l’aéroport Léopold Sédar Senghor à 19 h 15 a disparu des écrans radars ».
Pour l’heure, la Marine nationale mène des recherches à l’effet de retrouver des débris de l’avion et aussi dans l’espoir de retrouver des survivants.
Selon les informations reçues par Walfadjri, l’origine du drame est partie d’une panne de kérosène. Certains spécialistes en aéronautique qui ont réagi dans la presse pointent une « négligence » à l’origine de cette situation. « L’avion en question n’était même pas apte pour aller jusqu’au Burkina Faso. Si les contrôles techniques avaient été faits avec plus de rigueur, l’appareil en question n’aurait jamais dû obtenir un certificat de navigation pour effectuer ce voyage », a analysé un spécialiste. « En période d’hivernage, où il y a généralement beaucoup de vent, les appareils prennent deux fois plus de carburant qu’en temps normal », explique l’un d’eux qui s’exprimait sur les ondes d’une radio de la place.
Du côté des autorités de l’aéroport, la responsabilité de l’Agence nationale de l’Aviation civile et de la météorologie (Anacim) est indexée. Son degré d’implication a été évoqué lors d’une réunion de crise présidée, dimanche, par le Premier ministre avec les ministères et directions concernés par l’affaire. Pour l’heure, aucune réaction officielle de la part des autorités de l’Anacim n’est encore enregistrée.
Dans la foulée, d’autres informations font état des circonstances ayant conduit au drame. Selon des sources contactées par nos confrèred, « l’avion avait été affrété par Sos Médecin pour une évacuation sanitaire. Celui-ci devait aller à Ouaga prendre une patiente française. C’est au retour que l’avion qui devait atterrir à l’aéroport Léopold Sédar Senghor à 19 h 15 a disparu des écrans radars ».
Pour l’heure, la Marine nationale mène des recherches à l’effet de retrouver des débris de l’avion et aussi dans l’espoir de retrouver des survivants.