Les démarches pour la mise sur pied du grand parti présidentiel pourraient réunir les deux frères ennemis et ex-numéros deux du Parti Démocratique Sénégalais, Idrissa Seck et Macky Sall. En tout cas, le maire de Thiès a affirmé qu’il y travaille et que son souhait est que l’édile de Fatick revienne dans la famille libérale.
«Je pense que tous les acteurs PDS, Rewmi, APR seront soumis à la pression de la nécessité de conserver la confiance des sénégalais donc de se retrouver. Je souhaite que Macky Sall revienne et j’y travaille», a déclaré le président du parti Rewmi. Interpellé sur une possible résurgence des querelles intestines et de leadership avec le retour de Macky Sall, Idrissa Seck a confié : «il ne peut pas y avoir de querelles de leadership parce que les leaders seront choisis par les électeurs».
L’ancien numéro deux du parti libéral a, à cet effet, indiqué : «je pense que les querelles vont être dépassées puisque chaque responsable du PDS sera soumis à la pression de la réalité et l’urgence à redresser la barre pour que l’électorat sénégalais nous revienne». Selon lui, «les chiffres parlent à suffisance, le président de la République a fait en 2007 un million neuf cent mille suffrages, Sopi en a fait neuf cent mille le 22 mars dernier. Un million d’électeurs se sont évaporés. Ils ne sont pas allés dans le camp de l’opposition fort heureusement qui elle n’a fait que 600 voire 700 000 avec peut-être les 100000 de Macky Sall qui est aussi une composante de la famille libérale et qui j’espère le comprendra et reviendra dans sa famille propre».
Le maire de Thiès a argumenté par rapport au retour de son ex-frère et ennemi que «qu’en politique, on ne s’isole pas de sa famille politique. C’est une loi universelle, au premier tour, on rassemble sa famille et au deuxième tour, on s’ouvre à d’autres». Et d’argumenter, à cet effet, «si vous prenez l’exemple de la France, Nicolas Sarkozy l’a réussi en restant dans sa famille politique et en l’unifiant, Bayrou qui s’en est écarté a eu une histoire électorale triste».
Ibrahima Lissa FAYE pressafrik
«Je pense que tous les acteurs PDS, Rewmi, APR seront soumis à la pression de la nécessité de conserver la confiance des sénégalais donc de se retrouver. Je souhaite que Macky Sall revienne et j’y travaille», a déclaré le président du parti Rewmi. Interpellé sur une possible résurgence des querelles intestines et de leadership avec le retour de Macky Sall, Idrissa Seck a confié : «il ne peut pas y avoir de querelles de leadership parce que les leaders seront choisis par les électeurs».
L’ancien numéro deux du parti libéral a, à cet effet, indiqué : «je pense que les querelles vont être dépassées puisque chaque responsable du PDS sera soumis à la pression de la réalité et l’urgence à redresser la barre pour que l’électorat sénégalais nous revienne». Selon lui, «les chiffres parlent à suffisance, le président de la République a fait en 2007 un million neuf cent mille suffrages, Sopi en a fait neuf cent mille le 22 mars dernier. Un million d’électeurs se sont évaporés. Ils ne sont pas allés dans le camp de l’opposition fort heureusement qui elle n’a fait que 600 voire 700 000 avec peut-être les 100000 de Macky Sall qui est aussi une composante de la famille libérale et qui j’espère le comprendra et reviendra dans sa famille propre».
Le maire de Thiès a argumenté par rapport au retour de son ex-frère et ennemi que «qu’en politique, on ne s’isole pas de sa famille politique. C’est une loi universelle, au premier tour, on rassemble sa famille et au deuxième tour, on s’ouvre à d’autres». Et d’argumenter, à cet effet, «si vous prenez l’exemple de la France, Nicolas Sarkozy l’a réussi en restant dans sa famille politique et en l’unifiant, Bayrou qui s’en est écarté a eu une histoire électorale triste».
Ibrahima Lissa FAYE pressafrik