Dans une déclaration à l’Elysée, le chef de l’Etat a affirmé que cette opération de lutte contre des "terroristes" durerait "le temps nécessaire", ajoutant que le Parlement français serait "saisi dès lundi" de ce dossier.
L’Elysée a précisé que la décision du président Hollande d’engager les forces armées françaises avait été prise vendredi "matin en accord avec le président malien Dioncounda Traoré".
M. Traoré avait demandé la veille à la France de l’aider militairement à repousser l’avancée vers le sud du pays de groupes armés islamistes.
Avant l’échange téléphonique vendredi matin avec le président Traoré, le président Hollande avait eu au cours de la semaine "de très nombreux contacts" avec les chefs d’Etat africains de la région, a-t-on précisé dans son entourage.
L’armée malienne a lancé vendredi une contre-offensive avec une assistance de la France et d’autres pays européens pour reprendre aux islamistes une ville du centre conquise la veille, d’où ils menaçaient de continuer leur poussée vers les zones contrôlées par le gouvernement de Bamako.
L’Elysée a précisé que la décision du président Hollande d’engager les forces armées françaises avait été prise vendredi "matin en accord avec le président malien Dioncounda Traoré".
M. Traoré avait demandé la veille à la France de l’aider militairement à repousser l’avancée vers le sud du pays de groupes armés islamistes.
Avant l’échange téléphonique vendredi matin avec le président Traoré, le président Hollande avait eu au cours de la semaine "de très nombreux contacts" avec les chefs d’Etat africains de la région, a-t-on précisé dans son entourage.
L’armée malienne a lancé vendredi une contre-offensive avec une assistance de la France et d’autres pays européens pour reprendre aux islamistes une ville du centre conquise la veille, d’où ils menaçaient de continuer leur poussée vers les zones contrôlées par le gouvernement de Bamako.