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Crise au Pds : Les ambassadeurs accrédités à Dakar votent pour la Coalition Bokk Guiss Guiss

Après avoir pris la peine de se faire une idée sur la crise politique qui secoue actuellement le Pds, avec d’une part Wade et ses alliés et d’autre part Pape Diop et ses partisans, les diplomates étrangers accrédités au Sénégal ont tranché la question. Pour eux, il ne fait aucun doute que l’Alliance Bokk Guiss Guiss est dans son bon droit et a eu raison de prendre ses responsabilités pour se lancer dans la bataille des législatives.


Rédigé par leral.net le Lundi 30 Avril 2012 à 19:40 | | 1 commentaire(s)|

Crise au Pds : Les ambassadeurs accrédités à Dakar votent pour la Coalition Bokk Guiss Guiss
Notre source de nous préciser que les ambassadeurs de certains pays occidentaux accrédités à Dakar et la représentation de l’Union européenne au Sénégal ont fait part de leur incompréhension par rapport à la posture d’Abdoulaye Wade. Toujours selon notre source, ces diplomates ont marqué leur étonnement de voir l’ancien président du Sénégal mener la bataille politique de trop alors que la raison aurait prévalu qu’il joua un rôle d’arbitre dans son Parti. Se faisant, ces ambassadeurs ont applaudi des deux mains le courage politique qui a engendré la création de la Coalition Bokk Guiss Guiss. D’après notre source, certains de ces diplomates étrangers attendent de voir l’issue des élections législatives de juillet prochain et juger réellement de la représentativité de Bokk Guiss Guiss dans le champ politique local. Un parmi ces diplomates se serait inquiété de la situation actuelle du Pds qui aurait dû jouer pleinement son rôle de premier Parti d’opposition du pays après la perte du pouvoir. Mais, notre source d’ajouter que nombre de ces ambassadeurs se seraient renseignés sur la force de frappe future de Pape Diop et de ses partisans. L’écho encourageant qu’ils ont eu de leur enquête leur a permis d’estimer qu’à l’avenir, la Coalition Bokk Guiss Guiss pourrait se muer en principale force politique du pays. Ceci intervient dans le contexte crucial des élections législatives de juillet prochain et de leurs conséquences dans la redistribution des cartes politiques. Xamle.net est en mesure d’écrire que les puissances étrangères, à travers leurs représentants à Dakar, militent pour l’alternance au sein des partis politiques au Sénégal. Le cas du Pds est savoureux puisque selon notre source, son avenir revêt un grand intérêt aux yeux des Occidentaux. En coulisses, ils observent mais le moment venu pourraient soutenir l’Alliance Bokk Guiss Guiss qui a gagné leur estime. Pour ne rien arranger, Wade est aujourd’hui en froid avec ces missions diplomatiques depuis qu’il avait accusé Paris et Washington de manœuvrer pour déstabiliser son défunt régime. Depuis, les choses ne se sont pas arrangés et rien ne dit qu’elles le seront puisque les enjeux ne sont plus les mêmes. Abdoulaye Wade est aujourd’hui un homme isolé, reclus dans sa résidence de Fann et ne mise plus que sur issue heureuse de sa «liste» aux législatives prochaines pour redorer son blason et laisser le Pds à ses propres hommes. Le macth n’est pas joué d’avance puisque notre source nous précise que Wade n’avait pas vu venir la menace Bokk Guiss Guiss. La montée en puissance de Pape Diop et ses partisans pourrait faire d’une pierre deux coups : installer une nouvelle force politique dans le pays et renvoyer définitivement Wade à la retraite. Une hypothèse sur laquelle ont beaucoup misé les diplomates étrangers accrédités à Dakar.






( Les News )


1.Posté par Norbert le 01/05/2012 14:08 | Alerter
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Gestion nébuleuse du groupe Sopi media: Me Ousmane Ngom, Mouhamadou Moustapha Dieng et Salam Diop dans le collimateur des travailleurs

Rien ne va plus à la radio  Sopi fm et à Sopi hebdo, les deux entités du groupe Sopi media qui avait été inauguré en grande pompe il y a de cela plus d'une année, par l'ancien President de la république, Me Abdoulaye Wade.  Depuis deux mois le personnel n'est plus payé.  Le superviseur général du groupe Me Ousmane Ngom est inscrit depuis la chute du régime libéral aux abonnés absents. La cinquantaine d'employé de ce groupe est livrée à elle même. Comme un malheur n'arrive jamais seul, un climat de suspicion pèse lourdement sur le gestionnaire de ce groupe en l'occurrence l'ancien ministre de l'intérieur Ousmane  Ngom. Les agents de ce groupe de presse qui tirent désormais le diable par la queue et qui sont au bout de leur patience, le soupçonne d'avoir fait main basse sur une partie du budget du groupe qui se chiffrait à plus de trois cents millions de FCfCA. 

À deux reprises, les travailleurs du groupe sopi  media ont tenté d'assiéger le domicile de Me Ousmane Ngom afin d'entrer dans leur fonds. N'eut été les conseils d'un haut dignitaire du PDS mis au parfum au dernier moment, ces agents dépités,  étaient prêts à lancer l'assaut final sur la villa de Me Ousmane Ngom pour se faire entendre. Malgré les conciliabules par personnes interposées, Ousmane Ngom qui se montre de plus en plus arrogant, refuse de rencontrer tout le personnel du groupe pour expliquer les causes de ces retards de salaires. 

Un groupe de radicaux qui commence en avoir marre des dilatoires du dernier ministre de l'intérieur de Me Abdoulaye Wade, qui semble se jouer d'eux, a lancé le week-end dernier un ultimatum au superviseur général du groupe, le sommant ainsi, de payer au plus tard le 5 mai 2012 les deux mois d'arriérés de salaires qu'il doit au personnel. Si Ousmane Ngom refuse de s'exécuter, le personnel du groupe de presse qui comprend une radio et un hebdomadaire menace de durcir le ton en usant de tous les moyens à leur disposition pour se faire payer. 

Le sieur Salam Diop, le rédacteur en chef du journal Sopi qui avait fait main basse sur les fonds de campagne pour le second tour de la présidentielle destinés aux journalistes de Sopi hebdo et qui étaient  estimés à 1,5 million de FCFA, en sait quelque chose. Ses propres journalistes qui n'avaient plus vu la couleur de l'argent depuis 60 jours, l'on séquestré, l'obligeant ainsi à restituer nuitamment et .... dans la rue, l'argent qu'il avait volé.   

Me Ousmane Ngom qui semble être son complice dans certains micmacs est averti. Désormais rien ne sera plus comme avant. Même Mouhamadou Moustapha Dieng, le coordonnateur général du groupe n'est pas lui aussi épargné des  foudres des agents du groupe Sopi média qui sont déterminés à lutter pour non seulement se faire payer leurs deux mois d'arriérés de salaires, mais aussi pour  l'assainissement de la gestion de ce groupe de presse gangrené aujourd'hui par le trio : Ousmane Ngom, Mouhamadou Moustapha Dieng et Abdou Salam Diop. 

Ces trois individus qui doivent avoir le courage de démissionner sont également  pointés du doigt par le personnel comme étant les principaux responsables de leur malheur. C'est la raison pour laquelle les travailleurs du groupe sopi media exigent leur départ et demandent dans la foulée au Comité d'orientation du groupe composé entre autres du Professeur Iba Der Thiam, Modou Diagne Fada et Abdoulaye Faye  d'éloigner dare dare ce trio  de la gestion du groupe. Car, à les en croire, ils se sont assez sucrés sur le dos des pauvres agents qui sont aujourd'hui, pour la plupart en instance d'être expulsé de leur domicile pour défaut de payement de loyer. 

Pour le petite histoire, la Senelec avait même coupé pendant 24 heures  l'électricité du groupe de presse. Ousmane Ngom avisé, s'est empressé de payer la facture et le bon de coupure sur fonds propre, avant que Me Abdoulaye Wade, le secrétaire général du PDS et non moins Président fondateur du groupe ne soit au courant de cette forfaiture.  Mais c'était peine perdu l'entourage de Wade en l'occurrence Samuel Sarr et Abdoulaye Faye avait été informé.  De quoi à peur Ousmane Ngom? Mystère et boule de gomme! 

En tout cas, le personnel à qui le le superviseur du groupe demande encore de patienter, par l'intermédiaire d'un de ses chambellans, malgré la gravité de la situation, n'en peut plus et menace de passer à la vitesse supérieure dans les prochaines heures pour se faire payer leur deux mois d'arriérés de salaires, jusqu'au dernier centime. 

Face au manque de considération à leur égard par le sieur Me Ousmane Ngom, l'ensemble du personnel du groupe Sopi média a décidé d'aller s'en remettre ce mercredi 2 mai à 11 heures, au  Président Wade, le President Fondateur de ce groupe de presse. 

Norbert Zongo 

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