Il faut dire que la Société nationale d’électricité vit des périodes de difficultés financières qui empêchent un approvisionnement correct en combustibles. Il s’y est ajouté la panne de nombreuses machines loin d’être mises en service. La question énergétique reste entière de sorte que la situation risque d’empirer très prochainement’ c’est-à-dire en période de chaleur. Ces déclarations sont à prendre très au sérieux car faites par des responsables du Syndicat unique des travailleurs de l’électricité (Sutelec). Autant dire que l’heure est grave et le sens de la responsabilité doit obliger la Senelec à briser le silence dans lequel elle s’est emmurée depuis le retour sans interruption des délestages. La meilleure manière de s’y prendre est de communiquer vrai afin de désamorcer des réactions musclées des consommateurs.
Des difficultés de la Sénélec s’articulent autour d’une double équation de trésorerie exsangue empêchant toute possibilité de s’approvisionner correctement en combustible avec des machines tombées en panne faute d’entretien. Au niveau du Cap des biches, 4 groupes sont à l’arrêt. Pourtant lors d’une de ses visites des lieux, Karim Wade, le ministre de l’énergie avait fait la promesse de changer la manière de fonctionner la centrale électrique du Cap des biches. La responsabilité du régime libérale est avérée dans cette situation chaotique de la Sénélec affirment les syndicalistes qui disent ne pas connaitre ce genre de problèmes du temps des socialistes. De sources dignes de foi, on apprend que les autorités projettent d’appliquer une solution consistant à louer un groupe de 50 MW. Une formule chère qui va davantage crever le budget de la trésorerie de la Senelec obligée de fonctionner à perte. Parce que la machine fonctionne au diésel oïl qui est très cher.
Les preuves sont aujourd’hui établies que le problème de la Senelec n’était pas lié à la personne du ministre limogé qui est Samuel Sarr. Les maux dont souffre la Senelec sont le manque d’argent et la mauvaise gestion. Et ces maux seraient loin de connaitre un début de traitement approprié. La Senelec n’arrive plus à honorer ses factures face à ces fournisseurs. La situation est aggravée avec l’arrivée de Karim Wade dont la gestion est jugée solitaire dans un contexte où tous les secteurs de la boite sont paralysés. Le silence dans lequel s’est emmuré la Senelec depuis le retour des délestages est la preuve qu’elle n’a de respect pour les consommateurs. Pas une moindre sortie servant des explications aux clients.
A en croire certains responsables Karim Wade loin d’être l’homme du salut est celui qui étouffe la Senelec. Et face au ministre de l’énergie qui chamboule, le Directeur de la Senelec qui est sensé avoir des responsabilités est appelé à les assumer. Et c’est d’hommage qu’il ne soit pas senti en aucun moment. Voilà que les conséquences des délestages n’épargnent aucun secteur. De la santé aux ménages en passant par les pme, pmi et l’éducation où le quantum horaire est considérablement réduit. Dans les hôpitaux les blocs opératoires tout comme les services de radiologie et de scanner sont interrompus. Le paradoxe est malgré les signaux au rouge, la Senelec continue à mener un train de vie dispendieux.
Bakary Ndiaye leral.net
Des difficultés de la Sénélec s’articulent autour d’une double équation de trésorerie exsangue empêchant toute possibilité de s’approvisionner correctement en combustible avec des machines tombées en panne faute d’entretien. Au niveau du Cap des biches, 4 groupes sont à l’arrêt. Pourtant lors d’une de ses visites des lieux, Karim Wade, le ministre de l’énergie avait fait la promesse de changer la manière de fonctionner la centrale électrique du Cap des biches. La responsabilité du régime libérale est avérée dans cette situation chaotique de la Sénélec affirment les syndicalistes qui disent ne pas connaitre ce genre de problèmes du temps des socialistes. De sources dignes de foi, on apprend que les autorités projettent d’appliquer une solution consistant à louer un groupe de 50 MW. Une formule chère qui va davantage crever le budget de la trésorerie de la Senelec obligée de fonctionner à perte. Parce que la machine fonctionne au diésel oïl qui est très cher.
Les preuves sont aujourd’hui établies que le problème de la Senelec n’était pas lié à la personne du ministre limogé qui est Samuel Sarr. Les maux dont souffre la Senelec sont le manque d’argent et la mauvaise gestion. Et ces maux seraient loin de connaitre un début de traitement approprié. La Senelec n’arrive plus à honorer ses factures face à ces fournisseurs. La situation est aggravée avec l’arrivée de Karim Wade dont la gestion est jugée solitaire dans un contexte où tous les secteurs de la boite sont paralysés. Le silence dans lequel s’est emmuré la Senelec depuis le retour des délestages est la preuve qu’elle n’a de respect pour les consommateurs. Pas une moindre sortie servant des explications aux clients.
A en croire certains responsables Karim Wade loin d’être l’homme du salut est celui qui étouffe la Senelec. Et face au ministre de l’énergie qui chamboule, le Directeur de la Senelec qui est sensé avoir des responsabilités est appelé à les assumer. Et c’est d’hommage qu’il ne soit pas senti en aucun moment. Voilà que les conséquences des délestages n’épargnent aucun secteur. De la santé aux ménages en passant par les pme, pmi et l’éducation où le quantum horaire est considérablement réduit. Dans les hôpitaux les blocs opératoires tout comme les services de radiologie et de scanner sont interrompus. Le paradoxe est malgré les signaux au rouge, la Senelec continue à mener un train de vie dispendieux.
Bakary Ndiaye leral.net