C’est pourquoi Innocence Ntap Ndiaye appelle à une élection apaisée, qui permettra au Sénégal de garder sa réputatio n d’un pays stable et démocratique.
« L’appel, c’est véritablement des élections apaisées et qu’au lendemain du 25 février 2024, le Sénégal continue son chemin. Je pense que nous sommes cités en modèles et nous ne devons pas tomber de ce piédestal et je pense que tous les Sénégalais et toutes les Sénégalaises en sont conscients, en faisant comme d’habitude, aller voter et rentrer tranquillement chez soi.
Avec l’électronique, c’est le soir que les résultats tombent et puis le lendemain, toutes les activités reprennent. Le Sénégal ne doit pas s’arrêter au lendemain de l’élection politique de février 2024 », a soutenu la présidente de l’institution en charge de la promotion du dialogue social dans notre pays. Elle intervenait hier à Saly, où s’ouvrait la 33e assemblée plénière de l’institution qu’elle dirige.
Outre la présidente du HCDS, les représentants des différents groupes de mandants tripartites, à savoir Pape Birama Diallo, au nom des employés, Abdel Kader Ndiaye pour les employeurs et Karim Cissé, pour le groupe Gouvernement, ont respectivement, alerté sur les risques de perturbations dans le monde du travail, à l’approche de cette consultation électorale majeure qu’est la présidentielle, prôné la continuité du service public et invité les acteurs politiques, à plus de sagesse, pour éviter à notre pays, des lendemains post-électoraux troubles.
Hormis l’élection présidentielle, la présidente du HCDS a déploré la faible participation des travailleurs lors des élections de représentativité des centrales syndicales.
«Nous sommes membres du comité électoral, mais nous avons noté une faible participation. C’est ce que nous avons tiré après la tenue de ces élections », a d’emblée regretté Innocence Ntap. Ainsi, elle exhorte les travailleurs à faire preuve d’un engagement syndical qui pourra encourager l’élite, pour la défense de leurs intérêts.
«C’est une faible participation qui n’a pas atteint un taux de 35% que nous avions quand nous étions aux commandes. A l’époque, nous avions un taux de participation de 35%, malheureusement, on est aujourd’hui à 25%. Je pense qu’il y a beaucoup de choses à faire en matière d’information, pour que les travailleurs comprennent que les élections de représentativité sont des moments forts auxquels ils doivent participer. La question est importante pour les centrales syndicales, qui doivent se repositionner dans le secteur du travail, parce quand les travailleurs ne se syndiquent plus, ce ne serait plus la peine de tenir des élections», a-t-elle martelé.
Le Témoin
« L’appel, c’est véritablement des élections apaisées et qu’au lendemain du 25 février 2024, le Sénégal continue son chemin. Je pense que nous sommes cités en modèles et nous ne devons pas tomber de ce piédestal et je pense que tous les Sénégalais et toutes les Sénégalaises en sont conscients, en faisant comme d’habitude, aller voter et rentrer tranquillement chez soi.
Avec l’électronique, c’est le soir que les résultats tombent et puis le lendemain, toutes les activités reprennent. Le Sénégal ne doit pas s’arrêter au lendemain de l’élection politique de février 2024 », a soutenu la présidente de l’institution en charge de la promotion du dialogue social dans notre pays. Elle intervenait hier à Saly, où s’ouvrait la 33e assemblée plénière de l’institution qu’elle dirige.
Outre la présidente du HCDS, les représentants des différents groupes de mandants tripartites, à savoir Pape Birama Diallo, au nom des employés, Abdel Kader Ndiaye pour les employeurs et Karim Cissé, pour le groupe Gouvernement, ont respectivement, alerté sur les risques de perturbations dans le monde du travail, à l’approche de cette consultation électorale majeure qu’est la présidentielle, prôné la continuité du service public et invité les acteurs politiques, à plus de sagesse, pour éviter à notre pays, des lendemains post-électoraux troubles.
Hormis l’élection présidentielle, la présidente du HCDS a déploré la faible participation des travailleurs lors des élections de représentativité des centrales syndicales.
«Nous sommes membres du comité électoral, mais nous avons noté une faible participation. C’est ce que nous avons tiré après la tenue de ces élections », a d’emblée regretté Innocence Ntap. Ainsi, elle exhorte les travailleurs à faire preuve d’un engagement syndical qui pourra encourager l’élite, pour la défense de leurs intérêts.
«C’est une faible participation qui n’a pas atteint un taux de 35% que nous avions quand nous étions aux commandes. A l’époque, nous avions un taux de participation de 35%, malheureusement, on est aujourd’hui à 25%. Je pense qu’il y a beaucoup de choses à faire en matière d’information, pour que les travailleurs comprennent que les élections de représentativité sont des moments forts auxquels ils doivent participer. La question est importante pour les centrales syndicales, qui doivent se repositionner dans le secteur du travail, parce quand les travailleurs ne se syndiquent plus, ce ne serait plus la peine de tenir des élections», a-t-elle martelé.
Le Témoin