Le Curé précise que la genèse psychique de l’homosexualité reste largement inexpliquée. Le message biblique repose sur la différenciation sexuelle et la place de la parole. « Dieu créa l'homme et la femme. Ce n'est pas un hasard. Cette différenciation reconnue par la parole, a quelque chose à voir avec la Révélation chrétienne. C'est dans la relation à l'autre sexe, toujours un peu mystérieux et inaccessible que nous pressentons la différence de Dieu et sa proximité.
C'est grâce à la différence des sexes que le don de la vie est rendu possible. Et, à travers lui, la transmission du nom de Dieu au fil des générations. Il y a là une réalité incontournable », explique le Curé de l’Eglise.
Or, c'est une symbolique, le lien entre la parole, les différences des sexes et des générations, que les personnes homosexuelles ne peuvent, de fait, assumer. Dire cela, n'est pas de porter un jugement sur les personnes.
« L’Église Catholique ne condamne pas les tendances homosexuelles ni les personnes, mais condamne les "actes homosexuels". Tout en considérant ces actes comme désordonnés. L’église appelle les hommes et les femmes au respect des personnes homosexuelles et condamne l’homophobie. Mais selon l’ordre moral objectif, les relations homosexuelles sont des actes dépourvus de leur règle essentielle et indispensable », rappelle-t-il.
Les relations homosexuelles sont condamnées dans la Sainte Ecriture, comme de graves dépravations et présentées même comme la triste conséquence d’un refus de Dieu. « Ce jugement de l’Écriture ne permet pas de conclure que tous ceux qui souffrent de cette anomalie, en sont personnellement responsables. Mais, il atteste que les actes d’homosexualité sont intrinsèquement désordonnés et qu’ils ne peuvent en aucun cas, recevoir quelque approbation », conclut-il.
O WADE Leral
C'est grâce à la différence des sexes que le don de la vie est rendu possible. Et, à travers lui, la transmission du nom de Dieu au fil des générations. Il y a là une réalité incontournable », explique le Curé de l’Eglise.
Or, c'est une symbolique, le lien entre la parole, les différences des sexes et des générations, que les personnes homosexuelles ne peuvent, de fait, assumer. Dire cela, n'est pas de porter un jugement sur les personnes.
« L’Église Catholique ne condamne pas les tendances homosexuelles ni les personnes, mais condamne les "actes homosexuels". Tout en considérant ces actes comme désordonnés. L’église appelle les hommes et les femmes au respect des personnes homosexuelles et condamne l’homophobie. Mais selon l’ordre moral objectif, les relations homosexuelles sont des actes dépourvus de leur règle essentielle et indispensable », rappelle-t-il.
Les relations homosexuelles sont condamnées dans la Sainte Ecriture, comme de graves dépravations et présentées même comme la triste conséquence d’un refus de Dieu. « Ce jugement de l’Écriture ne permet pas de conclure que tous ceux qui souffrent de cette anomalie, en sont personnellement responsables. Mais, il atteste que les actes d’homosexualité sont intrinsèquement désordonnés et qu’ils ne peuvent en aucun cas, recevoir quelque approbation », conclut-il.
O WADE Leral