"Nous allons vivre longtemps avec cette menace", et avec la possibilité de "nouvelles répliques" dans "les jours qui viennent, dans les semaines qui viennent", a déclaré le Premier ministre sur RTL.
"Cet attentat a été organisé, pensé, planifié depuis la Syrie", a affirmé le Premier ministre, qui a martelé que le gouvernement n'écartait "aucune solution" dans cette "guerre" contre le terrorisme.
Manuel Valls a affirmé que des opérations du groupe Etat islamique "se préparent encore, pas seulement contre la France, mais contre d'autres pays européens".
"Nous savons qu'il y a des opérations qui se préparaient et qui se préparent encore, pas seulement contre la France, mais contre d'autres pays européens", a dit Manuel Valls.
Il a appelé les Français à une "très grande vigilance", avertissant que le "comportement de chacun va se modifier par rapport à cette menace terroriste".
"J'invite chacun à la maîtrise, à la prudence et à la vigilance. Oui, le comportement de chacun va se modifier par rapport à cette menace terroriste", a-t-il dit.
"Cet acte de guerre, cette nouvelle guerre, car elle est évidemment en France pas une guerre conventionnelle, nous oblige à une attitude, à une hauteur de vue, à une mobilisation ... à une très vigilance, à une très grande maîtrise, à du sang-froid", a insisté le Premier ministre.
Les "terroristes" ont voulu s'attaquer "à la jeunesse", a affirmé Manuel Valls, évoquant "une génération Bataclan", en référence à la salle de concert où a été touché le plus grand nombre de victimes.
"Les terroristes, une nouvelle fois, ont voulu s'attaquer à la France, au peuple français, à la jeunesse. Beaucoup de jeunes sont morts, parlent. C'est justement au fond une génération Bataclan", a déclaré le Premier ministre sur RTL.
"Oui, on s'est attaqué à la France, parce que c'est un peuple libre et qui parle au monde à travers ses valeurs universelles", a-t-il poursuivi.
7sur7.be
"Cet attentat a été organisé, pensé, planifié depuis la Syrie", a affirmé le Premier ministre, qui a martelé que le gouvernement n'écartait "aucune solution" dans cette "guerre" contre le terrorisme.
Manuel Valls a affirmé que des opérations du groupe Etat islamique "se préparent encore, pas seulement contre la France, mais contre d'autres pays européens".
"Nous savons qu'il y a des opérations qui se préparaient et qui se préparent encore, pas seulement contre la France, mais contre d'autres pays européens", a dit Manuel Valls.
Il a appelé les Français à une "très grande vigilance", avertissant que le "comportement de chacun va se modifier par rapport à cette menace terroriste".
"J'invite chacun à la maîtrise, à la prudence et à la vigilance. Oui, le comportement de chacun va se modifier par rapport à cette menace terroriste", a-t-il dit.
"Cet acte de guerre, cette nouvelle guerre, car elle est évidemment en France pas une guerre conventionnelle, nous oblige à une attitude, à une hauteur de vue, à une mobilisation ... à une très vigilance, à une très grande maîtrise, à du sang-froid", a insisté le Premier ministre.
Les "terroristes" ont voulu s'attaquer "à la jeunesse", a affirmé Manuel Valls, évoquant "une génération Bataclan", en référence à la salle de concert où a été touché le plus grand nombre de victimes.
"Les terroristes, une nouvelle fois, ont voulu s'attaquer à la France, au peuple français, à la jeunesse. Beaucoup de jeunes sont morts, parlent. C'est justement au fond une génération Bataclan", a déclaré le Premier ministre sur RTL.
"Oui, on s'est attaqué à la France, parce que c'est un peuple libre et qui parle au monde à travers ses valeurs universelles", a-t-il poursuivi.
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