Alors que les mannequins se dandinaient sur le Podium du Dakar Fashion Week, l’initiatrice de cet évènement de Mode a eu la visite inattendue d’un agent du Bsda (Bureau sénégalais du droit d’auteur) qui a coupé le son. La structure qui protège le droit des auteurs réclame à Adama Ndiaye dite Adama Paris 1 million de francs CFA. Montant que la créatrice n’a pas payé par principe. L’international sénégalais Khalilou Fadiga qui a assisté à la scène a voulu dépanner son amie, mais cette dernière a dit niet. Car pour elle, elle ne perçoit pas d’entrée pour cette journée du mercredi et ce n’est pas à elle de payer mais au propriétaire de la boite qui accueille le Dakar Fashion Week.
Très sidérée par cette attitude du Bsda, Adama Paris n’a pas porté de gangs pour décrier ce sabotage. Dans les colonnes de Walf Grand-Place, la styliste laisse libre cours à sa colère « je suis une jeune sénégalaise qui se bat pour son pays. Que l’on ne me mette pas les bâtons dans les roues. Que l’on m’encourage au moins. Ennemis ou détracteurs, les gens savent reconnaitre une personne qui se bat. Ce n’est pas parce que j’ai 30 ans que je ne suis pas plus méritante que quelqu’un qui a 40 ans ».
Très sidérée par cette attitude du Bsda, Adama Paris n’a pas porté de gangs pour décrier ce sabotage. Dans les colonnes de Walf Grand-Place, la styliste laisse libre cours à sa colère « je suis une jeune sénégalaise qui se bat pour son pays. Que l’on ne me mette pas les bâtons dans les roues. Que l’on m’encourage au moins. Ennemis ou détracteurs, les gens savent reconnaitre une personne qui se bat. Ce n’est pas parce que j’ai 30 ans que je ne suis pas plus méritante que quelqu’un qui a 40 ans ».