Il s’est particulièrement distingué depuis le lendemain du 22 mars pour faire comprendre à l’opinion publique que la coalition Sopi 2009 est sortie largement victorieuse des dernières échéances régionales, rurales et municipales. Les dernières interventions de Iba Der Thiam, puisque c’est de lui qu’il s’agit, ne datent pas d’une semaine. Que ce soit « Grand jury » de dimanche dernier sur Rfm ou plus récemment « Diné ak Diamono » sur Walf Tv, le coordonnateur de la Cap 21 a rappelé à ceux qui ne l’avaient pas encore entendu ou constaté que « sur 529 collectivités locales, la coalition de la mouvance présidentielle a raflé près de 330 dont 11 régions sur 14 et 62 communes sur 130… et a recueilli près de 1 million 200 milles voix sur un peu plus de deux millions ».
Invité avec l’ancien ministre de l’Education sous le régime de Abdou Diouf, Ousmane Tanor Dieng a fourni une réponse sans appel sur les chiffres avancés. Le secrétaire général du Ps a d’abord rappelé les propos du président Abdoulaye Wade durant la campagne, "lui qui avait annoncé la victoire, avant la lettre, de la coalition Sopi sur près de 130 collectivités locales du fait de l’absence des listes forcloses de l’opposition". Il précise que ces localités sont essentiellement dans les nouvelles régions de Kédougou et de Sédhiou.
En outre, le patron des socialistes a souligné le cas particulier d’une quinzaine de localités dans la région de Diourbel. Dans ces collectivités « appartenant » à des chefs religieux, dont la ville sainte de Touba, « la compétition était inexistante parce qu’il n’y avait que des listes des marabouts que la coalition Sopi 2009 a délibérément ornées à ses couleurs et a comptabilisées parmi ses localités remportées », souligne Ousmane Tanor Dieng. Citant les grandes villes tombées dans l’escarcelle de Bennoo Siggil Senegaal comme Dakar, Saint-Louis, Kaolack, Mbour, Fatick entre autre, l’ex-sherpa de Abdou Diouf dira, comme pour ironiser, à Iba Der Thiam : « vous pouvez toujours nous dire que vous avez gagné ».
Pour ce qui est du qualificatif « Nationales » qui dérange visiblement certains libéraux dont le professeur Thiam dans la dénomination des assises, Tanor Dieng a mis les points sur les « i » de la façon la plus simple. Pour lui, la non-participation du parti au pouvoir n’enlèvera en rien aux assises, leur caractère national pour la simple raison que « "nationales" s’oppose ici à "régionales" ou "locales" ». Ce qui signifie, en clair, que les assises concernent toutes les régions du pays et n’épargnent aucun secteur de la vie nationale.
Invité avec l’ancien ministre de l’Education sous le régime de Abdou Diouf, Ousmane Tanor Dieng a fourni une réponse sans appel sur les chiffres avancés. Le secrétaire général du Ps a d’abord rappelé les propos du président Abdoulaye Wade durant la campagne, "lui qui avait annoncé la victoire, avant la lettre, de la coalition Sopi sur près de 130 collectivités locales du fait de l’absence des listes forcloses de l’opposition". Il précise que ces localités sont essentiellement dans les nouvelles régions de Kédougou et de Sédhiou.
En outre, le patron des socialistes a souligné le cas particulier d’une quinzaine de localités dans la région de Diourbel. Dans ces collectivités « appartenant » à des chefs religieux, dont la ville sainte de Touba, « la compétition était inexistante parce qu’il n’y avait que des listes des marabouts que la coalition Sopi 2009 a délibérément ornées à ses couleurs et a comptabilisées parmi ses localités remportées », souligne Ousmane Tanor Dieng. Citant les grandes villes tombées dans l’escarcelle de Bennoo Siggil Senegaal comme Dakar, Saint-Louis, Kaolack, Mbour, Fatick entre autre, l’ex-sherpa de Abdou Diouf dira, comme pour ironiser, à Iba Der Thiam : « vous pouvez toujours nous dire que vous avez gagné ».
Pour ce qui est du qualificatif « Nationales » qui dérange visiblement certains libéraux dont le professeur Thiam dans la dénomination des assises, Tanor Dieng a mis les points sur les « i » de la façon la plus simple. Pour lui, la non-participation du parti au pouvoir n’enlèvera en rien aux assises, leur caractère national pour la simple raison que « "nationales" s’oppose ici à "régionales" ou "locales" ». Ce qui signifie, en clair, que les assises concernent toutes les régions du pays et n’épargnent aucun secteur de la vie nationale.