
« Il faut siffler la fin de la récréation. On s’est trop amusés dans ce pays », a martelé Cheikh Bamba Dièye devant ses nombreux militants et invités d’autres formations de l’opposition. Cette opposition, pense le leader du Fsd/Bj, est autant coupable que les libéraux dans la crise qui affecte notre pays. En effet, pour le nouveau maire de Saint-Louis, « si le régime a le courage de mettre à genou ce pays, l’opposition doit avoir le courage de le relever ».
Dénonçant l’attitude du régime qui tente de leurrer la population sur la crise multisectorielle que traverse le Sénégal, Cheikh Bamba Dièye a déploré le tripatouillage constitutionnel, les problèmes de santé, d’éducation, de transport... « Nous sommes condamnés à développer ce pays qu’on le veuille ou non », tonne-t-il. Et face à ce défi qui attend l’opposition, le Fsd/Bj entend prendre un « nouvel élan ». « Notre nouvel élan est de refuser face à ces maux que traverse notre pays », a-t-il fait savoir avant d’indiquer : « nous refusons d’être confinés au rôle de spectateurs passifs, car il y va de l’avenir des générations futures ».
Par ailleurs, le leader du Fsd/Bj n’a pas manqué de fustiger la création du poste de vice-président de la République. A son avis, « un précédent dangereux a été déclenché » car, « on veut impulser des personnes au sommet, sans qu’elles fournissent d’efforts ». Allusion faite à Karim Wade.
Aussi, M. Dièye n’a pas manqué de lancer des piques à l’endroit de Me Wade qu’il accuse de vouloir se faire succéder par son son fils, Karim Wade. « Mon père qui était secrétaire général du Fsd/Bj n’a jamais favorisé ses enfants. Je suis devenu secrétaire général du Fsd/Bj par le biais d’un congrès », a -t-il déclaré.
Sur un autre front, Cheikh Bamba Dièye à qui les femmes ont donné rendez-vous au Palais en 2012, a laissé entendre qu’il ne vit pas pour être président de la République. « Je ne vis pas pour être président de la République, mais chaque jour, j’essaie d’être en harmonie avec mes propres convictions », a-t-il déclaré. Et d’ajouter : « c’est dans cette dynamique que je suis devenu secrétaire général du Fsd/Bj, puis maire de Saint-Louis ». Toutefois renchérit-il, « c’est dans cette dynamique que je compte continuer pour aller droit devant car nous sommes des compétiteurs ».
Dénonçant l’attitude du régime qui tente de leurrer la population sur la crise multisectorielle que traverse le Sénégal, Cheikh Bamba Dièye a déploré le tripatouillage constitutionnel, les problèmes de santé, d’éducation, de transport... « Nous sommes condamnés à développer ce pays qu’on le veuille ou non », tonne-t-il. Et face à ce défi qui attend l’opposition, le Fsd/Bj entend prendre un « nouvel élan ». « Notre nouvel élan est de refuser face à ces maux que traverse notre pays », a-t-il fait savoir avant d’indiquer : « nous refusons d’être confinés au rôle de spectateurs passifs, car il y va de l’avenir des générations futures ».
Par ailleurs, le leader du Fsd/Bj n’a pas manqué de fustiger la création du poste de vice-président de la République. A son avis, « un précédent dangereux a été déclenché » car, « on veut impulser des personnes au sommet, sans qu’elles fournissent d’efforts ». Allusion faite à Karim Wade.
Aussi, M. Dièye n’a pas manqué de lancer des piques à l’endroit de Me Wade qu’il accuse de vouloir se faire succéder par son son fils, Karim Wade. « Mon père qui était secrétaire général du Fsd/Bj n’a jamais favorisé ses enfants. Je suis devenu secrétaire général du Fsd/Bj par le biais d’un congrès », a -t-il déclaré.
Sur un autre front, Cheikh Bamba Dièye à qui les femmes ont donné rendez-vous au Palais en 2012, a laissé entendre qu’il ne vit pas pour être président de la République. « Je ne vis pas pour être président de la République, mais chaque jour, j’essaie d’être en harmonie avec mes propres convictions », a-t-il déclaré. Et d’ajouter : « c’est dans cette dynamique que je suis devenu secrétaire général du Fsd/Bj, puis maire de Saint-Louis ». Toutefois renchérit-il, « c’est dans cette dynamique que je compte continuer pour aller droit devant car nous sommes des compétiteurs ».