« Seule une poignée de personnages clefs » dAal-Qaida y sont encore présents, affirme une source britannique anonyme au Guardian. Depuis l’assassinat d’Oussama Ben Laden par un commando américain, en mai, dans une ville de garnison pakistanaise, d’autres responsables d’Al-Qaida ont été assassinés dans le pays, même si le nombre total de frappes de drones a baissé par rapport à l’an dernier.
Selon le Guardian, qui cite des sources non gouvernementales proches de mouvements islamistes en Afrique du Nord, au moins deux figures importantes de l’organisation terroriste ont rejoint récemment la Libye, et d’autres ont été arrêtés en chemin. Ces transferts font craindre que la région ne devienne un nouveau « théâtre du jihad » dans les mois ou les années à venir. Ils pourraient également indiquer une volonté d’Al-Qaida d’exploiter plus activement les effets du printemps arabe au Maghreb.
Selon des responsables des services secrets américains et britanniques, cités par le Guardian , l’Afghanistan abriterait aujourd’hui « moins d’une centaine de militants d’Al-Qaida ou d’affiliés du mouvement, parmi lesquels seulement ‘une poignée’ seraient une menace » pour les pays occidentaux. Des réseaux locaux, comme celui du clan Haqqani, basé dans la zone tribale du Waziristan Nord, à la frontière entre le Pakistan et l’Afghanistan, sont aujourd’hui jugés plus importants par ces services de renseignements, selon le Guardian.
lemonde.fr
Selon le Guardian, qui cite des sources non gouvernementales proches de mouvements islamistes en Afrique du Nord, au moins deux figures importantes de l’organisation terroriste ont rejoint récemment la Libye, et d’autres ont été arrêtés en chemin. Ces transferts font craindre que la région ne devienne un nouveau « théâtre du jihad » dans les mois ou les années à venir. Ils pourraient également indiquer une volonté d’Al-Qaida d’exploiter plus activement les effets du printemps arabe au Maghreb.
Selon des responsables des services secrets américains et britanniques, cités par le Guardian , l’Afghanistan abriterait aujourd’hui « moins d’une centaine de militants d’Al-Qaida ou d’affiliés du mouvement, parmi lesquels seulement ‘une poignée’ seraient une menace » pour les pays occidentaux. Des réseaux locaux, comme celui du clan Haqqani, basé dans la zone tribale du Waziristan Nord, à la frontière entre le Pakistan et l’Afghanistan, sont aujourd’hui jugés plus importants par ces services de renseignements, selon le Guardian.
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