C’est hier que le ministre délégué chargé du Budget Mamadou Abdoulaye Sow a démissionné du Gouvernement pour, dit-il, «convenance personnelle ». Cette démission a été acceptée par le chef de l’Etat. Il a été remplacé son collègue inspecteur du Trésor Abdoulaye Diop. Le départ du Ministre du Budget, un virtuose des finances publiques, ancien Directeur de Cabinet du Premier Ministre Mamadou Lamine Loum et acteur du Plan de réajustement «Sakho/Loum », suscite des commentaires même du côté des bailleurs de fonds et partenaires au développement du Sénégal. Mais nos sources sont formelles, ce grand commis de l’Etat ne serait pas disposé à s’engager dans une voie qui risque de l’enfoncer dans l’avenir. Il a pris ses responsabilités laissant le Président de la République, le Premier Ministre, le Ministre des Finances et le Ministre chargé de la Coopération internationale embarquer seuls sur un bateau alourdi par les «avances de trésorerie » qui sont à l’origine des dépenses hors budget.
«Le pays n’a pas d’argent » nous confie une haute autorité. Avant-hier, nous confrères du journal «Le Quotidien » avaient levé le lièvre. De terribles révélations ont été faites sur les avances de trésoreries connues par les finances publiques nationales. Or ces avances de trésorerie qui sont à l’origine des dépenses hors budget risquent de créer une situation économique dans la session budgétaire 2009/2010. «Les avances de trésorerie qui ont plongé le Sénégal dans la crise économique les deux années écoulées, sont vraiment parties pour donner des insomnies à de nombreux ministres du Budget, raille un haut fonctionnaire du ministère de l’Economie et des Finances » avait écrit le reporter de ce quotidien ne pensant peut être pas si bien dit. Dans cet article, il était question d’un «trou de près de 250 milliards de FCFA occasionné par les travaux réalisés dans le cadre du sommet de l’Oci tenu à Dakar l’année dernière et n’ayant pas encore fini de donner des cheveux blancs à ceux qui ont pour tâche de le combler ». Par ailleurs, la question de la Direction de la coopération économique et financière (Dcef) a été évoquée dans cet article qui soutient que cette direction est « un des rares services en mesure de tracer la destination de toutes les avances de trésorerie accordées à toutes les structures de l’Etat engagées dans les travaux d’infrastructures, dont ceux de l’embellissement de Dakar par l’Agence nationale pour l’Organisation de la conférence islamique, l’Anoci». Selon des fonctionnaires de cette Direction de la coopération économique et financière (Dcef), les avances de trésorerie faites au bénéfice de l’Anoci serait de «200 milliards de francs ». Ces avances auraient été faites par l’ancien ministre délégué au Budget, Ibrahima Sar poursuit le reporter du journal «Le Quotidien ». Plus grave, le reporter soutient dans l’article que «les mêmes personnes s’empressent d’ajouter que «ce montant ne prend pas en compte tous les ministères et d’autres structures qui ont passé des marchés avec l’Anoci pour certains travaux». Si tous ceux-là étaient pris en compte, les avances de trésorerie dépasseraient les 300 milliards, assurent ces fonctionnaires». Il est écrit que «le montant est si important que cela ne peut se faire au cours d’un seul exercice budgétaire.», « un vrai casse-tête pour le ministre délégué au Budget. D’autant plus qu’il faudrait le faire sans soulever des vagues » notre le reporter. Ces terribles révélations faites par le journaliste du journal «Le Quotidien » étaient un signe annonciateur de la démission dés le lendemain du Ministre du Budget.
PLUS DE 300 MILLIARDS DE DEPENSES NON AUTORISEES
Le représentant résidant du Fmi, Alex Ségura a reconnu les mérites du Ministre du Budget Abdoulaye Sow qui selon lui a beaucoup contribué dans l’assainissement des finances publiques. Selon ce dernier, le désormais ex Ministre du Budget a arrêté les avances de trésorerie depuis sa nomination. Tout est parti des dépenses hors budget faites par l’ancien Ministre du Budget Ibrahima Sarr. Un chiffre de 109 milliards a été avancé puis démenti par le représentant de l’Union Européenne qui a soutenu que les dépassements sont chiffrés à prés de 300 milliards. En plein Conseil des Ministres, le Président de la République, Me Abdoulaye avait asséné ses quatre vérités à tous les Ministres concernés par ces avances de trésorerie. Un audit a été commandité. Les résultats auraient été remis au Président de la République. Seulement, il s’est trouvé que beaucoup de Ministère seraient épinglés dans l’audit ainsi que des Agences et des Directions nationales. Devant cette situation, le Ministre du Budget ne pouvait plus assumer certaines choses qu’il a trouvées lors de sa prise de fonction. Cette situation a plongé l’Etat dans une situation économique catastrophique qui le pousse à vendre ses actions à la Sonatel et ses bijoux.
VERS LE VOTE DE LA LOI DES FINANCES RECTIFICATIVE
Après la signature et la publication du décret de répartition des services, l’Assemblée nationale devrait être saisie pour le vote de la loi de rectification. Cette loi change l’ancienne qui prévalait avant le remaniement. Ce n’est qu’après ce vote que tout sera officiel. Mais faudrait-il que, du côté du Ministre des Finances, que la passation de service s’effectue entre Karim Wade et Abdoulaye Diop. Aujourd’hui, l’enjeu c’est la Direction de la coopération économique et financière (Dcef) qui doit être confiée à Karim Wade. Or dans le décret de répartition des services (voir extrait du décret), cette direction est sous la responsabilité du Ministre du Budget rattaché au Ministère des Finances. Dans les jours qui viennent, les députés devraient être saisis pour le vote de cette loi rectificative, le nœud du problème entre Karim Wade, Abdoulaye Diop et Abdoulaye Sow. Mais à quand la passation de service ?
LE DIKTAT DES INSPECTEURS DU TRESOR
Depuis le départ de l’ancien Ministre de l’Economie Makhtar Diop dans le premier Gouvernement, le Sénégal n’a plus d’Economiste connu et averti. Tout le système des finances publiques est occupé par des Inspecteurs du Trésor. Abdoulaye Diop nommé Ministre des Finances après son passage au Budget, fera nommé son collègue inspecteur Haguibou Soumaré au Budget. Chacun d’eux recrutera dans le corps des Inspecteurs des Trésors pour en faire un Directeur de Cabinet. Lorsque le prédécesseur de Souleymane Ndéné Ndiaye a été nommé Premier Ministre, il fera d’un autre Inspecteur du trésor en l’occurrence Ibrahima Sarr le Ministre du Budget de son équipe. Ibrahima Sarr, Haguibou Soumaré et Abdoulaye Diop nommeront chacun un Inspecteur des Trésors comme Directeur de cabinet. Un autre Inspecteur du Trésor en la personne de Abdoulaye Sow ancien Directeur du Trésor sera nommé Ministre du Budget. Et pourtant, ce sont les Inspecteurs du Trésor, les Inspecteur des Impôts et Domaines ainsi que les Inspecteurs des Douanes qui devraient ensemble gérer ce département de l’Economie et des Finances. Mais l’absence d’un Economiste attitré dans ce département n’est pas étranger à ces problèmes économiques que connaît le Sénégal. L’Economie aux Economistes ! Le Ministre du Budget dit avoir quitté pour «convenance personnelle » mais les avances de trésorerie et ses conséquences ont mis l’Etat et certaines autorités dans une situation de malaise collectif.
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(Encadré) Répartition des services de l’Etat
EXTRAIT DU «FRUSTANT» DECRET 2009-459
Ce décret signé récemment par le Président de la République et devrait être dans les tous prochains jour pour le vote de la loi rectificatif va sans nul doute créer d’énormes entre le Ministre d’Etat Karim Wade et son collègue Abdoulaye Diop. Qui aura quoi ?
MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES
1° Cabinet et services rattachés
- Inspection générale des Finances, Unité de Coordination et de suivi de la Politique Economique, Fonds de Promotion économique, Centre d’Etudes de Politiques pour le Développement, Cellule nationale de Traitement des Informations financières, Cellule de passation des Marchés publics, Cellule de Communication, Cellule de formation et de Renforcement des Capacités.
2° Cabinet du Ministre Délégué, chargé du Budget
3° Secrétariat général
4° Directions
Direction générale des Finances, Services rattachés, Direction du Contrôle interne, Direction du Budget, Direction de la Dette et de l’Investissement, Direction de la Solde, des Pensions et des Rentes viagères, Contrôleur des Opérations financières, Direction du Matériel et du Transit administratif, Direction générale de la Comptabilité publique et du trésor :
- Services rattachés ;
- Direction du Contrôle interne, Direction de la Comptabilité publique, Direction du Secteur parapublic, Direction de l’Administration et du Personnel, Trésorerie générale, Paierie générale du Trésor, Recette générale du Trésor, Trésorerie-Paierie pour l’Etranger, Trésoreries – Paieries régionales, Direction générale des Douanes, Services rattachés, Direction du Contrôle interne, Direction de Règlementation et de la Coopération internationale, Direction des Opérations douanières, Direction du Renseignement et des enquêtes douanières, Direction de la Facilitation et du Partenariat avec l’Entreprise, Direction du Personnel et de la Logistique, Direction des Systèmes informatiques douaniers, Direction générale des Impôts et Domaines, Services rattachés, Direction du Contrôle interne, Direction des Impôts, Direction de l’Enregistrement, des Domaines et du Timbre, Direction des Vérifications et Enquêtes fiscales, Direction du Cadastre, Direction de l’Administration et du Personnel, Direction de la Législation, des Etudes et du Contentieux, Direction du Recouvrement, Direction générale du Plan, Direction de la planification nationale et de la planification régionale, Direction des Stratégies de Développement, Direction de la Planification des Ressources humaines, Direction de la Coopération économique et financière, Direction centrale des Marchés publics, Direction de la Prévision et des Etudes économiques, Direction de la Monnaie et du Crédit, Direction des Assurances, Direction du Traitement automatique et de l’Information, Direction de l’Appui au Secteur Privé, Direction de l’Administration générale et de =’Equipement, Agence judiciaire de l’Etat, Direction de la Réglementation et de la Supervision des systèmes financiers décentralisés.
5° Autre administration
- Agence nationale de la Statistique et de la Démographie du Sénégal.
MINISTERE DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE L’AMENAGEMENT =U TERRITOIRE, DES TRANSPORTS AERIENS ET DES INFRASTRUCTURES
1° Cabinet et services rattachés
- Inspection des Affaires administratives et Financières ;
- Inspection technique.
- Bureau de Communication et de Documentation ;
- Centre de Formation et de Perfectionnement des Travaux publics ;
2° Secrétariat général
3° Directions
* Direction générale de la Coopération et des financements;
- Direction de la Coopération internationale ;
- Direction de la Coopération décentralisée ;
- Direction des Financements et des Partenariats Public-Privé
«Le pays n’a pas d’argent » nous confie une haute autorité. Avant-hier, nous confrères du journal «Le Quotidien » avaient levé le lièvre. De terribles révélations ont été faites sur les avances de trésoreries connues par les finances publiques nationales. Or ces avances de trésorerie qui sont à l’origine des dépenses hors budget risquent de créer une situation économique dans la session budgétaire 2009/2010. «Les avances de trésorerie qui ont plongé le Sénégal dans la crise économique les deux années écoulées, sont vraiment parties pour donner des insomnies à de nombreux ministres du Budget, raille un haut fonctionnaire du ministère de l’Economie et des Finances » avait écrit le reporter de ce quotidien ne pensant peut être pas si bien dit. Dans cet article, il était question d’un «trou de près de 250 milliards de FCFA occasionné par les travaux réalisés dans le cadre du sommet de l’Oci tenu à Dakar l’année dernière et n’ayant pas encore fini de donner des cheveux blancs à ceux qui ont pour tâche de le combler ». Par ailleurs, la question de la Direction de la coopération économique et financière (Dcef) a été évoquée dans cet article qui soutient que cette direction est « un des rares services en mesure de tracer la destination de toutes les avances de trésorerie accordées à toutes les structures de l’Etat engagées dans les travaux d’infrastructures, dont ceux de l’embellissement de Dakar par l’Agence nationale pour l’Organisation de la conférence islamique, l’Anoci». Selon des fonctionnaires de cette Direction de la coopération économique et financière (Dcef), les avances de trésorerie faites au bénéfice de l’Anoci serait de «200 milliards de francs ». Ces avances auraient été faites par l’ancien ministre délégué au Budget, Ibrahima Sar poursuit le reporter du journal «Le Quotidien ». Plus grave, le reporter soutient dans l’article que «les mêmes personnes s’empressent d’ajouter que «ce montant ne prend pas en compte tous les ministères et d’autres structures qui ont passé des marchés avec l’Anoci pour certains travaux». Si tous ceux-là étaient pris en compte, les avances de trésorerie dépasseraient les 300 milliards, assurent ces fonctionnaires». Il est écrit que «le montant est si important que cela ne peut se faire au cours d’un seul exercice budgétaire.», « un vrai casse-tête pour le ministre délégué au Budget. D’autant plus qu’il faudrait le faire sans soulever des vagues » notre le reporter. Ces terribles révélations faites par le journaliste du journal «Le Quotidien » étaient un signe annonciateur de la démission dés le lendemain du Ministre du Budget.
PLUS DE 300 MILLIARDS DE DEPENSES NON AUTORISEES
Le représentant résidant du Fmi, Alex Ségura a reconnu les mérites du Ministre du Budget Abdoulaye Sow qui selon lui a beaucoup contribué dans l’assainissement des finances publiques. Selon ce dernier, le désormais ex Ministre du Budget a arrêté les avances de trésorerie depuis sa nomination. Tout est parti des dépenses hors budget faites par l’ancien Ministre du Budget Ibrahima Sarr. Un chiffre de 109 milliards a été avancé puis démenti par le représentant de l’Union Européenne qui a soutenu que les dépassements sont chiffrés à prés de 300 milliards. En plein Conseil des Ministres, le Président de la République, Me Abdoulaye avait asséné ses quatre vérités à tous les Ministres concernés par ces avances de trésorerie. Un audit a été commandité. Les résultats auraient été remis au Président de la République. Seulement, il s’est trouvé que beaucoup de Ministère seraient épinglés dans l’audit ainsi que des Agences et des Directions nationales. Devant cette situation, le Ministre du Budget ne pouvait plus assumer certaines choses qu’il a trouvées lors de sa prise de fonction. Cette situation a plongé l’Etat dans une situation économique catastrophique qui le pousse à vendre ses actions à la Sonatel et ses bijoux.
VERS LE VOTE DE LA LOI DES FINANCES RECTIFICATIVE
Après la signature et la publication du décret de répartition des services, l’Assemblée nationale devrait être saisie pour le vote de la loi de rectification. Cette loi change l’ancienne qui prévalait avant le remaniement. Ce n’est qu’après ce vote que tout sera officiel. Mais faudrait-il que, du côté du Ministre des Finances, que la passation de service s’effectue entre Karim Wade et Abdoulaye Diop. Aujourd’hui, l’enjeu c’est la Direction de la coopération économique et financière (Dcef) qui doit être confiée à Karim Wade. Or dans le décret de répartition des services (voir extrait du décret), cette direction est sous la responsabilité du Ministre du Budget rattaché au Ministère des Finances. Dans les jours qui viennent, les députés devraient être saisis pour le vote de cette loi rectificative, le nœud du problème entre Karim Wade, Abdoulaye Diop et Abdoulaye Sow. Mais à quand la passation de service ?
LE DIKTAT DES INSPECTEURS DU TRESOR
Depuis le départ de l’ancien Ministre de l’Economie Makhtar Diop dans le premier Gouvernement, le Sénégal n’a plus d’Economiste connu et averti. Tout le système des finances publiques est occupé par des Inspecteurs du Trésor. Abdoulaye Diop nommé Ministre des Finances après son passage au Budget, fera nommé son collègue inspecteur Haguibou Soumaré au Budget. Chacun d’eux recrutera dans le corps des Inspecteurs des Trésors pour en faire un Directeur de Cabinet. Lorsque le prédécesseur de Souleymane Ndéné Ndiaye a été nommé Premier Ministre, il fera d’un autre Inspecteur du trésor en l’occurrence Ibrahima Sarr le Ministre du Budget de son équipe. Ibrahima Sarr, Haguibou Soumaré et Abdoulaye Diop nommeront chacun un Inspecteur des Trésors comme Directeur de cabinet. Un autre Inspecteur du Trésor en la personne de Abdoulaye Sow ancien Directeur du Trésor sera nommé Ministre du Budget. Et pourtant, ce sont les Inspecteurs du Trésor, les Inspecteur des Impôts et Domaines ainsi que les Inspecteurs des Douanes qui devraient ensemble gérer ce département de l’Economie et des Finances. Mais l’absence d’un Economiste attitré dans ce département n’est pas étranger à ces problèmes économiques que connaît le Sénégal. L’Economie aux Economistes ! Le Ministre du Budget dit avoir quitté pour «convenance personnelle » mais les avances de trésorerie et ses conséquences ont mis l’Etat et certaines autorités dans une situation de malaise collectif.
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(Encadré) Répartition des services de l’Etat
EXTRAIT DU «FRUSTANT» DECRET 2009-459
Ce décret signé récemment par le Président de la République et devrait être dans les tous prochains jour pour le vote de la loi rectificatif va sans nul doute créer d’énormes entre le Ministre d’Etat Karim Wade et son collègue Abdoulaye Diop. Qui aura quoi ?
MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES
1° Cabinet et services rattachés
- Inspection générale des Finances, Unité de Coordination et de suivi de la Politique Economique, Fonds de Promotion économique, Centre d’Etudes de Politiques pour le Développement, Cellule nationale de Traitement des Informations financières, Cellule de passation des Marchés publics, Cellule de Communication, Cellule de formation et de Renforcement des Capacités.
2° Cabinet du Ministre Délégué, chargé du Budget
3° Secrétariat général
4° Directions
Direction générale des Finances, Services rattachés, Direction du Contrôle interne, Direction du Budget, Direction de la Dette et de l’Investissement, Direction de la Solde, des Pensions et des Rentes viagères, Contrôleur des Opérations financières, Direction du Matériel et du Transit administratif, Direction générale de la Comptabilité publique et du trésor :
- Services rattachés ;
- Direction du Contrôle interne, Direction de la Comptabilité publique, Direction du Secteur parapublic, Direction de l’Administration et du Personnel, Trésorerie générale, Paierie générale du Trésor, Recette générale du Trésor, Trésorerie-Paierie pour l’Etranger, Trésoreries – Paieries régionales, Direction générale des Douanes, Services rattachés, Direction du Contrôle interne, Direction de Règlementation et de la Coopération internationale, Direction des Opérations douanières, Direction du Renseignement et des enquêtes douanières, Direction de la Facilitation et du Partenariat avec l’Entreprise, Direction du Personnel et de la Logistique, Direction des Systèmes informatiques douaniers, Direction générale des Impôts et Domaines, Services rattachés, Direction du Contrôle interne, Direction des Impôts, Direction de l’Enregistrement, des Domaines et du Timbre, Direction des Vérifications et Enquêtes fiscales, Direction du Cadastre, Direction de l’Administration et du Personnel, Direction de la Législation, des Etudes et du Contentieux, Direction du Recouvrement, Direction générale du Plan, Direction de la planification nationale et de la planification régionale, Direction des Stratégies de Développement, Direction de la Planification des Ressources humaines, Direction de la Coopération économique et financière, Direction centrale des Marchés publics, Direction de la Prévision et des Etudes économiques, Direction de la Monnaie et du Crédit, Direction des Assurances, Direction du Traitement automatique et de l’Information, Direction de l’Appui au Secteur Privé, Direction de l’Administration générale et de =’Equipement, Agence judiciaire de l’Etat, Direction de la Réglementation et de la Supervision des systèmes financiers décentralisés.
5° Autre administration
- Agence nationale de la Statistique et de la Démographie du Sénégal.
MINISTERE DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE L’AMENAGEMENT =U TERRITOIRE, DES TRANSPORTS AERIENS ET DES INFRASTRUCTURES
1° Cabinet et services rattachés
- Inspection des Affaires administratives et Financières ;
- Inspection technique.
- Bureau de Communication et de Documentation ;
- Centre de Formation et de Perfectionnement des Travaux publics ;
2° Secrétariat général
3° Directions
* Direction générale de la Coopération et des financements;
- Direction de la Coopération internationale ;
- Direction de la Coopération décentralisée ;
- Direction des Financements et des Partenariats Public-Privé