Un défilé incessant de leaders politiques s’est déroulé devant la préfecture de Dakar, le temps d’une nuit. Le dernier délai du dépôt des listes électorales est la raison de cette agitation.
Venu déposer la liste de la coalition And Liggey Senegaal composé du Rdr de l’Ufr et du Rewmi, Waly Fall, maire de Dieuppeul Derklé attribue la raison de cette affluence aux mobilisations de dernière minute.
Interpellé sur les enjeux spécifiques de ces élections, M Fall a affirmé : « toute élection constitue un enjeu pour un parti politique parce qu’il s’agit de se soumettre à la volonté des citoyens ». Notant que la préparation des élections locales est souvent un casse-tête pour les partis, notamment avec la constitution des dossiers. Waly Fall a laissé entendre que son parti va se fier aux suffrages des sénégalais pour mesurer sa popularité.
A sa suite, le chanteur Demba Dia est arrivé sur les lieux suivi d’une cohorte. Il a scandé à son arrivée : « nous venons enterrer les politiciens. C’est fini l’air des politiques."
Au moment où ces scènes se jouaient à la préfecture de Dakar, à quelques rues de là, les intrigues bleues avaient commencé dans les locaux de la mairie de Dakar, où plusieurs leaders ont défilé. De Pape Diop à Farba Senghor en passant par Doudou Wade, Moussa Sy, Fadel Gaye, Safiétou Ndiaye, Gnagna Touré, les libéraux basés à Dakar étaient réunis en conclave pendant plusieurs heures avec leurs alliés. Voulant expliquer la présence suspecte de Karim Wade, Fadel Gaye, le maire du Plateau a déclaré qu’il est venu aider le parti au moment où on apporte les derniers réglages.
A quinze minutes du dépôt des listes, c’est à pied que Pape Diop, flanqué de Farba Senghor et de ses alliés, s’apprête à franchir le seuil de la préfecture. Il se heurte au refus des bérets rouges préposés à la surveillance de la porte d’entrée. C’est le début d’une bousculade monstre qui finira par générer une querelle entre Farba Senghor et les journalistes. Ayant arraché le dictaphone de l’une d’entre eux, il sera rappelé à l’ordre par Pape Diop.
source nettali
Venu déposer la liste de la coalition And Liggey Senegaal composé du Rdr de l’Ufr et du Rewmi, Waly Fall, maire de Dieuppeul Derklé attribue la raison de cette affluence aux mobilisations de dernière minute.
Interpellé sur les enjeux spécifiques de ces élections, M Fall a affirmé : « toute élection constitue un enjeu pour un parti politique parce qu’il s’agit de se soumettre à la volonté des citoyens ». Notant que la préparation des élections locales est souvent un casse-tête pour les partis, notamment avec la constitution des dossiers. Waly Fall a laissé entendre que son parti va se fier aux suffrages des sénégalais pour mesurer sa popularité.
A sa suite, le chanteur Demba Dia est arrivé sur les lieux suivi d’une cohorte. Il a scandé à son arrivée : « nous venons enterrer les politiciens. C’est fini l’air des politiques."
Au moment où ces scènes se jouaient à la préfecture de Dakar, à quelques rues de là, les intrigues bleues avaient commencé dans les locaux de la mairie de Dakar, où plusieurs leaders ont défilé. De Pape Diop à Farba Senghor en passant par Doudou Wade, Moussa Sy, Fadel Gaye, Safiétou Ndiaye, Gnagna Touré, les libéraux basés à Dakar étaient réunis en conclave pendant plusieurs heures avec leurs alliés. Voulant expliquer la présence suspecte de Karim Wade, Fadel Gaye, le maire du Plateau a déclaré qu’il est venu aider le parti au moment où on apporte les derniers réglages.
A quinze minutes du dépôt des listes, c’est à pied que Pape Diop, flanqué de Farba Senghor et de ses alliés, s’apprête à franchir le seuil de la préfecture. Il se heurte au refus des bérets rouges préposés à la surveillance de la porte d’entrée. C’est le début d’une bousculade monstre qui finira par générer une querelle entre Farba Senghor et les journalistes. Ayant arraché le dictaphone de l’une d’entre eux, il sera rappelé à l’ordre par Pape Diop.
source nettali