Chaque fois que de besoin, il se soumettra aux questions des populations. Le ministre conseiller du président de la République, chargé du suivi et des engagements, a mobilisé ses partisans pour lancer un nouveau concept. Son mouvement, dont le slogan se veut sans ambiguïté : « C’est Wade », a initié une série de rencontres interactives où le leader, en compagnie de certains cadres, va se soumettre à un exercice de questions-réponses sur la marche du pays.
Pour le lancement, Habib Mbaye a eu droit à une série de huit questions posées par des jeunes triés sur le volet.
Les préoccupations des jeunes ont porté, entre autre, sur la suspicion de dévolution monarchique du pouvoir et la définition du concept, le coût des nombreux déplacements du président de la République, la place des jeunes nouveaux électeurs, l’utilité des infrastructures, les raisons de la défaite de Karim Wade dans son propre bureau de vote, etc. Sur la suspicion de dévolution monarchique du pouvoir, Habib Mbaye dira sans ambages qu’il n’est qu’une vue de l’esprit de ces détracteurs, car cela ne peut pas exister au Sénégal qui est résolument ancré dans la démocratie.
Le ministre conseiller a invité les jeunes à ne pas se laisser entraîner par l’opposition qui véhicule cette thèse.
Cependant, il n’a pas rejeté une éventuelle candidature de Karim Wade si la situation l’exigeait. Habib Mbaye a fondé sa conviction sur sa connaissance de l’homme qu’il a fréquenté. Il a qualifié Karim Wade de compétent, de patriote, d’amoureux de son pays plus qu’on ne le pense. Le leader du mouvement « C’est Wade » a donné en exemple les nombreux succès du ministre d’Etat, ministre des Infrastructures dans les domaines de l’aéroport international Blaise Diagne de Diass, du Port de Dakar, des financements innovants, etc. Revenant sur l’importance des infrastructures dans la vie de la Nation, il a rappelé que c’est à travers les routes et autres voies d’accès que sont transportées les productions agricoles, industrielles, etc. C’est aussi sur les bonnes routes qu’on évacue les Sénégalais malades.
Habib Mbaye s’est réjoui de voir que beaucoup de jeunes de la banlieue affiliés à son mouvement regrettent aujourd’hui d’avoir sanctionné Wade lors des dernières élections locales du 22 mars 2009. Il les a exhortés à croire à leur leader et de voter pour le réélire.
Mbaye Sarr DIAKHATE
Pour le lancement, Habib Mbaye a eu droit à une série de huit questions posées par des jeunes triés sur le volet.
Les préoccupations des jeunes ont porté, entre autre, sur la suspicion de dévolution monarchique du pouvoir et la définition du concept, le coût des nombreux déplacements du président de la République, la place des jeunes nouveaux électeurs, l’utilité des infrastructures, les raisons de la défaite de Karim Wade dans son propre bureau de vote, etc. Sur la suspicion de dévolution monarchique du pouvoir, Habib Mbaye dira sans ambages qu’il n’est qu’une vue de l’esprit de ces détracteurs, car cela ne peut pas exister au Sénégal qui est résolument ancré dans la démocratie.
Le ministre conseiller a invité les jeunes à ne pas se laisser entraîner par l’opposition qui véhicule cette thèse.
Cependant, il n’a pas rejeté une éventuelle candidature de Karim Wade si la situation l’exigeait. Habib Mbaye a fondé sa conviction sur sa connaissance de l’homme qu’il a fréquenté. Il a qualifié Karim Wade de compétent, de patriote, d’amoureux de son pays plus qu’on ne le pense. Le leader du mouvement « C’est Wade » a donné en exemple les nombreux succès du ministre d’Etat, ministre des Infrastructures dans les domaines de l’aéroport international Blaise Diagne de Diass, du Port de Dakar, des financements innovants, etc. Revenant sur l’importance des infrastructures dans la vie de la Nation, il a rappelé que c’est à travers les routes et autres voies d’accès que sont transportées les productions agricoles, industrielles, etc. C’est aussi sur les bonnes routes qu’on évacue les Sénégalais malades.
Habib Mbaye s’est réjoui de voir que beaucoup de jeunes de la banlieue affiliés à son mouvement regrettent aujourd’hui d’avoir sanctionné Wade lors des dernières élections locales du 22 mars 2009. Il les a exhortés à croire à leur leader et de voter pour le réélire.
Mbaye Sarr DIAKHATE