Le football national est un dossier lourd et épineux. C’est vrai qu’on a connu des moments exceptionnels, mais, malheureusement, la relève n’a pas suivi”, a dit l’ex-capitaine des Lions dans un entretien avec le quotidien en ligne Pressafrik. “Les structures n’ont pas suivi aussi, parce que quand on a joué une Coupe du monde, des Coupes d’Afrique, on se doit aussi d’avoir des structures nationales, un championnat national qui doit avoir une certaine tenue”, a-t-il argumenté. “Je suis désolé, mais chaque fois qu’on vient à Dakar, on voit ces enfants jouer sur des terrains vagues, on a un pincement au cœur”, a regretté l’ancien arrière latéral droit des Lions, à la retraite.
Ferdinand Coly est sans club depuis la fin de la saison 2007-2008. Agé de 35 ans, il a joué, respectivement, en France au Stade Poitevin (National), Châteauroux, Lens (Ligue 2), en Angleterre au Birmigham City (élite), Italie au Perugia et Parme. “Je pense que le vivier est ici, il y a vraiment le potentiel. Je pense que c’est un long travail parce qu’on a le temps. Il faut reconstruire parce qu’on n’a pas le choix. Il fallait arriver à ce niveau là, tomber de si haut pour se rendre compte qu’il fallait reconstruire”, a expliqué Ferdinand Coly.
Ferdinand Coly est sans club depuis la fin de la saison 2007-2008. Agé de 35 ans, il a joué, respectivement, en France au Stade Poitevin (National), Châteauroux, Lens (Ligue 2), en Angleterre au Birmigham City (élite), Italie au Perugia et Parme. “Je pense que le vivier est ici, il y a vraiment le potentiel. Je pense que c’est un long travail parce qu’on a le temps. Il faut reconstruire parce qu’on n’a pas le choix. Il fallait arriver à ce niveau là, tomber de si haut pour se rendre compte qu’il fallait reconstruire”, a expliqué Ferdinand Coly.