La ville de Los Angeles, jusque-là seule en lice avec Paris pour l’organisation des JO 2024, a annoncé lundi avoir conclu avec le CIO un accord lui permettant d’organiser l’édition de 2028. Une annonce aux termes de laquelle Paris est quasiment assurée d’accueillir les Jeux olympiques d’été en 2024.
"Ce n’était pas facile mais contrairement aux autres candidatures de Paris comme celle de 2012, cette fois, le projet a été porté en premier par des sportifs, avant qu’il soit accepté par les décideurs politiques et les sponsors", a expliqué Diamil Faye dans un entretien nos confrères de l’APS.
Cet expert sénégalais, déjà engagé pour les organisations de Sydney (2000), Athènes (2004) et Beijing (2008), a dit avoir senti dès le départ que la capitale française avait pris les devants pour réussir à remporter l’organisation des JO 2024.
"En premier lieu, ils ont accepté de voir les raisons de leurs échecs en 1992, 2008 et 2012", a souligné M. Faye dont plusieurs villes internationales voulaient profiter de l’expertise. Il a finalement été coopté dans le cercle de réflexion mis en place par la candidature de Paris pour passer en revue ses échecs antérieurs.
"Et au finish, quand tout le monde est convaincu de la pertinence, les gens y sont allés à fond", a indiqué l’expert sénégalais, qui faisait partie du comité de candidature de New York pour les JO 2012, finalement revenus à Londres.
Il a ensuite "enchaîné dans l’équipe de Tokyo 2020 et pour les Jeux d’hiver de Pékin 2022 sans compter les Jeux de la jeunesse".
"J’ai travaillé avec des officiels et des institutions dans beaucoup de pays dans le monde, mais la France manquait dans mon cursus", a ajouté l’expert sénégalais, par ailleurs président de Guédiawaye FC, un club de football de l’élite du championnat sénégalais.
Diamil Faye se dit d’autant plus heureux d’avoir pu travailler avec les institutions françaises sur la candidature de Paris 2024, qu’il a fait ses études en France.
Il dit toutefois attendre "comme les autres l’officialisation du choix" du CIO en septembre prochain à Lima (Pérou), pour crier victoire.
Le 11 juillet dernier, les villes candidates aux JO 2024, Los Angeles et Paris, avaient présenté leurs dossiers aux membres du CIO. La délégation française avait inclus dans son dispositif, le président français, Emmanuel Macron.
APS
"Ce n’était pas facile mais contrairement aux autres candidatures de Paris comme celle de 2012, cette fois, le projet a été porté en premier par des sportifs, avant qu’il soit accepté par les décideurs politiques et les sponsors", a expliqué Diamil Faye dans un entretien nos confrères de l’APS.
Cet expert sénégalais, déjà engagé pour les organisations de Sydney (2000), Athènes (2004) et Beijing (2008), a dit avoir senti dès le départ que la capitale française avait pris les devants pour réussir à remporter l’organisation des JO 2024.
"En premier lieu, ils ont accepté de voir les raisons de leurs échecs en 1992, 2008 et 2012", a souligné M. Faye dont plusieurs villes internationales voulaient profiter de l’expertise. Il a finalement été coopté dans le cercle de réflexion mis en place par la candidature de Paris pour passer en revue ses échecs antérieurs.
"Et au finish, quand tout le monde est convaincu de la pertinence, les gens y sont allés à fond", a indiqué l’expert sénégalais, qui faisait partie du comité de candidature de New York pour les JO 2012, finalement revenus à Londres.
Il a ensuite "enchaîné dans l’équipe de Tokyo 2020 et pour les Jeux d’hiver de Pékin 2022 sans compter les Jeux de la jeunesse".
"J’ai travaillé avec des officiels et des institutions dans beaucoup de pays dans le monde, mais la France manquait dans mon cursus", a ajouté l’expert sénégalais, par ailleurs président de Guédiawaye FC, un club de football de l’élite du championnat sénégalais.
Diamil Faye se dit d’autant plus heureux d’avoir pu travailler avec les institutions françaises sur la candidature de Paris 2024, qu’il a fait ses études en France.
Il dit toutefois attendre "comme les autres l’officialisation du choix" du CIO en septembre prochain à Lima (Pérou), pour crier victoire.
Le 11 juillet dernier, les villes candidates aux JO 2024, Los Angeles et Paris, avaient présenté leurs dossiers aux membres du CIO. La délégation française avait inclus dans son dispositif, le président français, Emmanuel Macron.
APS