La triste nouvelle s'est répandue comme une traînée de poudre à Dahra Djolof.
Les faits remontent au 12 octobre dernier, dans une clinique paramédicale, où une mère et son nouveau-né ont perdu la vie, à la suite d'un accouchement. La défunte maman a été rappelée à Dieu après un saignement excessif.
Le fait est que la clinique paramédicale appartiendrait à son beau-père, ancien infirmier de son état, exerçant dans un domaine qui n'est guère dévolu à cette structure médicale. Et pourtant, selon certaines indiscrétions, ce n'est pas la première fois qu'un tel cas y est noté.
Ce qui amène à poser une seule question. Pourquoi ce laxisme ?
Les faits remontent au 12 octobre dernier, dans une clinique paramédicale, où une mère et son nouveau-né ont perdu la vie, à la suite d'un accouchement. La défunte maman a été rappelée à Dieu après un saignement excessif.
Le fait est que la clinique paramédicale appartiendrait à son beau-père, ancien infirmier de son état, exerçant dans un domaine qui n'est guère dévolu à cette structure médicale. Et pourtant, selon certaines indiscrétions, ce n'est pas la première fois qu'un tel cas y est noté.
Ce qui amène à poser une seule question. Pourquoi ce laxisme ?