La meilleure performance économique résulte de l’amélioration des politiques commerciales mais aussi et surtout de la politique en matière d’investissement, a estimé M. Niang à l’ouverture d’un atelier sur "Commerce, investissement et développement".
Participent à cette rencontre organisée par le Comité national de négociations commerciales (CNNCI) en partenariat avec le Centre d’études de politiques pour le développement (CEPOD), des directeurs, chefs de services, responsables d’organisations patronales et de la société civile, etc.
Les IDE ont connu récemment une évolution rapide dans les pays africains mais ‘’infléchie’’ par la crise économique mondiale, a souligné le ministre sénégalais. Citant le rapport 2007 de la CNUCED, M. Niang a relevé que les IDE en Afrique étaient de 36 milliards de dollars américains.
En même temps aussi, a-t-il relevé, les investissements réalisés par l’Afrique sont passés à 8 milliards de dollars en 2006 contre 2 milliards en 2005. ‘’C’est une évolution rapide pour des pays considérés comme sous-développés’’, a dit le ministre du Commerce.
Pour Amadou Niang, les investissements jouent un rôle clé dans le développement de tout pays et permettent en même temps de revaloriser les exportations.
Dans cette perspective, a-t-il expliqué, le Sénégal travaille à améliorer son environnement des affaires dans sa stratégie de développement en étant ouvert aux investissements directs étrangers.
Le Centre d’études de politiques pour le développement (CEPOD) est un projet de renforcement des capacités initié en 2003 par le ministère des Finances avec l’appui de la Fondation africaine de renforcement des capacités (ACBF). Il prend le relais de l’Unité de politiques économiques (UPE).
La structure a pour buts de fournir un cadre d’études, d’analyses, de recherches et de formation visant à renforcer davantage les capacités de formulation et gestion de politiques économiques et sociales des acteurs socioéconomiques de l’Afrique en général et du Sénégal en particulier.
Le CEPOD vise à orienter et à gérer plus efficacement la mise en œuvre de la Stratégie de croissance accélérée (SCA), la stratégie de la réduction de la pauvreté et des efforts de développement du Sénégal.
Le projet se déroule à travers la conduite des travaux d’études et de recherches, de formations, d’interface et de dissémination des savoirs au profit de l’administration, du secteur privé et de la société civile.
Une phase 2 est en cours d’exécution et s’articule autour d’activités de renforcement des capacités pour les agents du secrétariat général de la présidence de la République, les acteurs publics du développement, le secteur privé et la société civile.
D’un financement de 3, 7 millions de dollars, en dépit d’une baisse de 17% par rapport à la première phase, le projet a connu aussi un taux de décaissement budgétaire de 85%, a récemment signalé un consultant lors d’une évaluation à mis parcours.
Aps
Participent à cette rencontre organisée par le Comité national de négociations commerciales (CNNCI) en partenariat avec le Centre d’études de politiques pour le développement (CEPOD), des directeurs, chefs de services, responsables d’organisations patronales et de la société civile, etc.
Les IDE ont connu récemment une évolution rapide dans les pays africains mais ‘’infléchie’’ par la crise économique mondiale, a souligné le ministre sénégalais. Citant le rapport 2007 de la CNUCED, M. Niang a relevé que les IDE en Afrique étaient de 36 milliards de dollars américains.
En même temps aussi, a-t-il relevé, les investissements réalisés par l’Afrique sont passés à 8 milliards de dollars en 2006 contre 2 milliards en 2005. ‘’C’est une évolution rapide pour des pays considérés comme sous-développés’’, a dit le ministre du Commerce.
Pour Amadou Niang, les investissements jouent un rôle clé dans le développement de tout pays et permettent en même temps de revaloriser les exportations.
Dans cette perspective, a-t-il expliqué, le Sénégal travaille à améliorer son environnement des affaires dans sa stratégie de développement en étant ouvert aux investissements directs étrangers.
Le Centre d’études de politiques pour le développement (CEPOD) est un projet de renforcement des capacités initié en 2003 par le ministère des Finances avec l’appui de la Fondation africaine de renforcement des capacités (ACBF). Il prend le relais de l’Unité de politiques économiques (UPE).
La structure a pour buts de fournir un cadre d’études, d’analyses, de recherches et de formation visant à renforcer davantage les capacités de formulation et gestion de politiques économiques et sociales des acteurs socioéconomiques de l’Afrique en général et du Sénégal en particulier.
Le CEPOD vise à orienter et à gérer plus efficacement la mise en œuvre de la Stratégie de croissance accélérée (SCA), la stratégie de la réduction de la pauvreté et des efforts de développement du Sénégal.
Le projet se déroule à travers la conduite des travaux d’études et de recherches, de formations, d’interface et de dissémination des savoirs au profit de l’administration, du secteur privé et de la société civile.
Une phase 2 est en cours d’exécution et s’articule autour d’activités de renforcement des capacités pour les agents du secrétariat général de la présidence de la République, les acteurs publics du développement, le secteur privé et la société civile.
D’un financement de 3, 7 millions de dollars, en dépit d’une baisse de 17% par rapport à la première phase, le projet a connu aussi un taux de décaissement budgétaire de 85%, a récemment signalé un consultant lors d’une évaluation à mis parcours.
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