Dakar et sa banlieue pataugent dans les eaux.
On constate à Gounass(Guédiawaye), l’expropriation de plusieurs maisons par les eaux et cette situation date depuis 2005. C’est une zone située dans une cuvette et dont la nappe phréatique est très proche. Ce qui fait que depuis 2005, ces eaux stagnent et favorisent des noyades d’enfants et la prolifération de maladies comme le cholera, le paludisme etc.
Plusieurs familles sont obligés d’abandonner leurs domiciles pour chercher refuge chez un parent, amis ou voisins proches le temps de trouver une solution.
Ces événements ont révélé chez les Sénégalais leur sentiment de compensions et d’entraide entre compatriotes comme pour répondre aux belles paroles de l’adage « L’homme est le remède de l’homme ». Cela montre encore, une fois, le nouveau Type de Sénégal (N T S) prôné ces derniers temps par le mouvement « Y EN A MARRE ».
Le Sénégal est devenu uni, chacun pour tous, tous pour un, pour combattre ces eaux qui sont une grande psychose chez les populations.
Mais des solutions peuvent être préconisés pour éradiquer ce fléau une bonne foi pour toute :
L’etat doit mettre en place un Fonds Nationale de Soutien aux Catastrophes Naturelles(FNSCN) doté de moyens solides pour prendre les devants avant l’arrivée des pluies. Ce fonds se chargera de recenser les zones à risque et mettre en place un plan de recasement réfléchi qui tienne compte des facteurs économiques, sociaux et politiques. Il doit travailler en symbiose avec le Ministère de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire et certaines structures de la place comme ONAS pour trouver un plan ré urbanisation et d’assainissement de Dakar et sa banlieue.
Les assureurs, aussi, ont un grand rôle à jouer dans la politique de gestion de ces genres de risques en prévoyant dans les tarifs des risques non auto un Fonds de Garantie Catastrophe(FGC) qui sera une des sources de financement de ce Fonds que l’ état subventionnera . Ce fonds intervient en cas de calamités naturelles résultant :
- Tempêtes, ouragans, cyclones, inondations etc. ;
- Débordement des fleuves ou océans ;
- Tremblement de terre, glissement ou affaissement de terrain ;
- Cette couverture peut être étendue aux erreurs humaines d’une grande envergure comme le feu de brousse.
Cela va, sur le plan professionnel, occasionné une spécialisation de certaines compagnies en mettant en place des plans de rassurances adapté à leur plein de souscription.
Nous interpellons le Ministère de l’Economie et des Finances en général, la Direction Nationale des Assurances (D N A) en particulier, a accordée une petite réflexion à cette idée car les assureurs sont incontournables pour un développement d’un pays.
Boubacar COULIBALY, 774206041, boubacoulz@yahoo.fr
On constate à Gounass(Guédiawaye), l’expropriation de plusieurs maisons par les eaux et cette situation date depuis 2005. C’est une zone située dans une cuvette et dont la nappe phréatique est très proche. Ce qui fait que depuis 2005, ces eaux stagnent et favorisent des noyades d’enfants et la prolifération de maladies comme le cholera, le paludisme etc.
Plusieurs familles sont obligés d’abandonner leurs domiciles pour chercher refuge chez un parent, amis ou voisins proches le temps de trouver une solution.
Ces événements ont révélé chez les Sénégalais leur sentiment de compensions et d’entraide entre compatriotes comme pour répondre aux belles paroles de l’adage « L’homme est le remède de l’homme ». Cela montre encore, une fois, le nouveau Type de Sénégal (N T S) prôné ces derniers temps par le mouvement « Y EN A MARRE ».
Le Sénégal est devenu uni, chacun pour tous, tous pour un, pour combattre ces eaux qui sont une grande psychose chez les populations.
Mais des solutions peuvent être préconisés pour éradiquer ce fléau une bonne foi pour toute :
L’etat doit mettre en place un Fonds Nationale de Soutien aux Catastrophes Naturelles(FNSCN) doté de moyens solides pour prendre les devants avant l’arrivée des pluies. Ce fonds se chargera de recenser les zones à risque et mettre en place un plan de recasement réfléchi qui tienne compte des facteurs économiques, sociaux et politiques. Il doit travailler en symbiose avec le Ministère de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire et certaines structures de la place comme ONAS pour trouver un plan ré urbanisation et d’assainissement de Dakar et sa banlieue.
Les assureurs, aussi, ont un grand rôle à jouer dans la politique de gestion de ces genres de risques en prévoyant dans les tarifs des risques non auto un Fonds de Garantie Catastrophe(FGC) qui sera une des sources de financement de ce Fonds que l’ état subventionnera . Ce fonds intervient en cas de calamités naturelles résultant :
- Tempêtes, ouragans, cyclones, inondations etc. ;
- Débordement des fleuves ou océans ;
- Tremblement de terre, glissement ou affaissement de terrain ;
- Cette couverture peut être étendue aux erreurs humaines d’une grande envergure comme le feu de brousse.
Cela va, sur le plan professionnel, occasionné une spécialisation de certaines compagnies en mettant en place des plans de rassurances adapté à leur plein de souscription.
Nous interpellons le Ministère de l’Economie et des Finances en général, la Direction Nationale des Assurances (D N A) en particulier, a accordée une petite réflexion à cette idée car les assureurs sont incontournables pour un développement d’un pays.
Boubacar COULIBALY, 774206041, boubacoulz@yahoo.fr