Le tunnel de Soumédioune n’est long que de 250 mètres, soit un quart de kilomètre. Il n’est tunnel que de nom, parce que n’étant surplombé par aucune bâtisse. Mais, sa construction a été surfacturée par Karim Wade et son équipe, qui avaient en charge le chantier, à dix milliards de francs Cfa. Ce qui est difficile à croire et admettre au vu de l’état actuel de l’ouvrage. Car, depuis qu’il a été ouvert à la circulation, le tunnel est envahi par les eaux, des pans entiers se détachent. Ainsi, beaucoup d’automobilistes ne s’y risquent plus.Même la voie routière s’enfonce de plus en plus exposant des nids de poules, qu’on cherche à longueur de semaine à colmater.
Du coup, des ouvriers s’y agitent en permanence, au détriment du contribuable sénégalais. Le tunnel de Karim avait englouti des milliards, les rafistolages dont il est quotidiennement l’objet valent des millions. Mais, le plus grave est que l’ouvrage est menacé d’effondrement. Ce sont les avis d’ingénieurs en ponts et chaussées. Ils craignent « un drame qui rappela le naufrage du bateau le Djola », du fait « d’erreurs techniques structurelles et de légèretés dans l’étude du projet». Ce sont celles-ci qui expliqueraient l’inondation permanente du tunnel. Il s’y ajoute l’entêtement de la famille Wade à le maintenir opérationnel, pour des raisons politiques.
Pis, deux véhicules de police sont stationnés aux deux entrées. Les agents s’y relaient 24h/24. Ainsi, le quart de kilomètre le plus gardé du territoire national est le « tunnel » de Karim. Le pire est à redouter, pour qui sait le nombre d’automobilistes qui y passent. Le tunnel est à l’image des palmiers plantés le long de la Corniche, qui se meurent : 50% des pieds sont entrain d’être remplacés. Ils proviennent des Îles du Saloum. Outre les frais de transport, il y aura ceux liés à leurs transplantation et entretien. L’évidence est là :les chantiers de Karim ne finissent jamais, il lui faut toujours de l’argent, encore de l’argent et beaucoup d’argent.
Hélas, il raisonne en milliards. Tel père, tel fils ! C’est dire que le Sénégal payera très cher sa nomination en tant que ministre d’État, chargé, entre autres volets, de la Coopération internationale et des Infrastructures. Ministre, également, des transports aériens, il ne se déplace plus qu’en jet privé. Dernièrement il a déboursé plus de 100 millions de nos francs, pour la location, rien que pour venir de Bahreïn serrer la main aux pèlerins en partance pour La Mecque. En somme, Karim laissera une ardoise plus que salée aux générations futures, pour ses folies qu’encourage son père de président.
La Redaction XIBAR.NET
Du coup, des ouvriers s’y agitent en permanence, au détriment du contribuable sénégalais. Le tunnel de Karim avait englouti des milliards, les rafistolages dont il est quotidiennement l’objet valent des millions. Mais, le plus grave est que l’ouvrage est menacé d’effondrement. Ce sont les avis d’ingénieurs en ponts et chaussées. Ils craignent « un drame qui rappela le naufrage du bateau le Djola », du fait « d’erreurs techniques structurelles et de légèretés dans l’étude du projet». Ce sont celles-ci qui expliqueraient l’inondation permanente du tunnel. Il s’y ajoute l’entêtement de la famille Wade à le maintenir opérationnel, pour des raisons politiques.
Pis, deux véhicules de police sont stationnés aux deux entrées. Les agents s’y relaient 24h/24. Ainsi, le quart de kilomètre le plus gardé du territoire national est le « tunnel » de Karim. Le pire est à redouter, pour qui sait le nombre d’automobilistes qui y passent. Le tunnel est à l’image des palmiers plantés le long de la Corniche, qui se meurent : 50% des pieds sont entrain d’être remplacés. Ils proviennent des Îles du Saloum. Outre les frais de transport, il y aura ceux liés à leurs transplantation et entretien. L’évidence est là :les chantiers de Karim ne finissent jamais, il lui faut toujours de l’argent, encore de l’argent et beaucoup d’argent.
Hélas, il raisonne en milliards. Tel père, tel fils ! C’est dire que le Sénégal payera très cher sa nomination en tant que ministre d’État, chargé, entre autres volets, de la Coopération internationale et des Infrastructures. Ministre, également, des transports aériens, il ne se déplace plus qu’en jet privé. Dernièrement il a déboursé plus de 100 millions de nos francs, pour la location, rien que pour venir de Bahreïn serrer la main aux pèlerins en partance pour La Mecque. En somme, Karim laissera une ardoise plus que salée aux générations futures, pour ses folies qu’encourage son père de président.
La Redaction XIBAR.NET