Le communiqué parvenu à Leral.net souligne que comme « d’habitude, nous n’aurions pas répondu à un tel article. Dans un pays de droit, lorsqu’un tiers prétend subir un préjudice, il s’adresse aux juridictions dont le pays s’est librement doté au lieu de « porter presse » ; la décision judiciaire ayant acquis l’autorité de la chose jugée s’imposant à tous ».
In fine, pour éclairer la lanterne de nombre de nos clients qui nous font confiance par la qualité de nos produits pour une seule finalité, leur satisfaction, et conformément à notre engagement de participer à côté des pouvoirs publics, à l’effort collectif d’éducation par le vecteur de l’audiovisuel, véhicule d’information à manier avec dextérité dans un monde en pleine turbulence, nous avons cru bon de faire suite pour clore le débat en ce qui nous concerne.
Selon Sebastien Punturello , le DG Canal+Sénégal, « l’entreprise qui nous accuse, abonnée des prétoires, a été régulièrement condamnée par les juridictions du pays ; il ne lui reste bien évidemment que la voie du dénigrement, d’accusations sans fondements, de travestis de la réalité des faits, son jeu favori. Pour rappel, Canal+ dispose bien d’une convention signée avec l’Etat du Sénégal, qui l’autorise à la diffusion au Sénégal ».
« Les obligations contenues dans ladite convention sont scrupuleusement respectées par les parties. Chaque année, les charges financières sont honorées auprès du Trésor Public sénégalais et les autres obligations font l’objet d’échanges réguliers avec les autorités en l’occurrence le CNRA, l’ARMP, les services du ministère en charge de la Culture et de la Communication », a-t-il ajouté.
« C’est justement dans ce cadre, qu’à la suite de l’avis du CRD daté du 4 Novembre, que l’auteur de l’article a vite fait de traiter de sentence, et la saisine de l’ARMP suivant correspondance en date du 9 Novembre 2020, que nous avons mis à la disposition de l’Agence de Régulation, tous les éléments d’information souhaités par courrier en date du 25 Novembre 2020.
Nous n’avons pas manqué de communiquer à l’ARMP, les décisions de justice qui ont toutes et sans ambiguïté aucune, débouté l’entreprise qui nous accuse de ses prétentions », dit le communiqué.
Pour le Groupe Canal, « il convient de rappeler que cette même entreprise a fait l’objet de condamnations régulières dans d’autres dossiers à la requête de notre société et de nombreux autres opérateurs de l’audiovisuel. Il faut souligner également que le CRD a bien reconnu la régularité de la convention qui nous lie à l’Etat du Sénégal, le reste nous semble sans importance.
L’exploitation de Canal+ génère des retombées fiscales d’importance significative et des centaines d’emplois conformément à la vision de la plus haute autorité du pays. Nous nous sommes engagés dans la production locale, notamment auprès d’acteurs du monde de l’audiovisuel, en vue de la promotion et de la protection de leurs droits dans le respect de la propriété intellectuelle ».
En conclusion Canal + dit se réserver « le droit d’engager des poursuites judiciaires contre toute personne malintentionnée, qui tenterait par des manœuvres fantaisistes, diffamatoires, mensongères, contraires à l’éthique, à porter atteinte à sa crédibilité ».
In fine, pour éclairer la lanterne de nombre de nos clients qui nous font confiance par la qualité de nos produits pour une seule finalité, leur satisfaction, et conformément à notre engagement de participer à côté des pouvoirs publics, à l’effort collectif d’éducation par le vecteur de l’audiovisuel, véhicule d’information à manier avec dextérité dans un monde en pleine turbulence, nous avons cru bon de faire suite pour clore le débat en ce qui nous concerne.
Selon Sebastien Punturello , le DG Canal+Sénégal, « l’entreprise qui nous accuse, abonnée des prétoires, a été régulièrement condamnée par les juridictions du pays ; il ne lui reste bien évidemment que la voie du dénigrement, d’accusations sans fondements, de travestis de la réalité des faits, son jeu favori. Pour rappel, Canal+ dispose bien d’une convention signée avec l’Etat du Sénégal, qui l’autorise à la diffusion au Sénégal ».
« Les obligations contenues dans ladite convention sont scrupuleusement respectées par les parties. Chaque année, les charges financières sont honorées auprès du Trésor Public sénégalais et les autres obligations font l’objet d’échanges réguliers avec les autorités en l’occurrence le CNRA, l’ARMP, les services du ministère en charge de la Culture et de la Communication », a-t-il ajouté.
« C’est justement dans ce cadre, qu’à la suite de l’avis du CRD daté du 4 Novembre, que l’auteur de l’article a vite fait de traiter de sentence, et la saisine de l’ARMP suivant correspondance en date du 9 Novembre 2020, que nous avons mis à la disposition de l’Agence de Régulation, tous les éléments d’information souhaités par courrier en date du 25 Novembre 2020.
Nous n’avons pas manqué de communiquer à l’ARMP, les décisions de justice qui ont toutes et sans ambiguïté aucune, débouté l’entreprise qui nous accuse de ses prétentions », dit le communiqué.
Pour le Groupe Canal, « il convient de rappeler que cette même entreprise a fait l’objet de condamnations régulières dans d’autres dossiers à la requête de notre société et de nombreux autres opérateurs de l’audiovisuel. Il faut souligner également que le CRD a bien reconnu la régularité de la convention qui nous lie à l’Etat du Sénégal, le reste nous semble sans importance.
L’exploitation de Canal+ génère des retombées fiscales d’importance significative et des centaines d’emplois conformément à la vision de la plus haute autorité du pays. Nous nous sommes engagés dans la production locale, notamment auprès d’acteurs du monde de l’audiovisuel, en vue de la promotion et de la protection de leurs droits dans le respect de la propriété intellectuelle ».
En conclusion Canal + dit se réserver « le droit d’engager des poursuites judiciaires contre toute personne malintentionnée, qui tenterait par des manœuvres fantaisistes, diffamatoires, mensongères, contraires à l’éthique, à porter atteinte à sa crédibilité ».