A l’enquête préliminaire, tout comme devant la barre, Cheikh Ndiaye a tenté de jouer au plus fin avec les policiers et les juges.
A peine a-t-il mis les pieds hors du « car rapide » qu’Ousmane Diaw, un vieux agé de plus de 70 ans, l’a suivi pour lui réclamer ses 61000 FCfa qu’il venait de lui voler. C’était l’argent de son loyer et M. Diaw l’avait dans sa poche.
Devant la barre, Cheikh Ndiaye a déclaré qu’au moment de s’asseoir, il a vu les liasses. Puis, il déclare que c’est tombé, il a alors posé son pied pour que le propriétaire ne s’en aperçoive pas. Le voleur attendait q-une déclaration de perte pour réagir. « Mon tort, c’est de n’avoir rien dit », a-t-il tenté de se justifier.
Le procureur a requis 2 ans ferme. Le tribunal a disqualifié les faits en vol simple et l’a condamné à trois mois ferme. Avant de le laisser rejoindre le box, la présidente lui lance : « c’est un avertissement. La prochaine fois, la peine sera plus lourde, arrête de voler ».
A peine a-t-il mis les pieds hors du « car rapide » qu’Ousmane Diaw, un vieux agé de plus de 70 ans, l’a suivi pour lui réclamer ses 61000 FCfa qu’il venait de lui voler. C’était l’argent de son loyer et M. Diaw l’avait dans sa poche.
Devant la barre, Cheikh Ndiaye a déclaré qu’au moment de s’asseoir, il a vu les liasses. Puis, il déclare que c’est tombé, il a alors posé son pied pour que le propriétaire ne s’en aperçoive pas. Le voleur attendait q-une déclaration de perte pour réagir. « Mon tort, c’est de n’avoir rien dit », a-t-il tenté de se justifier.
Le procureur a requis 2 ans ferme. Le tribunal a disqualifié les faits en vol simple et l’a condamné à trois mois ferme. Avant de le laisser rejoindre le box, la présidente lui lance : « c’est un avertissement. La prochaine fois, la peine sera plus lourde, arrête de voler ».