Les candidatures foisonnent. Mais elles ne sont pas porteuses d’espoir. En tout cas de l’avis du journaliste Mame Less Camara le profil idéal n’a pas encore été présenté. « On risque d’aller vers le nul car cette classe politique s’est trop fréquentée. Chacun a été ministre de l’autre », martèle le journaliste qui est convaincu que le peuple sénégalais risque d’être mené en bateau par ces gens qui ne se soucient que de leurs desseins personnels. Pour l’ancien directeur de la Radio Océan FM qui prenait part à la conférence initiée par la Fondation Friederich Naumann axée sur la paix et les élections, les candidats déclarés n’ont pas de programmes. « Ils ont juste des catalogues de projets et des demandes de financement », décrypte-t-il. Mais sa conclusion renseigne sur le risque qu’encourt le peuple en votant pour ces politiciens qu’il présente comme « de grands malades et des personnes âgées qui veulent nous entrainer dans un combat ultime ».
De grands malades et des personnes âgées pour briguer le suffrage des sénégalaisL’élection présidentielle risque de mettre aux prises du déjà pratiqué. Ce n’est pas une hypothèse, c’est une certitude. Selon Mame Less Camara, dans ces joutes électorales, on a des personnes âgées et de grands malades.Rédigé par leral.net le Jeudi 19 Janvier 2012 à 13:08 | | 5 commentaire(s)|
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