De manière cyclique et parce qu’il est sans parti (à proprement parler), Abdoul Mbaye apparaît dans de "petits" points de presse pour ne pas faire semblant d'exister. Or, cet exercice est de plus en plus ridicule tant il n’est fait que d'ingratitude, de haine et de galimatias qui déçoivent les Sénégalais. Le capital lié au respect de son illustre père Kéba Mbaye et la fonction de Premier Ministre que le Président Macky Sall lui a offerte sur un.plateau d'argent, ont été "dilapidés" en si peu de temps ; ce qui, du reste, demeure conforme à sa réputation d'homme d'argent et de "gestionnaire" obscur de "fonds", sa seule expertise prouvée.
Lui qui nous ressasse quotidiennement la chanson de l'éthique comme ligne de conduite morale, qu’a-t-il finalement hérité de son illustre père ? Lui l'arnaqueur du vaillant Bocar Samba Dièye et de Pape Ndiamé Sène, entre autres ; le mauvais père qui a falsifié son certificat de mariage pour mettre main basse sur les biens communs de son couple ; Lui, l'accusé de faux commis dans un document, de complicité de faux et d'usage de faux, finalement condamné. Assurément, Abdoul Bana Mbaye, "l'homme de faux" ou "le faux fait homme", n'est pas un homme d'ethique.
Au plan politique, qu'a-t-il retenu de la haute fonction de Premier Ministre qui lui a été "servie" par le Président Macky Sall, lui l'invité-surprise du dernier "mile", sinon l’ingratitude, la haine de son bienfaiteur, l'oubli du devoir de réserve inhérent à ce niveau de responsabilité au sein de l'appareil d'Etat. Avec ses acolytes du "Congrès des Renvoyés et autres Dépressifs" (CRD) de la République, il vient encore de bourder, par une déclaration discourtoise et haineuse, en cette période de communion et de hajj mais aussi de pandémie, en jetant de l'huile sur le feu à propos du Mali, pays jumeau du Sénégal, qui est aussi celui de chacun d'entre nous, surtout lui. Assurément, Abdoul Bana Mbaye n'est pas un homme d'Etat.
Abdoul Bana Mbaye n'est pas non plus un homme reconnaissant. Il mord toujours la main qui l'élève. Demandez à Mimran.
Qu'il se rappelle des recommandations du Prophète Muhammed (SAWS), envoyé pour parfaire ici-bas la morale comportementale. Il nous enseignait que : "Quiconque n’est pas reconnaissant envers les hommes ne l’est pas envers Dieu" (Boukhari, Ahmad, Abu Dawud). A propos de la haine, faudrait-il se rappeler que l'Islam la considère comme le signe abouti de la médiocrité et de la bassesse ; le ressentiment de la haine s'enracinant dans les profondeurs de l'âme, où il gronde dans les entrailles comme dans un volcan en ébullition.
Notre gus a intérêt à se ressaisir car sa culture de l'ingratitude et de la terre brûlée, ne l'amènera à rien de bon. Rien n'est plus reposant pour l'individu, plus dissipant pour ses doutes, que d'avoir un cœur exempt des affres du ressentiment et du bouillonnement des haines et des inimitiés. Qu'il se regarde donc à travers une glace pour mesurer son niveau de décrépitude, avec cette silhouette rapetissée d’un homme hagard, perdu et balafré par les cicatrices de la haine, à la parole saccadée et au discours confus, insipide et inaudible, que le peuple rejette au nom de nos valeurs de kersa et de teranga.
Abdoul, il est temps. Non ! Pas ça, à 70 ans !
Par Moussa Mbengue
Professeur de Lettres, Responsable BBY
Mbour
Lui qui nous ressasse quotidiennement la chanson de l'éthique comme ligne de conduite morale, qu’a-t-il finalement hérité de son illustre père ? Lui l'arnaqueur du vaillant Bocar Samba Dièye et de Pape Ndiamé Sène, entre autres ; le mauvais père qui a falsifié son certificat de mariage pour mettre main basse sur les biens communs de son couple ; Lui, l'accusé de faux commis dans un document, de complicité de faux et d'usage de faux, finalement condamné. Assurément, Abdoul Bana Mbaye, "l'homme de faux" ou "le faux fait homme", n'est pas un homme d'ethique.
Au plan politique, qu'a-t-il retenu de la haute fonction de Premier Ministre qui lui a été "servie" par le Président Macky Sall, lui l'invité-surprise du dernier "mile", sinon l’ingratitude, la haine de son bienfaiteur, l'oubli du devoir de réserve inhérent à ce niveau de responsabilité au sein de l'appareil d'Etat. Avec ses acolytes du "Congrès des Renvoyés et autres Dépressifs" (CRD) de la République, il vient encore de bourder, par une déclaration discourtoise et haineuse, en cette période de communion et de hajj mais aussi de pandémie, en jetant de l'huile sur le feu à propos du Mali, pays jumeau du Sénégal, qui est aussi celui de chacun d'entre nous, surtout lui. Assurément, Abdoul Bana Mbaye n'est pas un homme d'Etat.
Abdoul Bana Mbaye n'est pas non plus un homme reconnaissant. Il mord toujours la main qui l'élève. Demandez à Mimran.
Qu'il se rappelle des recommandations du Prophète Muhammed (SAWS), envoyé pour parfaire ici-bas la morale comportementale. Il nous enseignait que : "Quiconque n’est pas reconnaissant envers les hommes ne l’est pas envers Dieu" (Boukhari, Ahmad, Abu Dawud). A propos de la haine, faudrait-il se rappeler que l'Islam la considère comme le signe abouti de la médiocrité et de la bassesse ; le ressentiment de la haine s'enracinant dans les profondeurs de l'âme, où il gronde dans les entrailles comme dans un volcan en ébullition.
Notre gus a intérêt à se ressaisir car sa culture de l'ingratitude et de la terre brûlée, ne l'amènera à rien de bon. Rien n'est plus reposant pour l'individu, plus dissipant pour ses doutes, que d'avoir un cœur exempt des affres du ressentiment et du bouillonnement des haines et des inimitiés. Qu'il se regarde donc à travers une glace pour mesurer son niveau de décrépitude, avec cette silhouette rapetissée d’un homme hagard, perdu et balafré par les cicatrices de la haine, à la parole saccadée et au discours confus, insipide et inaudible, que le peuple rejette au nom de nos valeurs de kersa et de teranga.
Abdoul, il est temps. Non ! Pas ça, à 70 ans !
Par Moussa Mbengue
Professeur de Lettres, Responsable BBY
Mbour