Etant donné que la discipline est l’un des fondements qui sous-tendent le développement, les autorités compétentes doivent prendre des mesures draconiennes pour préserver cette autoroute qui constitue une grande avancée en termes d’infrastructures. Pour ce faire l’Etat doit établir une loi qui interdit l’accès à l’autoroute aux camions, aux véhicules de transports en communs à arrêts fréquents (« car rapide, ndiaga ndiaye, minibus »), aux motos de moins de 125 mètre cube et aux charrettes. En effet ces véhicules sont souvent source d’accidents mortels car leurs conducteurs ne respectent ni règle de conduite ni obligation de suivi et d’entretien de leurs véhicules. Ces chauffards préféreront emprunter l’autoroute où ils ne seront pas contrôlés et y provoquer toute sorte d’anarchie plutôt que de passer par la route nationale et verser des sommes aux policiers qui, de par cette corruption encouragent le laxisme qui s’est installé sur les routes sénégalaises. Les autorités dépositaires de la sécurité routière doivent s’activer pour l’instauration d’une telle mesure.
Pour autant la SENAC qui exploite l’autoroute, qui donc, fixe les tarifs, doit en réserver l’usage aux véhicules particuliers, taxis, ambulances et grosses motos en fixant des tarifs dissuasifs aux autres : 5000fr par exemple au lieu de 2400fr.
Seules ces mesures nous permettront de percevoir l’utilité d’une autoroute à circulation fluide, sans anarchie et sans accident mortel.
Fait à Reims (France) le 23 Juillet 2013
Pour autant la SENAC qui exploite l’autoroute, qui donc, fixe les tarifs, doit en réserver l’usage aux véhicules particuliers, taxis, ambulances et grosses motos en fixant des tarifs dissuasifs aux autres : 5000fr par exemple au lieu de 2400fr.
Seules ces mesures nous permettront de percevoir l’utilité d’une autoroute à circulation fluide, sans anarchie et sans accident mortel.
Fait à Reims (France) le 23 Juillet 2013