« Quand je déclarais la candidature de Karim Wade, c’était pour lui donner une épaisseur politique afin que son procès puisse être reconsidéré. Parce que l’opinion publique nationale et internationale aurait retenu qu’on est en train de juger le candidat du principal parti de l’opposition », avance Babacar Gaye.
« Je pense, sans peut-être avoir raison, que Ousmane Sonko est en train de faire la même chose, utilise la même stratégie. Pour que demain, lorsqu‘il doit répondre au juge dans l’affaire Adji sarr, que l’opinion publique, les journalistes, disent qu’on est en train de trainer en Justice le principal challenger du président de la République.
Je pense que c’est intéressant comme approche politique et c’est à son honneur d’user de ces subterfuges afin de pouvoir exister politiquement », termine-t-il.
« Je pense, sans peut-être avoir raison, que Ousmane Sonko est en train de faire la même chose, utilise la même stratégie. Pour que demain, lorsqu‘il doit répondre au juge dans l’affaire Adji sarr, que l’opinion publique, les journalistes, disent qu’on est en train de trainer en Justice le principal challenger du président de la République.
Je pense que c’est intéressant comme approche politique et c’est à son honneur d’user de ces subterfuges afin de pouvoir exister politiquement », termine-t-il.