Le chef de l'Etat, depuis l'Italie où il se trouve, a lancé des menaces contre ceux qui tenteraient d'enfreindre la loi. Il a défié celui qui penserait qu'il s'agit de parole en l'air à essayer, Wade, recevant hier les leaders du Front patriotique pour la défense de la République pour un travail d'harmonisation en vue du meeting d'aujourd'hui, lâche laconique pour lui porter la réplique : "Si Macky menace, c'est parce qu'il sait qu'avec Wade 'caaxan faaxee'". Nos confrères du Pop rapportent que, le pape du Sopi a poursuivi pour enfoncer le clou : "Dootuma dellu ginaw (Je ne reculerai plus). La médiation entre Macky et moi est hors de question jusqu'en 2017. Je m'engage à lutter pour libérer les prisonniers politiques du régime de Macky Sall".
Allant plus loin dans son combat contre Macky Sall et son régime, il annonce, d'après le journal, que le FPDR aura une candidature plurielle. "Le vieux est prêt à appuyer Idrissa Seck, Abdoulaye Baldé, à condition qu'ils acceptent de soutenir le candidat qui sera le mieux placé au 2e tour. Ce n'est pas Karim son candidat", précisent les sources du Pop. "Je m'engage à accompagner le candidat issu du Front au 2e tour jusqu'à la victoire finale. Quel que soit le parti où il sera. L'essentiel, c'est qu'il soit dans le Front", a-t-il dit avant de s'attaquer aux chefs d'Etat invité au Sommet de la Francophonie. "Comment les chefs d'Etat peuvent-ils accepter de participer à cette rencontre ? Soit ils sont tous informés ou ils violent le respect des droits de l'homme", a-t-il martelé visiblement énervé.
Allant plus loin dans son combat contre Macky Sall et son régime, il annonce, d'après le journal, que le FPDR aura une candidature plurielle. "Le vieux est prêt à appuyer Idrissa Seck, Abdoulaye Baldé, à condition qu'ils acceptent de soutenir le candidat qui sera le mieux placé au 2e tour. Ce n'est pas Karim son candidat", précisent les sources du Pop. "Je m'engage à accompagner le candidat issu du Front au 2e tour jusqu'à la victoire finale. Quel que soit le parti où il sera. L'essentiel, c'est qu'il soit dans le Front", a-t-il dit avant de s'attaquer aux chefs d'Etat invité au Sommet de la Francophonie. "Comment les chefs d'Etat peuvent-ils accepter de participer à cette rencontre ? Soit ils sont tous informés ou ils violent le respect des droits de l'homme", a-t-il martelé visiblement énervé.