Dès le début de son magistère, le Président Macky Sall et son régime ont pris l’option de la provocation comme mode de gouvernance. Surpris par son élection à la tête du pays, le Président Sall, dépourvu de vision et de courage, verse dans la provocation pour divertir les sénégalais et masquer en même temps ses carences. Son régime commence par faire croire aux sénégalais que le Président Wade a volé les tapis et les tableaux d’art du palais.
Il accuse ensuite le Président Wade d’avoir volé 600 véhicules. Ces accusations n’ayant pas donné les effets escomptés, le Président Sall clame haut et fort qu’il a trouvé les caisses de l’Etat vides. Il a fallu attendre le départ de Idrissa Seck de la coalition Benno Bok Yakaar pour que la vérité éclate au grand jour. Idrissa Seck confirme que le Président Macky Sall avait trouvé plus de 417 milliards fcfa dans les caisses de l’Etat. Depuis on n’en fait plus un argument de diabolisation. Il fallait donc chercher autre chose pour anéantir les libéraux.
La traque des biens mal acquis sera la grande trouvaille du régime de Macky Sall. Plusieurs dignitaires de l’ancien régime sont convoqués et accusés de s’être enrichis illicitement. Parmi eux, la principale cible est vite désignée : Karim Meïssa Wade, fils de l’ancien Président Wade. Une mise en demeure lui est aussitôt adressée par le procureur général de la CREI qui le mettra en détention un mois après.
Une deuxième mise en demeure lui sera servie 6 mois après la première. Il s’en suit un procès politique qui ne dit pas son nom. Karim Wade devra se défendre dans un procès où c’est l’accusé lui-même qui apporte les preuves de son innocence alors que l’accusateur se contente tout simplement de pointer un doigt accusateur. Le caractère exceptionnel de cette cour est tel que l’accusé ne peut faire appel auprès d’une juridiction supérieure s’il est condamné par la CREI.
Que reproche-t-on à Karim Wade ?
Le régime de Macky Sall ne poursuit pas Karim Wade pour détournement de deniers publics. Non. Il le soupçonne d’avoir un train de vie que ses revenus ne justifient pas. Alors on lui demande de prouver la provenance licite de ses biens et de son patrimoine, même si son père fut Président de La République. C’est comme si on demandait à Madame Marième Faye Sall de justifier l’origine licite des sommes d’argent qu’elle distribue à coups de millions à ses amis, même si son mari est Président de la République.
Animés par un esprit de transparence et de clarté, Karim Wade et les libéraux découvrent l’étendu du piège que le régime leur a tendu lors du déroulement du procès. Karim devra faire face à un juge qui, tout au long du procès, s’acharne sur lui et sur ses avocats. Le juge va même dépasser l’inacceptable en excluant du procès un des avocats de Karim Wade. Le juge va même plus loin en refusant à un de ses assesseurs de prendre la parole. Celui-ci démissionna du procès. Pendant ce temps, le juge permet tous les excès aux avocats de l’Etat.
C’est pendant cette parodie de justice que l’ambassadeur de France au Sénégal se donne un droit d’ingérence dans ce procès en clamant haut et fort qu’un non-lieu serait une surprise pour tout le monde, condamnant par avance Karim Wade.
A la veille du verdict attendu le 23 mars, la peur semble changer de camp. Maky Sall et son régime, pris de panique, voient partout des subversifs et mettent en détention quiconque ose élever sa voix pour dénoncer une dictature naissante.
Nous, militants libéraux du BENELUX, prenons le Président Macky Sall comme seul et unique responsable de la tension qui sévit dans le pays ainsi que d’éventuels troubles qui peuvent surgir.
Il sera comptable de tout ce qui adviendra après le 23 mars 2015. Nous réaffirmons ici et maintenant notre soutien total au frère Karim Wade dans son combat contre l’injustice et l’arbitraire.
Tous les militants libéraux du BENELUX sont, de manière consensuelle, derrière Karim et le soutiennent à l’investiture du candidat du PDS en vue des élections présidentielles.
Tous les militants libéraux ont décidé à l’unanimité de porter leur choix en la personne de Karim Wade qu’ils jugent plus à même de porter le PDS au pouvoir compte tenu de son expérience, de sa popularité, de son charisme, de son aura sur le plan international, de son courage à affronter l’adversité, de sa dignité, de son respect profond au droit et de sa capacité à défendre les intérêts du Sénégal sur la scène internationale.
Le 19/03/2015
PDS-BENELUX
Il accuse ensuite le Président Wade d’avoir volé 600 véhicules. Ces accusations n’ayant pas donné les effets escomptés, le Président Sall clame haut et fort qu’il a trouvé les caisses de l’Etat vides. Il a fallu attendre le départ de Idrissa Seck de la coalition Benno Bok Yakaar pour que la vérité éclate au grand jour. Idrissa Seck confirme que le Président Macky Sall avait trouvé plus de 417 milliards fcfa dans les caisses de l’Etat. Depuis on n’en fait plus un argument de diabolisation. Il fallait donc chercher autre chose pour anéantir les libéraux.
La traque des biens mal acquis sera la grande trouvaille du régime de Macky Sall. Plusieurs dignitaires de l’ancien régime sont convoqués et accusés de s’être enrichis illicitement. Parmi eux, la principale cible est vite désignée : Karim Meïssa Wade, fils de l’ancien Président Wade. Une mise en demeure lui est aussitôt adressée par le procureur général de la CREI qui le mettra en détention un mois après.
Une deuxième mise en demeure lui sera servie 6 mois après la première. Il s’en suit un procès politique qui ne dit pas son nom. Karim Wade devra se défendre dans un procès où c’est l’accusé lui-même qui apporte les preuves de son innocence alors que l’accusateur se contente tout simplement de pointer un doigt accusateur. Le caractère exceptionnel de cette cour est tel que l’accusé ne peut faire appel auprès d’une juridiction supérieure s’il est condamné par la CREI.
Que reproche-t-on à Karim Wade ?
Le régime de Macky Sall ne poursuit pas Karim Wade pour détournement de deniers publics. Non. Il le soupçonne d’avoir un train de vie que ses revenus ne justifient pas. Alors on lui demande de prouver la provenance licite de ses biens et de son patrimoine, même si son père fut Président de La République. C’est comme si on demandait à Madame Marième Faye Sall de justifier l’origine licite des sommes d’argent qu’elle distribue à coups de millions à ses amis, même si son mari est Président de la République.
Animés par un esprit de transparence et de clarté, Karim Wade et les libéraux découvrent l’étendu du piège que le régime leur a tendu lors du déroulement du procès. Karim devra faire face à un juge qui, tout au long du procès, s’acharne sur lui et sur ses avocats. Le juge va même dépasser l’inacceptable en excluant du procès un des avocats de Karim Wade. Le juge va même plus loin en refusant à un de ses assesseurs de prendre la parole. Celui-ci démissionna du procès. Pendant ce temps, le juge permet tous les excès aux avocats de l’Etat.
C’est pendant cette parodie de justice que l’ambassadeur de France au Sénégal se donne un droit d’ingérence dans ce procès en clamant haut et fort qu’un non-lieu serait une surprise pour tout le monde, condamnant par avance Karim Wade.
A la veille du verdict attendu le 23 mars, la peur semble changer de camp. Maky Sall et son régime, pris de panique, voient partout des subversifs et mettent en détention quiconque ose élever sa voix pour dénoncer une dictature naissante.
Nous, militants libéraux du BENELUX, prenons le Président Macky Sall comme seul et unique responsable de la tension qui sévit dans le pays ainsi que d’éventuels troubles qui peuvent surgir.
Il sera comptable de tout ce qui adviendra après le 23 mars 2015. Nous réaffirmons ici et maintenant notre soutien total au frère Karim Wade dans son combat contre l’injustice et l’arbitraire.
Tous les militants libéraux du BENELUX sont, de manière consensuelle, derrière Karim et le soutiennent à l’investiture du candidat du PDS en vue des élections présidentielles.
Tous les militants libéraux ont décidé à l’unanimité de porter leur choix en la personne de Karim Wade qu’ils jugent plus à même de porter le PDS au pouvoir compte tenu de son expérience, de sa popularité, de son charisme, de son aura sur le plan international, de son courage à affronter l’adversité, de sa dignité, de son respect profond au droit et de sa capacité à défendre les intérêts du Sénégal sur la scène internationale.
Le 19/03/2015
PDS-BENELUX