Joint au téléphone par nos confrères du Quotidien, Ousmane Tanor se réjouit «de la toute nouvelle victoire» de son camarade socialiste (ils font partie de l’international socialiste dont Tanor dirige la section africaine).
«Le Conseil constitutionnel vient de donner un verdict conforme à la légalité», se vante Ousmane Tanor Dieng qui se permet de donner même une leçon à cette aux Nations-unies qui avaient reconnu, via son représentant la victoire de Alassane Drame Ouattara annoncé un jour avant avec 54, 52 % des suffrages.
«Ce n’est pas à l’ONU de reconnaître ou non la victoire de l’un ou de l’autre des candidats », a fait savoir Ousmane Tanor Dieng qui tente vaille que vaille pour défendre son camarade de l’international socialiste. «Les résultats donnés par la Commission électorale indépendante étaient provisoires », indique-t-il. «Maintenant, le Conseil constitutionnel vient de donner les résultats définitifs», se réjouit-il.
A noter que le Conseil constitutionnel a refusé de valider les résultats donnés par la CEI, prétextant qu’elle a dépassé les limites des jours francs. Les résultats de cette commission avaient donné le candidat de l’opposition vainqueur avec plus de54 % des suffrages. Moins de 24 heures après, le Conseil constitutionnel a déclaré Laurent Gbabgo vainqueur. Ce conseil se fonde sur l’annulation des résultats de 3 départements qui auraient renversé la donne en offrant au Président sortant un peu
plus de51 % des voix.
pressafrik.com
«Le Conseil constitutionnel vient de donner un verdict conforme à la légalité», se vante Ousmane Tanor Dieng qui se permet de donner même une leçon à cette aux Nations-unies qui avaient reconnu, via son représentant la victoire de Alassane Drame Ouattara annoncé un jour avant avec 54, 52 % des suffrages.
«Ce n’est pas à l’ONU de reconnaître ou non la victoire de l’un ou de l’autre des candidats », a fait savoir Ousmane Tanor Dieng qui tente vaille que vaille pour défendre son camarade de l’international socialiste. «Les résultats donnés par la Commission électorale indépendante étaient provisoires », indique-t-il. «Maintenant, le Conseil constitutionnel vient de donner les résultats définitifs», se réjouit-il.
A noter que le Conseil constitutionnel a refusé de valider les résultats donnés par la CEI, prétextant qu’elle a dépassé les limites des jours francs. Les résultats de cette commission avaient donné le candidat de l’opposition vainqueur avec plus de54 % des suffrages. Moins de 24 heures après, le Conseil constitutionnel a déclaré Laurent Gbabgo vainqueur. Ce conseil se fonde sur l’annulation des résultats de 3 départements qui auraient renversé la donne en offrant au Président sortant un peu
plus de51 % des voix.
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Laurent Gbagbo dénonce des « ingérences » étrangères
Le président ivoirien Laurent Gbagbo a dénoncé samedi des « ingérences » étrangères, alors que sa réélection a été contestée par l`ONU, les Etats-Unis, l`Union européenne et la France, a constaté un journaliste de l`AFP.
« Ces derniers jours, j`ai noté des cas graves d`ingérence », a-t-il affirmé
au cours d`une allocution, après avoir été solennellement investi chef de
l`Etat lors d`une cérémonie au palais présidentiel.
« Pour que notre souveraineté ne soit pas piétinée, n`appelons pas les
autres à s`ingérer dans nos affaires », a-t-il lancé.
« Je n`ai jamais appelé quelqu`un du dehors pour m`investir », a insisté M.
Gbagbo, se posant en garant de la « loi » et du « droit ».
« La souveraineté de la Côte d`Ivoire, c`est elle que je suis chargé de
défendre et elle, je ne la négocie pas », a-t-il martelé.
Le Conseil constitutionnel a proclamé vendredi le président sortant
vainqueur de la présidentielle du 28 novembre, invalidant les résultats de la
commission électorale qui donnaient son rival Alassane Ouattara en tête.
L`ONU, les Etats-Unis, l`Union européenne et la France ont reconnu
vainqueur M. Ouattara.
afp
« Ces derniers jours, j`ai noté des cas graves d`ingérence », a-t-il affirmé
au cours d`une allocution, après avoir été solennellement investi chef de
l`Etat lors d`une cérémonie au palais présidentiel.
« Pour que notre souveraineté ne soit pas piétinée, n`appelons pas les
autres à s`ingérer dans nos affaires », a-t-il lancé.
« Je n`ai jamais appelé quelqu`un du dehors pour m`investir », a insisté M.
Gbagbo, se posant en garant de la « loi » et du « droit ».
« La souveraineté de la Côte d`Ivoire, c`est elle que je suis chargé de
défendre et elle, je ne la négocie pas », a-t-il martelé.
Le Conseil constitutionnel a proclamé vendredi le président sortant
vainqueur de la présidentielle du 28 novembre, invalidant les résultats de la
commission électorale qui donnaient son rival Alassane Ouattara en tête.
L`ONU, les Etats-Unis, l`Union européenne et la France ont reconnu
vainqueur M. Ouattara.
afp