Derrière la découverte des conteneurs de véhicules volés, se cache en réalité, une entreprise de faussaires implantée à Dakar.
Pour rester toujours avec « L’As », les douaniers ont passé au peigne fin les informations contenues dans les disques durs des ordinateurs saisis dans l’entreprise en question. C’est comme ça qu’ils ont découvert que les propriétaires de l’entreprise se livraient à des manipulations consistant notamment, à scanner les originaux des Certificats de Mise à la Consommation (CMC), à changer les dates et numéros d’enregistrement, voire de châssis.
C’est ainsi que sur les cartes grises de véhicules étrangers, les mis en cause utilisaient le même procédé, en falsifiant les copies. Ils modifiaient les marques, numéros de châssis et dates de première mise en circulation.
Devant des enquêteurs, les faussaires sont passés aux aveux, indiquant qu’ils se livraient à ces pratiques moyennant une rémunération et que le but visé était de permettre aux détenteurs de CMC, de pouvoir proroger frauduleusement le délai de ce document, avant de procéder à la mutation du véhicule.
Quant aux falsifications sur les cartes grises, elles permettaient à certains transitaires de dédouaner des véhicules destinés au transit vers des pays de la sous-région. Ainsi donc, la douane a mis la main sur plusieurs personnes qui ont été arrêtées.
Pour rester toujours avec « L’As », les douaniers ont passé au peigne fin les informations contenues dans les disques durs des ordinateurs saisis dans l’entreprise en question. C’est comme ça qu’ils ont découvert que les propriétaires de l’entreprise se livraient à des manipulations consistant notamment, à scanner les originaux des Certificats de Mise à la Consommation (CMC), à changer les dates et numéros d’enregistrement, voire de châssis.
C’est ainsi que sur les cartes grises de véhicules étrangers, les mis en cause utilisaient le même procédé, en falsifiant les copies. Ils modifiaient les marques, numéros de châssis et dates de première mise en circulation.
Devant des enquêteurs, les faussaires sont passés aux aveux, indiquant qu’ils se livraient à ces pratiques moyennant une rémunération et que le but visé était de permettre aux détenteurs de CMC, de pouvoir proroger frauduleusement le délai de ce document, avant de procéder à la mutation du véhicule.
Quant aux falsifications sur les cartes grises, elles permettaient à certains transitaires de dédouaner des véhicules destinés au transit vers des pays de la sous-région. Ainsi donc, la douane a mis la main sur plusieurs personnes qui ont été arrêtées.