Le corps mutilé d’un homme d’une trentaine d’années a été retrouvé à la plage de la cité Gadaye, à Guédiawaye. Il s’agissait d’un cadavre sans tête, sans jambes, sans bras gauche, seul l'annuaire de la main droite restait, le corps était blanc comme neige et en état de décomposition avancé. Le corps rejeté par la mer était emballé dans un sachet en plastique de couleur blanche, puis dans un sac bleu en nylon qui sert à emballer le riz. Son identification reste difficile. Le corps é été déposé à la morgue pour identification et autopsie, et une enquête ouverte.
Le corps d’un autre homme d’une vingtaine d’années, sans vie, a été aussi découvert dans une maison en chantier, à la Medina, à la rue 1 Angle 8. La victime Hafia Seck, vendeur de café a été trouvée étalée sur le sol, couchée à plat ventre, la tête baissée sur un vase en plastique contenant des vomissures et beaucoup de sang.
Dans l’après midi, à Ouakam , un garçon de 2ans a été retrouvé dans un sac, la gorge entaillée, comme si on avait voulu l’égorger. Il lutte actuellement entre la vie et la mort. Il doit sa vie à une dame habitant les parages. Cette dernière l’a conduit à l’hôpital militaire de Ouakam et a déposé une plainte à la brigade de gendarmerie de la même localité.
Pour rappel, avant le premier tour de la campagne électorale, une jambe sur l’autoroute à péage, un enfant tué au cimetière de Soumbédioune, dans des conditions non encore élucidées avaient été enregistrés.
Pour deuxième jour de campagne, est-ce une coïncidence ou jour choisi spécialement pour des sacrifices humains ?
Racky Bintou - Piccmi.com
Le corps d’un autre homme d’une vingtaine d’années, sans vie, a été aussi découvert dans une maison en chantier, à la Medina, à la rue 1 Angle 8. La victime Hafia Seck, vendeur de café a été trouvée étalée sur le sol, couchée à plat ventre, la tête baissée sur un vase en plastique contenant des vomissures et beaucoup de sang.
Dans l’après midi, à Ouakam , un garçon de 2ans a été retrouvé dans un sac, la gorge entaillée, comme si on avait voulu l’égorger. Il lutte actuellement entre la vie et la mort. Il doit sa vie à une dame habitant les parages. Cette dernière l’a conduit à l’hôpital militaire de Ouakam et a déposé une plainte à la brigade de gendarmerie de la même localité.
Pour rappel, avant le premier tour de la campagne électorale, une jambe sur l’autoroute à péage, un enfant tué au cimetière de Soumbédioune, dans des conditions non encore élucidées avaient été enregistrés.
Pour deuxième jour de campagne, est-ce une coïncidence ou jour choisi spécialement pour des sacrifices humains ?
Racky Bintou - Piccmi.com