Durant ces recherches de l’Ong, il a été confirmé que ces plantes augmentent le taux de Cd4 qui mesure le système immunitaire de l’homme de 100 à 500 %. Aussi, en observant les patients qui ont servi d’expérience, explique le Dr Gbodossou, ce médicament montre une bonne évolution des maladies opportunistes et une amélioration de l’état psychologique des patients. ‘Des malades gagnent en quelques semaines de 2 à 12 kg en poids. Il y a même des malades que nous avons reçus des hôpitaux à qui l’on a indiqué qu’ils avaient six mois à vivre, et qui, depuis 2000, sont encore vivants’, se réjouit le président de Prometra. Il précisera, d’ailleurs, que ‘depuis que nous utilisons ce médicament, nous n’avons, jusqu’à ce jour, pas encore trouvé ses effets secondaires’.
Ce médicament dont le nom est encore confidentiel, a été homologué, selon le patron des tradipraticiens d’Afrique, par de grands chercheurs américains. ‘Nous leur avons donné cinq plantes de guérisseurs provenant de quatre pays africains pour en faire une étude sérieuse et crédible. Les résultats qui nous sont parvenus, sont que ces plantes individuellement ou en combinaison donnent les mêmes résultats satisfaisants’, souligne le Dr.
Gbodossou. A l’en croire, les produits sont hydrosolubles, alors qu’il n’y en a pas beaucoup comme ça. Car, dira-t-il, au plan mondial, seuls deux produits hydrosolubles injectables existent et coûtent chacun 15 millions de francs Cfa par individu et par an. Ce qui, à ses yeux, n’est pas accessible à tous.
D’après les résultats d’éminents scientifiques américains, rapporte le président de Prometra International, ces plantes au nombre de cinq en combinaison font vingt-cinq produits, tous hydrosolubles. ‘Ils sont virostatiques, virolyses, c’est-à-dire qu’ils tuent le virus, désactivent le virus, et ils sont extirpés par des méthodes naturelles, c’est-à-dire par voie urètre’, indique le Dr Gbodossou. Mais, à son avis, le plus important et qui est sorti de ces recherches effectuées par les tradipraticiens africains, est qu’il est prouvé que ce médicament individuellement et/ou collectivement tue les cellules infectées et protège les cellules saines. Ces produits, ajoute-t-il, dans une étude poussée, ont des principes actifs faciles à extraire. Autant d’exploits qui montrent, selon lui, que dans un défi sanitaire mondial, l’Afrique peut jouer un rôle et peut aussi donner au Nord.
Les tradipraticiens africains qui ont été bien organisés dans ces travaux de découverte ont mis sur pied un comité scientifique international qui veille sur la crédibilité des recherches nationales, et un comité scientifique local qui se réunit chaque mois pour évaluer les progrès à travers les résultats obtenus chez les patients. Ainsi qu’un comité scientifique et juridique international qui a signé des partenariats avec des laboratoires internationaux.
Quid du diabète et de la malnutrition
L’implication des guérisseurs dans la lutte contre le diabète et la malnutrition a été déterminante. D’après le président de l’Ong Prometra International qui faisait hier la restitution des travaux de recherche ès médecine traditionnelle, sur cinq cents patients du diabète soignés, les résultats ont donné satisfaction à 95 %. Ceci, grâce aux plantes médicinales qui régulent le taux de glycémie. Le Dr Gbodossou de rappeler que le diabète est une maladie incurable. Et de la même manière, le traitement des types de dermatose a été encourageant pour le Dr Gbodossou, les découvertes médicales pour lutter contre la malnutrition ont été poussées. En effet, les guérisseurs ont procédé hier à la présentation de ‘Nutristar’ qui est un produit homologué par le laboratoire de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar selon lui, et qui, au-delà de son efficacité dans le traitement de la malnutrition, combat également le choléra et la fièvre typhoïde.
Pour ce qui est du cancer, nous apprend le Dr Gbodossou, Prometra International a signé avec l’université Morehouse d’Atlanta aux Etats-Unis pour mesurer l’impact de ces cinq fameuses plantes qui leur ont été données sur les cellules vaginales au niveau de leur laboratoire.
Abdoulaye SIDY
walf.sn
Ce médicament dont le nom est encore confidentiel, a été homologué, selon le patron des tradipraticiens d’Afrique, par de grands chercheurs américains. ‘Nous leur avons donné cinq plantes de guérisseurs provenant de quatre pays africains pour en faire une étude sérieuse et crédible. Les résultats qui nous sont parvenus, sont que ces plantes individuellement ou en combinaison donnent les mêmes résultats satisfaisants’, souligne le Dr.
Gbodossou. A l’en croire, les produits sont hydrosolubles, alors qu’il n’y en a pas beaucoup comme ça. Car, dira-t-il, au plan mondial, seuls deux produits hydrosolubles injectables existent et coûtent chacun 15 millions de francs Cfa par individu et par an. Ce qui, à ses yeux, n’est pas accessible à tous.
D’après les résultats d’éminents scientifiques américains, rapporte le président de Prometra International, ces plantes au nombre de cinq en combinaison font vingt-cinq produits, tous hydrosolubles. ‘Ils sont virostatiques, virolyses, c’est-à-dire qu’ils tuent le virus, désactivent le virus, et ils sont extirpés par des méthodes naturelles, c’est-à-dire par voie urètre’, indique le Dr Gbodossou. Mais, à son avis, le plus important et qui est sorti de ces recherches effectuées par les tradipraticiens africains, est qu’il est prouvé que ce médicament individuellement et/ou collectivement tue les cellules infectées et protège les cellules saines. Ces produits, ajoute-t-il, dans une étude poussée, ont des principes actifs faciles à extraire. Autant d’exploits qui montrent, selon lui, que dans un défi sanitaire mondial, l’Afrique peut jouer un rôle et peut aussi donner au Nord.
Les tradipraticiens africains qui ont été bien organisés dans ces travaux de découverte ont mis sur pied un comité scientifique international qui veille sur la crédibilité des recherches nationales, et un comité scientifique local qui se réunit chaque mois pour évaluer les progrès à travers les résultats obtenus chez les patients. Ainsi qu’un comité scientifique et juridique international qui a signé des partenariats avec des laboratoires internationaux.
Quid du diabète et de la malnutrition
L’implication des guérisseurs dans la lutte contre le diabète et la malnutrition a été déterminante. D’après le président de l’Ong Prometra International qui faisait hier la restitution des travaux de recherche ès médecine traditionnelle, sur cinq cents patients du diabète soignés, les résultats ont donné satisfaction à 95 %. Ceci, grâce aux plantes médicinales qui régulent le taux de glycémie. Le Dr Gbodossou de rappeler que le diabète est une maladie incurable. Et de la même manière, le traitement des types de dermatose a été encourageant pour le Dr Gbodossou, les découvertes médicales pour lutter contre la malnutrition ont été poussées. En effet, les guérisseurs ont procédé hier à la présentation de ‘Nutristar’ qui est un produit homologué par le laboratoire de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar selon lui, et qui, au-delà de son efficacité dans le traitement de la malnutrition, combat également le choléra et la fièvre typhoïde.
Pour ce qui est du cancer, nous apprend le Dr Gbodossou, Prometra International a signé avec l’université Morehouse d’Atlanta aux Etats-Unis pour mesurer l’impact de ces cinq fameuses plantes qui leur ont été données sur les cellules vaginales au niveau de leur laboratoire.
Abdoulaye SIDY
walf.sn