Selon nos informations, il ressort de la lettre plainte que le sieur Nasa avait réclamé et obtenu, auprès du nommé H. Farhat, un financement de soixante-quinze millions de francs Cfa, sur la base d'un marché fictif qu'il aurait gagné à l'ambassade du Koweït à Dakar.
Cependant, il n'a ni restitué ce montant ni versé les bénéfices qu'il avait promis de partager. Le plaignant, dans sa plainte, lui réclame la somme de 121 155 000 FCfa.
Venu confirmer la plainte, le plaignant a déclaré devant les enquêteurs, que D. Nasa lui avait fait croire qu'il a gagné un marché de livraison de denrées alimentaires à l'ambassade du Koweït au Sénégal, en lui présentant des bons de commande. Pour son exécution, ce dernier lui a réclamé un montant de 75 millions FCfa, avec la promesse de lui verser 35 millions FCfa de bénéfices.
Dans le cadre de cette enquête, le suspect dans cette affaire, en la personne de D. Nasa, a été convoqué et entendu sur procès-verbal. Face aux enquêteurs, selon nos interlocuteurs, il a reconnu les faits. Il confirme devoir la somme de 121 155 000 FCfa, au nommé H. Farhat.
Interpellé et soumis à un interrogatoire serré, le mis en cause a finalement avoué qu'il n'a jamais gagné de marché à l'ambassade du Koweït. D'après ses dires, il croyait que le marché allait lui être attribué. Avant de préciser que c'est pour anticiper son offre, qu'il a sollicité le financement de 75 000 000 FCfa, en contrepartie d'un bénéfice de 35 000 000 FCfa.
D'après toujours ses dires, il avait déjà acheté la marchandise, avant l'attribution du marché à une autre personne. Pour honorer ses engagements auprès du plaignant, le mis en cause a allégué l'avoir revendue à des commerçants.
Cependant, le nommé D. Nasa n'a jamais été en mesure de communiquer aux hommes du commissaire Sarr, l’identité et les numéros de téléphone de ses fournisseurs et clients. Cette incapacité de sa part, laisse planer, aux yeux des enquêteurs, le doute quant à la destination des fonds et l'usage qu'il en a fait.
Lors de la confrontation avec le plaignant, M. Nasa a proposé de rembourser le montant susnommé, dans un délai de 45 jours. En attendant, il a promis à la victime H. Farhat, des versements mensuels de dix millions FCfa. Cette proposition a été rejetée par ce dernier, qui a exigé le paiement, sans délai, de son argent.
Cependant, il n'a ni restitué ce montant ni versé les bénéfices qu'il avait promis de partager. Le plaignant, dans sa plainte, lui réclame la somme de 121 155 000 FCfa.
Venu confirmer la plainte, le plaignant a déclaré devant les enquêteurs, que D. Nasa lui avait fait croire qu'il a gagné un marché de livraison de denrées alimentaires à l'ambassade du Koweït au Sénégal, en lui présentant des bons de commande. Pour son exécution, ce dernier lui a réclamé un montant de 75 millions FCfa, avec la promesse de lui verser 35 millions FCfa de bénéfices.
Dans le cadre de cette enquête, le suspect dans cette affaire, en la personne de D. Nasa, a été convoqué et entendu sur procès-verbal. Face aux enquêteurs, selon nos interlocuteurs, il a reconnu les faits. Il confirme devoir la somme de 121 155 000 FCfa, au nommé H. Farhat.
Interpellé et soumis à un interrogatoire serré, le mis en cause a finalement avoué qu'il n'a jamais gagné de marché à l'ambassade du Koweït. D'après ses dires, il croyait que le marché allait lui être attribué. Avant de préciser que c'est pour anticiper son offre, qu'il a sollicité le financement de 75 000 000 FCfa, en contrepartie d'un bénéfice de 35 000 000 FCfa.
D'après toujours ses dires, il avait déjà acheté la marchandise, avant l'attribution du marché à une autre personne. Pour honorer ses engagements auprès du plaignant, le mis en cause a allégué l'avoir revendue à des commerçants.
Cependant, le nommé D. Nasa n'a jamais été en mesure de communiquer aux hommes du commissaire Sarr, l’identité et les numéros de téléphone de ses fournisseurs et clients. Cette incapacité de sa part, laisse planer, aux yeux des enquêteurs, le doute quant à la destination des fonds et l'usage qu'il en a fait.
Lors de la confrontation avec le plaignant, M. Nasa a proposé de rembourser le montant susnommé, dans un délai de 45 jours. En attendant, il a promis à la victime H. Farhat, des versements mensuels de dix millions FCfa. Cette proposition a été rejetée par ce dernier, qui a exigé le paiement, sans délai, de son argent.