Pour ce qui concerne le Sénégal, nous dit Le Témoin, malheureusement, les réalités géopolitiques ne sont les mêmes qu’avec les autres pays de la Cedeao à savoir le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Gambie, le Ghana, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Liberia, le Niger, Nigéria, la Sierra Leone, le Togo et le Cap-Vert.
Car le Sénégal et le Mali entretiennent une relation bilatérale exceptionnelle. Ce sont pratiquement deux frères siamois dont les destins sont indissociables.
A preuve, hier, « Le Témoin » quotidien a appris que plusieurs camions maliens et sénégalais sont bloqués à la frontière entre les deux pays. Et particulièrement les camions de marchandises quittant tous les jours le Port de Dakar pour rallier Bamako.
Aujourd’hui, commerçants et camionneurs sont victimes de cette fermeture des frontières avec effet immédiat.
Bien évidemment des pays comme la Guinée-Bissau, le Liberia, le Nigéria, la Sierra Leone, le Togo et Cap-Vert ne subissent aucun effet collatéral du blocus imposé par la CEDEAO ! Car ils n’ont aucune frontière avec le Mali.
Comme quoi, le président Macky Sall est appelé à revoir sa position vis-à-vis de ces mesures prises par la CEDEAO. Sinon, c’est l’économie nationale qui risque de s’effondrer quand on sait combien le marché malien est indispensable aux exportations sénégalaises.
Car le Sénégal et le Mali entretiennent une relation bilatérale exceptionnelle. Ce sont pratiquement deux frères siamois dont les destins sont indissociables.
A preuve, hier, « Le Témoin » quotidien a appris que plusieurs camions maliens et sénégalais sont bloqués à la frontière entre les deux pays. Et particulièrement les camions de marchandises quittant tous les jours le Port de Dakar pour rallier Bamako.
Aujourd’hui, commerçants et camionneurs sont victimes de cette fermeture des frontières avec effet immédiat.
Bien évidemment des pays comme la Guinée-Bissau, le Liberia, le Nigéria, la Sierra Leone, le Togo et Cap-Vert ne subissent aucun effet collatéral du blocus imposé par la CEDEAO ! Car ils n’ont aucune frontière avec le Mali.
Comme quoi, le président Macky Sall est appelé à revoir sa position vis-à-vis de ces mesures prises par la CEDEAO. Sinon, c’est l’économie nationale qui risque de s’effondrer quand on sait combien le marché malien est indispensable aux exportations sénégalaises.