«C'est dans ce cadre que dans les semaines à venir, nous allons communiquer en donnant des programmes de délestages». A partir de lundi, nous allons communiquer les zones qui seront coupées», a ajouté Seydina Kane.
«Cela veut dire que d’ici la mise en œuvre du plan d’urgence, nous allons encore continuer à délester», a-t-il précisé.
A l’en croire, même avec le plan d’urgence, il va falloir attendre la fin du mois de mars pour espérer une atténuation des délestages.
«Il est prévu dans le plan d’urgence la mise en œuvre rapide de 180 mégawatts, dont les 50 arriveront dès la fin du premier trimestre de cette année», a souligné le directeur de la SENELEC qui avait à ses côtés le directeur général de la SAR.
Selon Seydina Kane, les coupures d’électricité sont dues à des problèmes de trésoreries. «Nous avons connu ces jours des problèmes de trésorerie et nous n’avons pas suffisamment de combustible, note M. Kane. «Il y a un gap entre les recettes et les charges de la SENELEC», a divulgué M. Kane. «Le combustible nous coûte, mensuellement, 17 milliards et le chiffre d’affaire de la SENELEC varie entre 19 et 21 milliards ; sans compter les frais d’entretien des machines, du personnel», a poursuivi le patron de la société d’électricité.
Par ailleurs, il a, formellement, démenti l’information selon laquelle, les banques ne feraient plus confiance à sa société «C’est faux, aucune banque ne refuse de nous prêter des fonds. La SENELEC est crédible. Les banques ne refusent pas de lui des crédits», a balayé du revers de la main Seydina Kane, hier en conférence de presse à la direction général de la société africaine de raffinage.
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com
«Cela veut dire que d’ici la mise en œuvre du plan d’urgence, nous allons encore continuer à délester», a-t-il précisé.
A l’en croire, même avec le plan d’urgence, il va falloir attendre la fin du mois de mars pour espérer une atténuation des délestages.
«Il est prévu dans le plan d’urgence la mise en œuvre rapide de 180 mégawatts, dont les 50 arriveront dès la fin du premier trimestre de cette année», a souligné le directeur de la SENELEC qui avait à ses côtés le directeur général de la SAR.
Selon Seydina Kane, les coupures d’électricité sont dues à des problèmes de trésoreries. «Nous avons connu ces jours des problèmes de trésorerie et nous n’avons pas suffisamment de combustible, note M. Kane. «Il y a un gap entre les recettes et les charges de la SENELEC», a divulgué M. Kane. «Le combustible nous coûte, mensuellement, 17 milliards et le chiffre d’affaire de la SENELEC varie entre 19 et 21 milliards ; sans compter les frais d’entretien des machines, du personnel», a poursuivi le patron de la société d’électricité.
Par ailleurs, il a, formellement, démenti l’information selon laquelle, les banques ne feraient plus confiance à sa société «C’est faux, aucune banque ne refuse de nous prêter des fonds. La SENELEC est crédible. Les banques ne refusent pas de lui des crédits», a balayé du revers de la main Seydina Kane, hier en conférence de presse à la direction général de la société africaine de raffinage.
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com